15 verset biblique sur Bruit
Versets les plus Pertinents
Il apaise le mugissement des mers, le mugissement de leurs flots, Et le tumulte des peuples.
Je ferai cesser le bruit de tes chants, et l'on n'entendra plus le son de tes harpes.
Éloigne de moi le bruit de tes cantiques; Je n'écoute pas le son de tes luths.
On entend une rumeur sur les montagnes, Comme celle d'un peuple nombreux; On entend un tumulte de royaumes, de nations rassemblées: L'Éternel des armées passe en revue l'armée qui va combattre.
A cause du retentissement des sabots de ses puissants chevaux, Du bruit de ses chars et du fracas des roues; Les pères ne se tournent pas vers leurs enfants, Tant les mains sont affaiblies,
Lorsque Jésus fut arrivé à la maison du chef, et qu'il vit les joueurs de flûte et la foule bruyante,
Lorsqu'il arriva, Éli était dans l'attente, assis sur un siège près du chemin, car son coeur était inquiet pour l'arche de Dieu. A son entrée dans la ville, cet homme donna la nouvelle, et toute la ville poussa des cris. Éli, entendant ces cris, dit: Que signifie ce tumulte? Et aussitôt l'homme vint apporter la nouvelle à Éli.
Josué entendit la voix du peuple, qui poussait des cris, et il dit à Moïse: Il y a un cri de guerre dans le camp. Moïse répondit: Ce n'est ni un cri de vainqueurs, ni un cri de vaincus; ce que j'entends, c'est la voix de gens qui chantent.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
Et voici, la gloire du Dieu d'Israël s'avançait de l'orient. Sa voix était pareille au bruit des grandes eaux, et la terre resplendissait de sa gloire.
Car ainsi m'a parlé l'Éternel: Comme le lion, comme le lionceau rugit sur sa proie, Et, malgré tous les bergers rassemblés contre lui, Ne se laisse ni effrayer par leur voix, Ni intimider par leur nombre; De même l'Éternel des armées descendra Pour combattre sur la montagne de Sion et sur sa colline.
Là, on s'écrie: Pharaon, roi d'Égypte, Ce n'est qu'un bruit; il a laissé passer le moment.
A les entendre, on dirait un bruit de chars Sur le sommet des montagnes où ils bondissent, On dirait un pétillement de la flamme du feu, Quand elle consume le chaume. C'est comme une armée puissante Qui se prépare au combat.
On entend le bruit du fouet, Le bruit des roues, Le galop des chevaux, Le roulement des chars.
J'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout Puissant; c'était un bruit tumultueux, comme celui d'une armée; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes.