4905 occurences en traduction 1

'Du' dans la Bible

Ton cou est comme une tour d'ivoire; Tes yeux sont comme les étangs de Hesbon, Près de la porte de Bath Rabbim; Ton nez est comme la tour du Liban, Qui regarde du côté de Damas.

Je veux te conduire, t'amener à la maison de ma mère; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades.

Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé? -Je t'ai réveillée sous le pommier; Là ta mère t'a enfantée, C'est là qu'elle t'a enfantée, qu'elle t'a donné le jour. -

De la plante du pied jusqu'à la tête, rien n'est en bon état: Ce ne sont que blessures, contusions et plaies vives, Qui n'ont été ni pansées, ni bandées, Ni adoucies par l'huile.

Des peuples s'y rendront en foule, et diront: Venez, et montons à la montagne de l'Éternel, A la maison du Dieu de Jacob, Afin qu'il nous enseigne ses voies, Et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, Et de Jérusalem la parole de l'Éternel.

Contre tous les cèdres du Liban, hauts et élevés, Et contre tous les chênes de Basan;

Ce jour-là même il répondra: Je ne saurais être un médecin, Et dans ma maison il n'y a ni pain ni vêtement; Ne m'établissez pas chef du peuple!

L'Éternel entre en jugement Avec les anciens de son peuple et avec ses chefs: Vous avez brouté la vigne! La dépouille du pauvre est dans vos maisons!

En ce temps-là, le germe de l'Éternel Aura de la magnificence et de la gloire, Et le fruit du pays aura de l'éclat et de la beauté Pour les réchappés d'Israël.

Après que le Seigneur aura lavé les ordures des filles de Sion, Et purifié Jérusalem du sang qui est au milieu d'elle, Par le souffle de la justice et par le souffle de la destruction.

La vigne de l'Éternel des armées, c'est la maison d'Israël, Et les hommes de Juda, c'est le plant qu'il chérissait. Il avait espéré de la droiture, et voici du sang versé! De la justice, et voici des cris de détresse!

Malheur à ceux qui tirent l'iniquité avec les cordes du vice, Et le péché comme avec les traits d'un char,

Et qui disent: Qu'il hâte, qu'il accélère son oeuvre, Afin que nous la voyions! Que le décret du Saint d'Israël arrive et s'exécute, Afin que nous le connaissions!

C'est pourquoi, comme une langue de feu dévore le chaume, Et comme la flamme consume l'herbe sèche, Ainsi leur racine sera comme de la pourriture, Et leur fleur se dissipera comme de la poussière; Car ils ont dédaigné la loi de l'Éternel des armées, Et ils ont méprisé la parole du Saint d'Israël.

Il arriva, du temps d'Achaz, fils de Jotham, fils d'Ozias, roi de Juda, que Retsin, roi de Syrie, monta avec Pékach, fils de Remalia, roi d'Israël, contre Jérusalem, pour l'assiéger; mais il ne put l'assiéger.

Alors l'Éternel dit à Ésaïe: Va à la rencontre d'Achaz, toi et Schear Jaschub, ton fils, vers l'extrémité de l'aqueduc de l'étang supérieur, sur la route du champ du foulon.

Et dis-lui: Sois tranquille, ne crains rien, Et que ton coeur ne s'alarme pas, Devant ces deux bouts de tisons fumants, Devant la colère de Retsin et de la Syrie, et du fils de Remalia,

De ce que la Syrie médite du mal contre toi, De ce qu'Éphraïm et le fils de Remalia disent:

En ce jour-là, le Seigneur rasera, avec un rasoir pris à louage Au delà du fleuve, Avec le roi d'Assyrie, La tête et le poil des pieds; Il enlèvera aussi la barbe.

Parce que ce peuple a méprisé les eaux de Siloé qui coulent doucement Et qu'il s'est réjoui au sujet de Retsin et du fils de Remalia, Voici, le Seigneur va faire monter

contre eux Les puissantes et grandes eaux du fleuve (Le roi d'Assyrie et toute sa gloire); Il s'élèvera partout au-dessus de son lit, Et il se répandra sur toutes ses rives;

Mais les ténèbres ne régneront pas toujours Sur la terre où il y a maintenant des angoisses: Si les temps passés ont couvert d'opprobre Le pays de Zabulon et le pays de Nephthali, Les temps à venir couvriront de gloire La contrée voisine de la mer, au delà du Jourdain, Le territoire des Gentils.

Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d'allégresse au partage du butin.

Par la colère de l'Éternel des armées le pays est embrasé, Et le peuple est comme la proie du feu; Nul n'épargne son frère.

Que ferez-vous au jour du châtiment, Et de la ruine qui du lointain fondra sur vous? Vers qui fuirez-vous, pour avoir du secours, Et où laisserez-vous votre gloire?

