26 verset biblique sur Commandant
Versets les plus Pertinents
Le roi d'Assyrie envoya de Lakis à Jérusalem, vers le roi Ézéchias, Tharthan, Rab Saris et Rabschaké avec une puissante armée. Ils montèrent, et ils arrivèrent à Jérusalem. Lorsqu'ils furent montés et arrivés, ils s'arrêtèrent à l'aqueduc de l'étang supérieur, sur le chemin du champ du foulon.
Et le roi d'Assyrie envoya de Lakis à Jérusalem, vers le roi Ézéchias, Rabschaké avec une puissante armée. Rabschaké s'arrêta à l'aqueduc de l'étang supérieur, sur le chemin du champ du foulon.
Achab dit: Par qui? Et il répondit: Ainsi parle l'Éternel: Par les serviteurs des chefs des provinces. Achab dit: Qui engagera le combat? Et il répondit: Toi.
Salomon n'employa comme esclave pour ses travaux aucun des enfants d'Israël; car ils étaient des hommes de guerre, ses chefs, ses officiers, les commandants de ses chars et de sa cavalerie.
Je donnai mes ordres à Hanani, mon frère, et à Hanania, chef de la citadelle de Jérusalem, homme supérieur au grand nombre par sa fidélité et par sa crainte de Dieu.
Je pris alors les chefs de vos tribus, des hommes sages et connus, et je les mis à votre tête comme chefs de mille, chefs de cent, chefs de cinquante, et chefs de dix, et comme ayant autorité dans vos tribus.
Et Moïse s'irrita contre les commandants de l'armée, les chefs de milliers et les chefs de centaines, qui revenaient de l'expédition.
En ce temps-là, Abimélec, accompagné de Picol, chef de son armée, parla ainsi à Abraham: Dieu est avec toi dans tout ce que tu fais.
Et l'Éternel les vendit entre les mains de Jabin, roi de Canaan, qui régnait à Hatsor. Le chef de son armée était Sisera, et habitait à Haroscheth Goïm.
Le nom de la femme de Saül était Achinoam, fille d'Achimaats. Le nom du chef de son armée était Abner, fils de Ner, oncle de Saül.
Naaman, chef de l'armée du roi de Syrie, jouissait de la faveur de son maître et d'une grande considération; car c'était par lui que l'Éternel avait délivré les Syriens. Mais cet homme fort et vaillant était lépreux.
La septième année, Jehojada envoya chercher les chefs de centaines des Kéréthiens et des coureurs, et il les fit venir auprès de lui dans la maison de l'Éternel. Il traita alliance avec eux et les fit jurer dans la maison de l'Éternel, et il leur montra le fils du roi.
Le septième jour du cinquième mois, -c'était la dix-neuvième année du règne de Nebucadnetsar, roi de Babylone, -Nebuzaradan, chef des gardes, serviteur du roi de Babylone, entra dans Jérusalem.
David avait dit: Quiconque battra le premier les Jébusiens sera chef et prince. Joab, fils de Tseruja, monta le premier, et il devint chef.
Parmi les Gadites, des hommes vaillants partirent pour se rendre auprès de David dans la forteresse du désert, des soldats exercés à la guerre, armés du bouclier et de la lance, semblables à des lions, et aussi prompts que des gazelles sur les montagnes.
David, les anciens d'Israël, et les chefs de milliers se mirent en route pour faire monter l'arche de l'alliance de l'Éternel depuis la maison d'Obed Édom, au milieu des réjouissances.
David et les chefs de l'armée mirent à part pour le service ceux des fils d'Asaph, d'Héman et de Jeduthun qui prophétisaient en s'accompagnant de la harpe, du luth et des cymbales. Et voici le nombre de ceux qui avaient des fonctions à remplir.
David convoqua à Jérusalem tous les chefs d'Israël, les chefs des tribus, les chefs des divisions au service du roi, les chefs de milliers et les chefs de centaines, ceux qui étaient en charge sur tous les biens et les troupeaux du roi et auprès de ses fils, les eunuques, les héros et tous les hommes vaillants.
Salomon donna des ordres à tout Israël, aux chefs de milliers et de centaines, aux juges, aux princes de tout Israël, aux chefs des maisons paternelles;
Cependant, un jour propice arriva, lorsque Hérode, à l'anniversaire de sa naissance, donna un festin à ses grands, aux chefs militaires et aux principaux de la Galilée.
Comme ils cherchaient à le tuer, le bruit vint au tribun de la cohorte que tout Jérusalem était en confusion. A l'instant il prit des soldats et des centeniers, et courut à eux. Voyant le tribun et les soldats, ils cessèrent de frapper Paul. Alors le tribun s'approcha, se saisit de lui, et le fit lier de deux chaînes. Puis il demanda qui il était, et ce qu'il avait fait.lire plus.
Mais dans la foule les uns criaient d'une manière, les autres d'une autre; ne pouvant donc rien apprendre de certain, à cause du tumulte, il ordonna de le mener dans la forteresse.
A ces mots, le centenier alla vers le tribun pour l'avertir, disant: Que vas-tu faire? Cet homme est Romain. Et le tribun, étant venu, dit à Paul: Dis-moi, es-tu Romain? Oui, répondit-il. Le tribun reprit: C'est avec beaucoup d'argent que j'ai acquis ce droit de citoyen. Et moi, dit Paul, je l'ai par ma naissance.lire plus.
Aussitôt ceux qui devaient lui donner la question se retirèrent, et le tribun, voyant que Paul était Romain, fut dans la crainte parce qu'il l'avait fait lier. Le lendemain, voulant savoir avec certitude de quoi les Juifs l'accusaient, le tribun lui fit ôter ses liens, et donna l'ordre aux principaux sacrificateurs et à tout le sanhédrin de se réunir; puis, faisant descendre Paul, il le plaça au milieu d'eux.
Comme la discorde allait croissant, le tribun craignant que Paul ne fût mis en pièces par ces gens, fit descendre les soldats pour l'enlever du milieu d'eux et le conduire à la forteresse.
Félix, qui savait assez exactement ce qui concernait cette doctrine, les ajourna, en disant: Quand le tribun Lysias sera venu, j'examinerai votre affaire.
Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux, et regarda. Voici, un homme se tenait debout devant lui, son épée nue dans la main. Il alla vers lui, et lui dit: Es-tu des nôtres ou de nos ennemis? Il répondit: Non, mais je suis le chef de l'armée de l'Éternel, j'arrive maintenant. Josué tomba le visage contre terre, se prosterna, et lui dit: Qu'est-ce que mon seigneur dit à son serviteur? Et le chef de l'armée de l'Éternel dit à Josué: Ote tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est saint. Et Josué fit ainsi.
Il n'est pas de soldat qui s'embarrasse des affaires de la vie, s'il veut plaire à celui qui l'a enrôlé;