139 occurences en traduction 1

'Du' dans la Bible

Anne se leva, après que l'on eut mangé et bu à Silo. Le sacrificateur Éli était assis sur un siège, près de l'un des poteaux du temple de l'Éternel.

Ceux qui étaient rassasiés se louent pour du pain, Et ceux qui étaient affamés se reposent; Même la stérile enfante sept fois, Et celle qui avait beaucoup d'enfants est flétrie.

De la poussière il retire le pauvre, Du fumier il relève l'indigent, Pour les faire asseoir avec les grands. Et il leur donne en partage un trône de gloire; Car à l'Éternel sont les colonnes de la terre, Et c'est sur elles qu'il a posé le monde.

Les ennemis de l'Éternel trembleront; Du haut des cieux il lancera sur eux son tonnerre; L'Éternel jugera les extrémités de la terre. Il donnera la puissance à son roi, Et il relèvera la force de son oint.

Et voici quelle était la manière d'agir de ces sacrificateurs à l'égard du peuple. Lorsque quelqu'un offrait un sacrifice, le serviteur du sacrificateur arrivait au moment où l'on faisait cuire la chair. Tenant à la main une fourchette à trois dents,

Même avant qu'on fît brûler la graisse, le serviteur du sacrificateur arrivait et disait à celui qui offrait le sacrifice: Donne pour le sacrificateur de la chair à rôtir; il ne recevra de toi point de chair cuite, c'est de la chair crue qu'il veut.

Et quiconque restera de ta maison viendra se prosterner devant lui pour avoir une pièce d'argent et un morceau de pain, et dira: Attache-moi, je te prie, à l'une des fonctions du sacerdoce, afin que j'aie un morceau de pain à manger.

Je lui ai déclaré que je veux punir sa maison à perpétuité, à cause du crime dont il a connaissance, et par lequel ses fils se sont rendus méprisables, sans qu'il les ait réprimés.

Un homme de Benjamin accourut du champ de bataille et vint à Silo le même jour, les vêtements déchirés et la tête couverte de terre.

Lorsqu'il arriva, Éli était dans l'attente, assis sur un siège près du chemin, car son coeur était inquiet pour l'arche de Dieu. A son entrée dans la ville, cet homme donna la nouvelle, et toute la ville poussa des cris.

L'homme dit à Éli: J'arrive du champ de bataille, et c'est du champ de bataille que je me suis enfui aujourd'hui. Éli dit: Que s'est-il passé, mon fils?

Voyant qu'il en était ainsi, les gens d'Asdod dirent: L'arche du Dieu d'Israël ne restera pas chez nous, car il appesantit sa main sur nous et sur Dagon, notre dieu.

Et ils firent chercher et assemblèrent auprès d'eux tous les princes des Philistins, et ils dirent: Que ferons-nous de l'arche du Dieu d'Israël? Les princes répondirent: Que l'on transporte à Gath l'arche du Dieu d'Israël. Et l'on y transporta l'arche du Dieu d'Israël.

Alors ils envoyèrent l'arche de Dieu à Ékron. Lorsque l'arche de Dieu entra dans Ékron, les Ékroniens poussèrent des cris, en disant: On a transporté chez nous l'arche du Dieu d'Israël, pour nous faire mourir, nous et notre peuple!

Et ils firent chercher et assemblèrent tous les princes des Philistins, et ils dirent: Renvoyez l'arche du Dieu d'Israël; qu'elle retourne en son lieu, et qu'elle ne nous fasse pas mourir, nous et notre peuple. Car il y avait dans toute la ville une terreur mortelle; la main de Dieu s'y appesantissait fortement.

Ils répondirent: Si vous renvoyez l'arche du Dieu d'Israël, ne la renvoyez point à vide, mais faites à Dieu un sacrifice de culpabilité; alors vous guérirez, et vous saurez pourquoi sa main ne s'est pas retirée de dessus vous.

Suivez-la du regard: si elle monte par le chemin de sa frontière vers Beth Schémesch, c'est l'Éternel qui nous a fait ce grand mal; sinon, nous saurons que ce n'est pas sa main qui nous a frappés, mais que cela nous est arrivé par hasard.

Le char arriva dans le champ de Josué de Beth Schémesch, et s'y arrêta. Il y avait là une grande pierre. On fendit le bois du char, et l'on offrit les vaches en holocauste à l'Éternel.