Je l'ai lâché contre une nation impie, Je l'ai fait marcher contre le peuple de mon courroux, Pour qu'il se livre au pillage et fasse du butin, Pour qu'il le foule aux pieds comme la boue des rues.

La hache se glorifie-t-elle envers celui qui s'en sert? Ou la scie est-elle arrogante envers celui qui la manie? Comme si la verge faisait mouvoir celui qui la lève, Comme si le bâton soulevait celui qui n'est pas du bois!

Mais il jugera les pauvres avec équité, Et il prononcera avec droiture sur les malheureux de la terre; Il frappera la terre de sa parole comme d'une verge, Et du souffle de ses lèvres il fera mourir le méchant.

Le nourrisson s'ébattra sur l'antre de la vipère, Et l'enfant sevré mettra sa main dans la caverne du basilic.

Et il y aura une route pour le reste de son peuple, Qui sera échappé de l'Assyrie, Comme il y en eut une pour Israël, Le jour où il sortit du pays d'Égypte.

Gémissez, car le jour de l'Éternel est proche: Il vient comme un ravage du Tout Puissant.

Les animaux du désert y prendront leur gîte, Les hiboux rempliront ses maisons, Les autruches en feront leur demeure Et les boucs y sauteront.

Et quand l'Éternel t'aura donné du repos, Après tes fatigues et tes agitations, Et après la dure servitude qui te fut imposée,

Toute la terre jouit du repos et de la paix; On éclate en chants d'allégresse,

Les cyprès même, les cèdres du Liban, se réjouissent de ta chute: Depuis que tu es tombé, personne ne monte pour nous abattre.

Tu disais en ton coeur: Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; Je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, A l'extrémité du septentrion;

J'en ferai le gîte du hérisson et un marécage, Et je la balaierai avec le balai de la destruction, Dit l'Éternel des armées.

L'année de la mort du roi Achaz, cet oracle fut prononcé:

Ne te réjouis pas, pays des Philistins, De ce que la verge qui te frappait est brisée! Car de la racine du serpent sortira un basilic, Et son fruit sera un dragon volant.

Porte, gémis! ville, lamente-toi! Tremble, pays tout entier des Philistins! Car du nord vient une fumée, Et les rangs de l'ennemi sont serrés. -

Et que répondra-t-on aux envoyés du peuple? -Que l'Éternel a fondé Sion, Et que les malheureux de son peuple y trouvent un refuge.

C'est pourquoi ils ramassent ce qui leur reste, Et ils transportent leurs biens au delà du torrent des saules.

Les eaux de Dimon sont pleines de sang, Et j'enverrai sur Dimon de nouveaux malheurs, Un lion contre les réchappés de Moab, Contre le reste du pays.

Envoyez les agneaux au souverain du pays, Envoyez-les de Séla, par le désert, A la montagne de la fille de Sion.

Et le trône s'affermira par la clémence; Et l'on y verra siéger fidèlement, dans la maison de David, Un juge ami du droit et zélé pour la justice. -

Et maintenant l'Éternel parle, et dit: Dans trois ans, comme les années d'un mercenaire, La gloire de Moab sera l'objet du mépris, Avec toute cette grande multitude; Et ce qui restera sera peu de chose, presque rien.

C'en est fait de la forteresse d'Éphraïm, Et du royaume de Damas, et du reste de la Syrie: Il en sera comme de la gloire des enfants d'Israël, Dit l'Éternel des armées.

Il ne regardera plus vers les autels, Ouvrage de ses mains, Et il ne contemplera plus ce que ses doigts ont fabriqué, Les idoles d'Astarté et les statues du soleil.

Car tu as oublié le Dieu de ton salut, Tu ne t'es pas souvenu du rocher de ton refuge. Aussi tu as fait des plantations d'agrément, Tu as planté des ceps étrangers;

Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.

Vous tous, habitants du monde, habitants de la terre, Voyez la bannière qui se dresse sur les montagnes, Écoutez la trompette qui sonne!

L'esprit de l'Égypte disparaîtra du milieu d'elle, Et j'anéantirai son conseil; On consultera les idoles et les enchanteurs, Ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir.

Ce ne sera que nudité le long du fleuve, à l'embouchure du fleuve; Tout ce qui aura été semé près du fleuve se desséchera, Se réduira en poussière et périra.

Les soutiens du pays seront dans l'abattement, Tous les mercenaires auront l'âme attristée.

En ce même temps, il y aura un autel à l'Éternel Au milieu du pays d'Égypte, Et sur la frontière un monument à l'Éternel.

Et les habitants de cette côte diront en ce jour: Voilà ce qu'est devenu l'objet de notre attente, sur lequel nous avions compté pour être secourus, pour être délivrés du roi d'Assyrie! Comment échapperons-nous?

Oracle sur le désert de la mer. Comme s'avance l'ouragan du midi, Il vient du désert, du pays redoutable.

