9 verset biblique sur Les Rêves Contenants Des Images Étranges
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Et il songea; et voici, une échelle dressée sur la terre, dont le bout touchait jusqu'aux cieux; et voici, les Anges de Dieu montaient et descendaient par cette échelle. Et voici, l'Eternel se tenait sur l'échelle, et il lui dit : Je suis l'Eternel, le Dieu d'Abraham ton père, et le Dieu d'Isaac; je te donnerai et à ta postérité, la terre sur laquelle tu dors. Et ta postérité sera comme la poussière de la terre, et tu t'étendras à l'Occident, à l'Orient, au Septentrion, et au Midi, et toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta semence.lire plus.
Et voici, je suis avec toi; et je te garderai partout où tu iras; et je te ramènerai en ce pays; car je ne t'abandonnerai point que je n'aie fait ce que je t'ai dit.
Car il arriva au temps que les brebis entraient en chaleur, que je levai mes yeux, et je vis en songe, et voici, les boucs qui couvraient les chèvres, [étaient] marquetés, picotés, et tachetés, Et l'Ange de Dieu me dit en songe : Jacob! Et je répondis : Me voici. Et il dit : Lève maintenant tes yeux, et regarde : tous les boucs qui couvrent les chèvres, sont marquetés, picotés, et tachetés; car j'ai vu tout ce que te fait Laban.lire plus.
Je suis le [Dieu] Fort de Béthel, où tu oignis la pierre [que tu dressas] pour monument, quand tu me fis là un vœu; maintenant [donc], lève-toi, sors de ce pays, et retourne au pays de ta parenté.
Or Joseph songea un songe, lequel il récita à ses frères; et ils le haïrent encore davantage. Il leur dit donc : Ecoutez, je vous prie, le songe que j'ai songé. Voici, nous liions des gerbes au milieu d'un champ; et voici, ma gerbe se leva, et se tint droite; et voici, vos gerbes l'environnèrent, et se prosternèrent devant ma gerbe.
Il songea encore un autre songe, et il le récita a ses frères, en disant : Voici, j'ai songé encore un songe, et voici, le soleil, et la lune, et onze étoiles se prosternaient devant moi.
Et le grand Echanson conta son songe à Joseph, et lui dit : [Il me semblait] en songeant [que] je voyais un cep devant moi. Et il y avait en ce cep trois sarments; et il était près de fleurir; sa fleur sortit, et ses grappes firent mûrir les raisins. Et la coupe de Pharaon était en ma main, et je prenais les raisins, et les pressais dans la coupe de Pharaon, et je lui donnais la coupe en sa main.
Mais il arriva qu'au bout de deux ans entiers Pharaon songea, et il lui semblait qu'il était près du fleuve. Et voici, sept jeunes vaches belles à voir, grasses et en bon point, montaient [hors] du fleuve, et paissaient dans des marécages. Et voici sept autres jeunes vaches, laides à voir, et maigres, montaient [hors] du fleuve après les autres, et se tenaient auprès des autres jeunes vaches sur le bord du fleuve.lire plus.
Et les jeunes vaches laides à voir, et maigres, mangèrent les sept jeunes vaches belles à voir, et grasses. Alors Pharaon s'éveilla. Puis il se rendormit, et songea pour la seconde fois, et il lui semblait que sept épis grenus et beaux sortaient d'un même tuyau. Ensuite il lui semblait que sept autres épis minces et flétris par le vent d'Orient, germaient après ceux-là. Et les épis minces engloutirent les sept épis grenus et pleins. Alors Pharaon s'éveilla; et voilà le songe.
Gédeon donc y étant arrivé, voilà, un homme récitait à son compagnon un songe, et lui disait : Voici, j'ai songé un songe; il me semblait qu'un gâteau de pain d'orge se roulait vers le camp de Madian, et qu'étant venu jusqu'aux tentes, il les a frappées, de sorte qu'elles en sont tombées, et il les a renversées, [en roulant] du haut [de la montagne], et elles sont tombées.
Tu contemplais, ô Roi! et voici une grande statue, et cette grande statue, dont la splendeur était excellente, était debout devant toi, et elle était terrible à voir. La tête de cette statue était d'un or très-fin, sa poitrine et ses bras [étaient] d'argent; son ventre et ses hanches [étaient] d'airain. Ses jambes étaient de fer, et ses pieds étaient en partie de fer, et en partie de terre.lire plus.
Tu contemplais cela jusqu'à ce qu'une pierre fût coupée sans main, laquelle frappa la statue en ses pieds de fer et de terre, et les brisa. Alors furent brisés ensemble le fer, la terre, l'airain, l'argent et l'or, et ils devinrent comme la paille de l'aire d'Eté, que le vent transporte çà et là; et il ne fut plus trouvé aucun lieu pour eux, mais cette pierre qui avait frappé la statue devint une grande montagne, et remplit toute la terre.
Les visions donc de ma tête sur mon lit étaient telles. Voici, je voyais un arbre au milieu de la terre, la hauteur duquel était fort grande. Cet arbre était devenu grand et fort, son sommet touchait les cieux, et il se faisait voir jusqu'au bout de toute la terre. Son branchage était beau, et son fruit abondant, et il y avait de quoi manger pour tous; les bêtes des champs se mettaient à l'ombre au-dessous de lui, et les oiseaux des cieux habitaient dans ses branches, et toute chair en était nourrie.lire plus.
Je regardais dans les visions de ma tête sur mon lit, et voici, un Veillant et Saint descendit des cieux; Il cria à haute voix, et parla ainsi : Coupez l'arbre, et l'ébranchez; jetez çà et là son branchage, et répandez son fruit; que les bêtes s'écartent de dessous lui, et les oiseaux d'entre ses branches. Toutefois laissez le tronc de ses racines dans la terre, et l'ayant lié avec des chaînes de fer et d'airain, qu'il soit parmi l'herbe des champs, qu'il soit arrosé de la rosée des cieux, et qu'il ait sa portion avec les bêtes en l'herbe de la terre. Que son cœur soit changé pour n'être plus un cœur d'homme, et qu'il lui soit donné un cœur de bête; et que sept temps passent sur lui. La chose est par le décret des Veillants, et la demande avec parole des Saints; afin que les vivants connaissent que le Souverain domine sur le Royaume des hommes, et qu'il le donne à qui il lui plaît, et y établit le plus abject des hommes.