Parallel Verses
French: Darby
Celui qui ferme ses yeux pour machiner la perversite, celui qui pince ses levres, accomplit le mal.
Louis Segond Bible 1910
Celui qui ferme les yeux pour se livrer à des pensées perverses, Celui qui se mord les lèvres, a déjà consommé le mal.
French: Louis Segond (1910)
Celui qui ferme les yeux pour se livrer à des pensées perverses, Celui qui se mord les lèvres, a déjà consommé le mal.
French: Martin (1744)
Il fait signe des yeux pour machiner des renversements, et remuant ses lèvres il exécute le mal.
New American Standard Bible
He who winks his eyes does so to devise perverse things; He who compresses his lips brings evil to pass.
Références croisées
Proverbes 6:12-14
Celui qui marche, la perversite dans sa bouche, est un homme de Belial, un homme inique;
Proverbes 10:10
Celui qui cligne de l'oeil cause du chagrin, et l'insense de levres tombe.
Proverbes 16:27
L'homme de Belial creuse, à la recherche du mal, et sur ses levres il y a comme un feu brulant.
Ésaïe 6:10
Engraisse le coeur de ce peuple, et rends ses oreilles pesantes, et bouche ses yeux, de peur qu'il ne voie des yeux, et n'entende de ses oreilles, et ne comprenne de son coeur, et ne se convertisse, et qu'il ne soit gueri.
Michée 7:3
les deux mains sont pretes au mal, afin de le bien faire; le prince exige, et le juge est là pour une recompense, et le grand exprime l'avidite de son ame; et ensemble ils trament la chose.
Matthieu 13:15
car le coeur de ce peuple s'est epaissi, et ils ont oui dur de leurs oreilles, et ils ont ferme leurs yeux, de peur qu'ils ne voient des yeux, et qu'ils n'entendent des oreilles, et qu'ils ne comprennent du coeur, et qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guerisse.
Matthieu 14:7-8
sur quoi il lui promit avec serment de lui donner tout ce qu'elle demanderait.
Matthieu 27:23-26
Et le gouverneur dit: Mais quel mal a-t-il fait? Et ils s'ecriaient encore plus fort, disant: Qu'il soit crucifie!
Jean 3:20
car quiconque fait des choses mauvaises hait la lumiere, et ne vient pas à la lumiere, de peur que ses oeuvres ne soient reprises;