Il s'était passé bien du temps depuis le jour où l'arche avait été déposée à Kirjath Jearim. Vingt années s'étaient écoulées. Alors toute la maison d'Israël poussa des gémissements vers l'Éternel.

Samuel dit à toute la maison d'Israël: Si c'est de tout votre coeur que vous revenez à l'Éternel, ôtez du milieu de vous les dieux étrangers et les Astartés, dirigez votre coeur vers l'Éternel, et servez-le lui seul; et il vous délivrera de la main des Philistins.

Et les enfants d'Israël ôtèrent du milieu d'eux les Baals et les Astartés, et ils servirent l'Éternel seul.

Samuel prit une pierre, qu'il plaça entre Mitspa et Schen, et il l'appela du nom d'Ében Ézer, en disant: Jusqu'ici l'Éternel nous a secourus.

L'Éternel dit à Samuel: Écoute la voix du peuple dans tout ce qu'il te dira; car ce n'est pas toi qu'ils rejettent, c'est moi qu'ils rejettent, afin que je ne règne plus sur eux.

Écoute donc leur voix; mais donne-leur des avertissements, et fais-leur connaître le droit du roi qui régnera sur eux.

Il dit: Voici quel sera le droit du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et il les mettra sur ses chars et parmi ses cavaliers, afin qu'ils courent devant son char;

Il prendra la dîme du produit de vos semences et de vos vignes, et la donnera à ses serviteurs.

Samuel, après avoir entendu toutes les paroles du peuple, les redit aux oreilles de l'Éternel.

Il avait un fils du nom de Saül, jeune et beau, plus beau qu'aucun des enfants d'Israël, et les dépassant tous de la tête.

Demain, à cette heure, je t'enverrai un homme du pays de Benjamin, et tu l'oindras pour chef de mon peuple d'Israël. Il sauvera mon peuple de la main des Philistins; car j'ai regardé mon peuple, parce que son cri est venu jusqu'à moi.

Saül s'approcha de Samuel au milieu de la porte, et dit: Indique-moi, je te prie, où est la maison du voyant.

Ils descendirent du haut lieu à la ville, et Samuel s'entretint avec Saül sur le toit.

Aujourd'hui, après m'avoir quitté, tu trouveras deux hommes près du sépulcre de Rachel, sur la frontière de Benjamin, à Tseltsach. Ils te diront: Les ânesses que tu es allé chercher sont retrouvées; et voici, ton père ne pense plus aux ânesses, mais il est en peine de vous, et dit: Que dois-je faire au sujet de mon fils?

Après cela, tu arriveras à Guibea Élohim, où se trouve une garnison de Philistins. En entrant dans la ville, tu rencontreras une troupe de prophètes descendant du haut lieu, précédés du luth, du tambourin, de la flûte et de la harpe, et prophétisant eux-mêmes.

On courut le tirer de là, et il se présenta au milieu du peuple. Il les dépassait tous de la tête.

Les messagers arrivèrent à Guibea de Saül, et dirent ces choses aux oreilles du peuple. Et tout le peuple éleva la voix, et pleura.

Il prit une paire de boeufs, et les coupa en morceaux, qu'il envoya par les messagers dans tout le territoire d'Israël, en disant: Quiconque ne marchera pas à la suite de Saül et de Samuel, aura ses boeufs traités de la même manière. La terreur de l'Éternel s'empara du peuple, qui se mit en marche comme un seul homme.

Ils dirent aux messagers qui étaient venus: Vous parlerez ainsi aux habitants de Jabès en Galaad: Demain vous aurez du secours, quand le soleil sera dans sa chaleur. Les messagers portèrent cette nouvelle à ceux de Jabès, qui furent remplis de joie;

Le lendemain, Saül divisa le peuple en trois corps. Ils pénétrèrent dans le camp des Ammonites à la veille du matin, et ils les battirent jusqu'à la chaleur du jour. Ceux qui échappèrent furent dispersés, et il n'en resta pas deux ensemble.

Alors Samuel dit au peuple: C'est l'Éternel qui a établi Moïse et Aaron, et qui a fait monter vos pères du pays d'Égypte.

Mais ils oublièrent l'Éternel, leur Dieu; et ils les vendit entre les mains de Sisera, chef de l'armée de Hatsor, entre les mains des Philistins, et entre les mains du roi de Moab, qui leur firent la guerre.

