17 verset biblique sur Espions
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Alors Joseph se souvint des songes qu'il avait songés d'eux, et leur dit : Vous [êtes] des espions, vous êtes venus pour remarquer les lieux faibles du pays. Et ils lui [répon]dirent : Non, mon Seigneur, mais tes serviteurs sont venus pour acheter des vivres. Nous sommes tous enfants d'un même homme, nous sommes gens de bien; tes serviteurs ne sont point des espions.
Et l'Eternel parla à Moïse, en disant : Envoie des hommes pour reconnaître le pays de Canaan, que je donne aux enfants d'Israël. Vous enverrez un homme de chaque Tribu de leurs pères, tous des principaux d'entr'eux. Moïse donc les envoya du désert de Paran, selon le commandement de l'Eternel; et tous ces hommes étaient chefs des enfants d'Israël.lire plus.
Et ce sont ici leurs noms : De la Tribu de Ruben, Sammuah, fils de Zaccur. De la Tribu de Siméon, Saphat, fils de Hori. De la Tribu de Juda, Caleb, fils de Jéphunné. De la Tribu d'Issacar, Jigueal, fils de Joseph. De la Tribu d'Ephraïm, Osée, fils de Nun. De la Tribu de Benjamin, Palti, fils de Raphu. De la Tribu de Zabulon, Gaddiel, fils de Sodi. De l'autre Tribu de Joseph, [savoir] de la Tribu de Manassé, Gaddi, fils de Susi. De la Tribu de Dan, Hammiel, fils de Guemalli. De la Tribu d'Aser, Séthur, fils de Micaël. De la Tribu de Nephthali, Nahbi, fils de Vaphsi. De la Tribu de Gad, Guéuel, fils de Maki. Ce [sont] là les noms des hommes que Moïse envoya pour reconnaître le pays. Or Moïse avait nommé Osée, fils de Nun, Josué. Moïse donc les envoya pour reconnaître le pays de Canaan, et il leur dit : Montez de ce côté vers le Midi, puis vous monterez sur la montagne. Et vous verrez quel est ce pays-là, et quel est le peuple qui l'habite, s'il est fort, ou faible; s'il est en petit ou en grand nombre. Et quel est le pays où il habite, s'il est bon ou mauvais; et quelles [sont] les villes dans lesquelles il habite, si c'est dans des tentes, ou dans des villes closes. Et quel est le terroir, s'il est gras ou maigre, s'il y a des arbres, ou non. Ayez bon courage, et prenez du fruit du pays. Or c'était alors le temps des premiers raisins.
Puis Moïse ayant envoyé des gens pour reconnaître Jahzer, ils prirent les villes de son ressort, et en dépossédèrent les Amorrhéens qui y étaient.
Et vous vîntes tous vers moi, et dîtes : Envoyons devant nous des hommes, pour reconnaître le pays, et qui nous rapportent des nouvelles du chemin par lequel nous [devrons] monter, et des villes où nous devrons aller.
Or Josué, fils de Nun, avait envoyé de Sittim deux hommes, pour épier secrètement [le pays, et il leur avait] dit : Allez, considérez le pays, et Jérico. Ils partirent donc, et vinrent dans la maison d'une femme paillarde, nommée Rahab, et couchèrent là. Alors on dit au Roi de Jérico : Voilà des hommes qui sont venus ici cette nuit de la part des enfants d'Israël pour reconnaître le pays. Et le Roi de Jérico envoya vers Rahab, en disant : Fais sortir les hommes qui sont venus chez toi, et qui sont entrés dans ta maison; car ils sont venus pour reconnaître tout le pays.
La ville sera mise en interdit à l'Eternel, elle et toutes les choses qui y sont, seulement Rahab la paillarde vivra, elle et tous ceux qui seront avec elle dans la maison; parce qu'elle a caché soigneusement les messagers que nous avions envoyés.
Par la foi Rahab l'hospitalière ne périt point avec les incrédules; ayant reçu les espions [et les ayant renvoyés] en paix.
Pareillement Rahab l'hospitalière, ne fut-elle pas justifiée par les œuvres, quand elle eut reçu les messagers, et qu'elle les eut mis dehors par un autre chemin?
Car Josué envoya de Jérico des hommes vers Haï, qui [était] près de Bethaven du côté de l'Orient de Béthel, et leur parla, en disant : Montez, et reconnaissez le pays. Ces hommes donc montèrent et reconnurent Haï.
Et ceux de la maison de Joseph firent reconnaître Bethel, dont le nom était auparavant, Luz. Et les espions virent un homme qui sortait de la ville, auquel ils dirent : Nous te prions de nous montrer un endroit par où l'on puisse entrer dans la ville, et nous te ferons grâce.
C'est pourquoi les enfants de Dan envoyèrent de leur famille cinq hommes, d'une et d'autre qualité, gens vaillants, de Tsorah et d'Estaol, pour reconnaître le pays, et le reconnaître exactement; et leur dirent : Allez [et] reconnaissez exactement le pays. Ils vinrent donc en la montagne d'Ephraïm jusqu'à la maison de Mica, et y passèrent la nuit.
Mais les principaux d'entre les enfants de Hammon dirent à Hanun leur Seigneur : Penses-tu que ce soit pour honorer ton père, que David t'a envoyé des consolateurs? N'est-ce pas pour reconnaître exactement la ville, et pour l'épier afin de la détruire, que David a envoyé ses serviteurs vers toi?
Mais les principaux d'entre les enfants de Hammon dirent à Hanun : Penses-tu que ce soit pour honorer ton père que David t'a envoyé des consolateurs? n'est-ce pas pour examiner exactement et épier le pays, afin de le détruire, que ses serviteurs sont venus vers toi?
Et l'observant ils envoyèrent des gens concertés, qui contrefaisaient les gens de bien, pour le surprendre en paroles, afin de le livrer à la domination et à la puissance du Gouverneur, Lesquels l'interrogèrent, en disant : Maître, nous savons que tu parles et que tu enseignes conformément à la justice, et que tu ne regardes point à l'apparence des personnes, mais que tu enseignes la voie de Dieu en vérité. Nous est-il permis de payer le tribut à César, ou non?
Alors les Pharisiens s'étant retirés, consultèrent ensemble comment ils le surprendraient en paroles; Et ils lui envoyèrent leurs disciples, avec des Hérodiens, en disant : Maître, nous savons que tu es véritable, que tu enseignes la voie de Dieu en vérité, et que tu ne te soucies de personne; car tu ne regardes point à l'apparence des hommes.
Mais ils lui envoyèrent quelques-uns des Pharisiens et des Hérodiens, pour le surprendre dans ses discours; Lesquels étant venus, lui dirent : Maître, nous savons que tu es véritable, et que tu ne considères personne; car tu n'as point d'égard à l'apparence des hommes, mais tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité; est-il permis de payer le tribut à César, ou non? le payerons-nous, ou si nous ne le payerons-nous point?
Et ce fut à cause des faux frères qui s'étaient introduits dans [l'Eglise], et qui y étaient entrés couvertement pour épier notre liberté, que nous avons en Jésus-Christ, afin de nous ramener dans la servitude.