O mon peuple, qui as été battu comme du grain dans mon aire! Ce que j'ai appris de l'Éternel des armées, Dieu d'Israël, Je vous l'ai annoncé.

Portez de l'eau à ceux qui ont soif; Les habitants du pays de Théma Portent du pain aux fugitifs.

C'est pourquoi je dis: Détournez de moi les regards, Laissez-moi pleurer amèrement; N'insistez pas pour me consoler Du désastre de la fille de mon peuple.

Et voici de la gaîté et de la joie! On égorge des boeufs et l'on tue des brebis, On mange de la viande et l'on boit du vin: Mangeons et buvons, car demain nous mourrons! -

Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel des armées: Va vers ce courtisan, Vers Schebna, gouverneur du palais:

Oracle sur Tyr. Lamentez-vous, navires de Tarsis! Car elle est détruite: plus de maisons! plus d'entrée! C'est du pays de Kittim que la nouvelle leur en est venue.

A travers les vastes eaux, le blé du Nil, La moisson du fleuve, était pour elle un revenu; Elle était le marché des nations.

Vois les Chaldéens, qui n'étaient pas un peuple, Ces habitants du désert, pour qui l'Assyrien a fondé un pays; Ils élèvent des tours, ils renversent les palais de Tyr, Ils les mettent en ruines.

Au bout de soixante-dix ans, l'Éternel visitera Tyr, Et elle retournera à son salaire impur; Elle se prostituera à tous les royaumes de la terre, Sur la face du monde.

Et il en est du sacrificateur comme du peuple, Du maître comme du serviteur, De la maîtresse comme de la servante, Du vendeur comme de l'acheteur, Du prêteur comme de l'emprunteur, Du créancier comme du débiteur.

Le pays est triste, épuisé; Les habitants sont abattus, languissants; Les chefs du peuple sont sans force.

C'est pourquoi la malédiction dévore le pays, Et ses habitants portent la peine de leurs crimes; C'est pourquoi les habitants du pays sont consumés, Et il n'en reste qu'un petit nombre.

On crie dans les rues, parce que le vin manque; Toute réjouissance a disparu, L'allégresse est bannie du pays.

Mon âme te désire pendant la nuit, Et mon esprit te cherche au dedans de moi; Car, lorsque tes jugements s'exercent sur la terre, Les habitants du monde apprennent la justice.

Multiplie le peuple, ô Éternel! Multiplie le peuple, manifeste ta gloire; Recule toutes les limites du pays.

Nous avons conçu, nous avons éprouvé des douleurs, Et, quand nous enfantons, ce n'est que du vent: Le pays n'est pas sauvé, Et ses habitants ne sont pas nés.

C'est avec mesure que tu l'as châtié par l'exil, En l'emportant par le souffle impétueux du vent d'orient.

Ainsi le crime de Jacob a été expié, Et voici le fruit du pardon de son péché: L'Éternel a rendu toutes les pierres des autels Pareilles à des pierres de chaux réduites en poussière; Les idoles d'Astarté et les statues du soleil ne se relèveront plus.

En ce temps-là, L'Éternel secouera des fruits, Depuis le cours du fleuve jusqu'au torrent d'Égypte; Et vous serez ramassés un à un, enfants d'Israël!

Voici venir, de la part du Seigneur, un homme fort et puissant, Comme un orage de grêle, un ouragan destructeur, Comme une tempête qui précipite des torrents d'eaux: Il la fait tomber en terre avec violence.

Il lui disait: Voici le repos, Laissez reposer celui qui est fatigué; Voici le lieu du repos! Mais ils n'ont point voulu écouter.

Je ferai de la droiture une règle, Et de la justice un niveau; Et la grêle emportera le refuge de la fausseté, Et les eaux inonderont l'abri du mensonge.

Maintenant, ne vous livrez point à la moquerie, De peur que vos liens ne soient resserrés; Car la destruction de tout le pays est résolue; Je l'ai appris du Seigneur, de l'Éternel des armées.

N'est-ce pas après en avoir aplani la surface Qu'il répand de la nielle et sème du cumin; Qu'il met le froment par rangées, L'orge à une place marquée, Et l'épeautre sur les bords?

On ne foule pas la nielle avec le traîneau, Et la roue du chariot ne passe pas sur le cumin; Mais on bat la nielle avec le bâton, Et le cumin avec la verge.

On bat le blé, Mais on ne le bat pas toujours; On y pousse la roue du chariot et les chevaux, Mais on ne l'écrase pas.

Quelle perversité est la vôtre! Le potier doit-il être considéré comme de l'argile, Pour que l'ouvrage dise de l'ouvrier: Il ne m'a point fait? Pour que le vase dise du potier: Il n'a point d'intelligence?

En ce jour-là, les sourds entendront les paroles du livre; Et, délivrés de l'obscurité et des ténèbres, Les yeux des aveugles verront.

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