Versets bibliques les plus populaires dans Ésaïe 57
Classement Ésaïe :
Car ainsi parle le Très Haut, Dont la demeure est éternelle et dont le nom est saint: J'habite dans les lieux élevés et dans la sainteté; Mais je suis avec l'homme contrit et humilié, Afin de ranimer les esprits humiliés, Afin de ranimer les coeurs contrits.
Le juste périt, et nul n'y prend garde; Les gens de bien sont enlevés, et nul ne fait attention Que c'est par suite de la malice que le juste est enlevé.
Je mettrai la louange sur les lèvres. Paix, paix à celui qui est loin et à celui qui est près! dit l'Éternel. Je les guérirai.
Mais les méchants sont comme la mer agitée, Qui ne peut se calmer, Et dont les eaux soulèvent la vase et le limon.
On dira: Frayez, frayez, préparez le chemin, Enlevez tout obstacle du chemin de mon peuple!
J'ai vu ses voies, Et je le guérirai; Je lui servirai de guide, Et je le consolerai, lui et ceux qui pleurent avec lui.
Mais vous, approchez ici, fils de l'enchanteresse, Race de l'adultère et de la prostituée!
S'échauffant près des térébinthes, sous tout arbre vert, Égorgeant les enfants dans les vallées, Sous des fentes de rochers?
Je ne veux pas contester à toujours, Ni garder une éternelle colère, Quand devant moi tombent en défaillance les esprits, Les âmes que j'ai faites.
Tu vas auprès du roi avec de l'huile, Tu multiplies tes aromates, Tu envoies au loin tes messagers, Tu t'abaisses jusqu'au séjour des morts.
Quand tu crieras, la foule de tes idoles te délivrera-t-elle? Le vent les emportera toutes, un souffle les enlèvera. Mais celui qui se confie en moi héritera le pays, Et possédera ma montagne sainte.
Tu mets ton souvenir derrière la porte et les poteaux; Car, loin de moi, tu lèves la couverture et tu montes, Tu élargis ta couche, et tu traites alliance avec eux, Tu aimes leur commerce, tu choisis une place.
Il entrera dans la paix, Il reposera sur sa couche, Celui qui aura suivi le droit chemin.
A cause de son avidité coupable, je me suis irrité et je l'ai frappé, Je me suis caché dans mon indignation; Et le rebelle a suivi le chemin de son coeur.
Et qui redoutais-tu, qui craignais-tu, pour être infidèle, Pour ne pas te souvenir, te soucier de moi? Est-ce que je ne garde pas le silence, et depuis longtemps? C'est pourquoi tu ne me crains pas.
C'est sur une montagne haute et élevée que tu dresses ta couche; C'est aussi là que tu montes pour offrir des sacrifices.
C'est dans les pierres polies des torrents qu'est ton partage, Voilà, voilà ton lot; C'est à elles que tu verses des libations, Que tu fais des offrandes: Puis-je être insensible à cela?
De qui vous moquez-vous? Contre qui ouvrez-vous une large bouche Et tirez-vous la langue? N'êtes-vous pas des enfants de péché, Une race de mensonge,
A force de marcher tu te fatigues, Et tu ne dis pas: J'y renonce! Tu trouves encore de la vigueur dans ta main: Aussi n'es-tu pas dans l'abattement.