Ne sommes-nous pas à la moisson des blés? J'invoquerai l'Éternel, et il enverra du tonnerre et de la pluie. Sachez alors et voyez combien vous avez eu tort aux yeux de l'Éternel de demander pour vous un roi.

Samuel invoqua l'Éternel, et l'Éternel envoya ce même jour du tonnerre et de la pluie. Tout le peuple eut une grande crainte de l'Éternel et de Samuel.

Saül choisit trois mille hommes d'Israël: deux mille étaient avec lui à Micmasch et sur la montagne de Béthel, et mille étaient avec Jonathan à Guibea de Benjamin. Il renvoya le reste du peuple, chacun à sa tente.

Puis Samuel se leva, et monta de Guilgal à Guibea de Benjamin. Saül fit la revue du peuple qui se trouvait avec lui: il y avait environ six cents hommes.

Il sortit du camp des Philistins trois corps pour ravager: l'un prit le chemin d'Ophra, vers le pays de Schual;

l'autre prit le chemin de Beth Horon; et le troisième prit le chemin de la frontière qui regarde la vallée de Tseboïm, du côté du désert.

Il arriva qu'au jour du combat il ne se trouvait ni épée ni lance entre les mains de tout le peuple qui était avec Saül et Jonathan; il ne s'en trouvait qu'auprès de Saül et de Jonathan, son fils.

Et les hommes du poste s'adressèrent ainsi à Jonathan et à celui qui portait ses armes: Montez vers nous, et nous vous ferons savoir quelque chose. Jonathan dit à celui qui portait ses armes: Monte après moi, car l'Éternel les livre entre les mains d'Israël.

Alors Saül dit au peuple qui était avec lui: Comptez, je vous prie, et voyez qui s'en est allé du milieu de nous. Ils comptèrent, et voici, il manquait Jonathan et celui qui portait ses armes.

Puis Saül et tout le peuple qui était avec lui se rassemblèrent, et ils s'avancèrent jusqu'au lieu du combat; et voici, les Philistins tournèrent l'épée les uns contre les autres, et la confusion était extrême.

Tout le peuple était arrivé dans une forêt, où il y avait du miel à la surface du sol.

Lorsque le peuple entra dans la forêt, il vit du miel qui coulait; mais nul ne porta la main à la bouche, car le peuple respectait le serment.

Jonathan ignorait le serment que son père avait fait faire au peuple; il avança le bout du bâton qu'il avait à la main, le plongea dans un rayon de miel, et ramena la main à la bouche; et ses yeux furent éclaircis.

Alors quelqu'un du peuple, lui adressant la parole, dit: Ton père a fait jurer le peuple, en disant: Maudit soit l'homme qui prendra de la nourriture aujourd'hui! Or le peuple était épuisé.

Certes, si le peuple avait aujourd'hui mangé du butin qu'il a trouvé chez ses ennemis, la défaite des Philistins n'aurait-elle pas été plus grande?

Saül dit: Descendons cette nuit après les Philistins, pillons-les jusqu'à la lumière du matin, et n'en laissons pas un de reste. Ils dirent: Fais tout ce qui te semblera bon. Alors le sacrificateur dit: Approchons-nous ici de Dieu.

Saül dit: Approchez ici, vous tous chefs du peuple; recherchez et voyez comment ce péché a été commis aujourd'hui.

Saül dit à Jonathan: Déclare-moi ce que tu as fait. Jonathan le lui déclara, et dit: J'ai goûté un peu de miel, avec le bout du bâton que j'avais à la main: me voici, je mourrai.

Le nom de la femme de Saül était Achinoam, fille d'Achimaats. Le nom du chef de son armée était Abner, fils de Ner, oncle de Saül.

Il dit aux Kéniens: Allez, retirez-vous, sortez du milieu d'Amalek, afin que je ne vous fasse pas périr avec lui; car vous avez eu de la bonté pour tous les enfants d'Israël, lorsqu'ils montèrent d'Égypte. Et les Kéniens se retirèrent du milieu d'Amalek.

Un homme sortit alors du camp des Philistins et s'avança entre les deux armées. Il se nommait Goliath, il était de Gath, et il avait une taille de six coudées et un empan.

Sur sa tête était un casque d'airain, et il portait une cuirasse à écailles du poids de cinq mille sicles d'airain.

