14 Versets de la Bible sur La Mort Des Bébés
Versets les plus Pertinents
Elisée donc entra dans la maison, et voilà l'enfant mort était couché sur son lit.
Et il arriva que l'enfant mourut le septième jour, et les serviteurs de David craignaient de lui [apprendre] que l'enfant était mort; car ils disaient : Voici, quand l'enfant était en vie, nous lui avons parlé, et il n'a point voulu écouter notre voix; comment donc lui dirions-nous que l'enfant est mort, afin qu'il s'afflige davantage?
Et qui usant de ruse contre notre nation, maltraita nos pères, jusqu'à leur faire exposer leurs enfants à l'abandon, afin d'en faire périr la race.
Or l'enfant de cette femme est mort la nuit, parce qu'elle s'était couchée sur lui.
Alors Hérode voyant que les Sages s'étaient moqués de lui, fut fort en colère, et il envoya tuer tous les enfants qui étaient à Bethléhem, et dans tout son territoire; depuis l'âge de deux ans, et au-dessous, selon le temps dont il s'était exactement informé des Sages.
Va maintenant, et frappe Hamalec, et détruisez à la façon de l'interdit tout ce qu'il a, et ne l'épargne point; mais fais mourir tant les hommes que les femmes; tant les grands que ceux qui tètent, tant les bœufs que le menu bétail, tant les chameaux que les ânes.
Le Roi d'Egypte commanda aussi aux sages-femmes Hébreues, dont l'une avait nom Siphra, et l'autre avait nom Puha; Et leur dit : quand vous recevrez les enfants des femmes des Hébreux, et que vous les verrez sur les siéges, si c'est un fils, mettez-le à mort; mais si c'est une fille, qu'elle vive. Mais les sages-femmes craignirent Dieu, et ne firent pas ainsi que le Roi d'Egypte leur avait dit; car elles laissèrent vivre les fils.lire plus.
Alors le Roi d'Egypte appela les sages-femmes, et leur dit : pourquoi avez-vous fait cela, d'avoir laissé vivre les fils? Et les sages-femmes répondirent à Pharaon : parce que les Hébreues ne sont point comme les femmes Egyptiennes; car elles sont vigoureuses, [et] elles ont accouché avant que la sage-femme soit arrivée chez elle. Et Dieu fit du bien aux sages-femmes, et le peuple multiplia, et devint très puissant. Et parce que les sages-femmes craignirent Dieu, il leur édifia des maisons. Alors Pharaon commanda à tout son peuple, disant : jetez dans le fleuve tous les fils qui naîtront, mais laissez vivre toutes les filles.
Et Moïse dit : ainsi a dit l'Eternel : environ sur la minuit je passerai au travers de l'Egypte. Et tout premier-né mourra au pays d'Egypte, depuis le premier-né de Pharaon, qui devait être assis sur son trône, jusqu'au premier-né de la servante qui est employée à moudre; même tout premier-né des bêtes.
[Caph.] Mes yeux sont consumés à force de larmes, mes entrailles bruient, mon foie s’est répandu en terre, à cause de la plaie de la fille de mon peuple, parce que les petits enfants et ceux qui têtaient sont pâmés dans les places de la ville. [Lamed.] Ils ont dit à leurs mères : où [est] le froment et le vin? lorsqu’ils tombaient en faiblesse dans les places de la ville, comme un homme blessé à mort, et qu’ils rendaient l’esprit au sein de leurs mères.
Alors Hérode voyant que les Sages s'étaient moqués de lui, fut fort en colère, et il envoya tuer tous les enfants qui étaient à Bethléhem, et dans tout son territoire; depuis l'âge de deux ans, et au-dessous, selon le temps dont il s'était exactement informé des Sages. Alors fut accompli ce dont avait parlé Jérémie le Prophète, en disant : On a ouï à Rama un cri, une lamentation, des plaintes, et un grand gémissement : Rachel pleurant ses enfants, et n'ayant point voulu être consolée de ce qu'ils ne sont plus.
Mais comme le temps de la promesse pour laquelle Dieu avait juré à Abraham, s'approchait, le peuple s'augmenta et se multiplia en Egypte. Jusqu'à ce qu'il parût en Egypte un autre Roi, qui n'avait point connu Joseph; Et qui usant de ruse contre notre nation, maltraita nos pères, jusqu'à leur faire exposer leurs enfants à l'abandon, afin d'en faire périr la race.
Et tout premier-né mourra au pays d'Egypte, depuis le premier-né de Pharaon, qui devait être assis sur son trône, jusqu'au premier-né de la servante qui est employée à moudre; même tout premier-né des bêtes.
Ainsi nous avons bouilli mon fils, et l'avons mangé, et le jour d'après je lui ai dit : Donne ton fils, et mangeons-le; mais elle a caché son fils.
Et il dit : Quand l'enfant était encore en vie, j'ai jeûné, et pleuré; car je disais : Qui sait si l'Eternel aura pitié de moi, et si l'enfant ne vivra point?