Saül et tout Israël entendirent ces paroles du Philistin, et ils furent effrayés et saisis d'une grande crainte.

Or David était fils de cet Éphratien de Bethléhem de Juda, nommé Isaï, qui avait huit fils, et qui, du temps de Saül, était vieux, avancé en âge.

David remit les objets qu'il portait entre les mains du gardien des bagages, et courut vers les rangs de l'armée. Aussitôt arrivé, il demanda à ses frères comment ils se portaient.

David dit aux hommes qui se trouvaient près de lui: Que fera-t-on à celui qui tuera ce Philistin, et qui ôtera l'opprobre de dessus Israël? Qui est donc ce Philistin, cet incirconcis, pour insulter l'armée du Dieu vivant?

David dit à Saül: Ton serviteur faisait paître les brebis de son père. Et quand un lion ou un ours venait en enlever une du troupeau,

C'est ainsi que ton serviteur a terrassé le lion et l'ours, et il en sera du Philistin, de cet incirconcis, comme de l'un d'eux, car il a insulté l'armée du Dieu vivant.

David dit encore: L'Éternel, qui m'a délivré de la griffe du lion et de la patte de l'ours, me délivrera aussi de la main de ce Philistin. Et Saül dit à David: Va, et que l'Éternel soit avec toi!

David dit au Philistin: Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot; et moi, je marche contre toi au nom de l'Éternel des armées, du Dieu de l'armée d'Israël, que tu as insultée.

Aujourd'hui l'Éternel te livrera entre mes mains, je t'abattrai et je te couperai la tête; aujourd'hui je donnerai les cadavres du camp des Philistins aux oiseaux du ciel et aux animaux de la terre. Et toute la terre saura qu'Israël a un Dieu.

Aussitôt que le Philistin se mit en mouvement pour marcher au-devant de David, David courut sur le champ de bataille à la rencontre du Philistin.

Il mit la main dans sa gibecière, y prit une pierre, et la lança avec sa fronde; il frappa le Philistin au front, et la pierre s'enfonça dans le front du Philistin, qui tomba le visage contre terre.

Il courut, s'arrêta près du Philistin, se saisit de son épée qu'il tira du fourreau, le tua et lui coupa la tête. Les Philistins, voyant que leur héros était mort, prirent la fuite.

David prit la tête du Philistin et la porta à Jérusalem, et il mit dans sa tente les armes du Philistin.

Lorsque Saül avait vu David marcher à la rencontre du Philistin, il avait dit à Abner, chef de l'armée: De qui ce jeune homme est-il fils, Abner? Abner répondit: Aussi vrai que ton âme est vivante, ô roi! je l'ignore.

Et quand David fut de retour après avoir tué le Philistin, Abner le prit et le mena devant Saül. David avait à la main la tête du Philistin.

Comme ils revenaient, lors du retour de David après qu'il eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d'Israël au-devant du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins et des triangles, et en poussant des cris de joie.

Il l'éloigna de sa personne, et il l'établit chef de mille hommes. David sortait et rentrait à la tête du peuple;

David répondit à Saül: Qui suis-je, et qu'est-ce que ma vie, qu'est-ce que la famille de mon père en Israël, pour que je devienne le gendre du roi?

Saül donna cet ordre à ses serviteurs: Parlez en confidence à David, et dites-lui: Voici, le roi est bien disposé pour toi, et tous ses serviteurs t'aiment; sois maintenant le gendre du roi.

Les serviteurs de Saül répétèrent ces paroles aux oreilles de David. Et David répondit: Croyez-vous qu'il soit facile de devenir le gendre du roi? Moi, je suis un homme pauvre et de peu d'importance.

Les serviteurs de Saül rapportèrent ces paroles à David, et David agréa ce qui lui était demandé pour qu'il devînt gendre du roi.

Avant le terme fixé, David se leva, partit avec ses gens, et tua deux cents hommes parmi les Philistins; il apporta leurs prépuces, et en livra au roi le nombre complet, afin de devenir gendre du roi. Alors Saül lui donna pour femme Mical, sa fille.

Et David lui répondit: Voici, c'est demain la nouvelle lune, et je devrais m'asseoir avec le roi pour manger; laisse-moi aller, et je me cacherai dans les champs jusqu'au soir du troisième jour.

que l'Éternel traite Jonathan dans toute sa rigueur! Dans le cas où mon père trouverait bon de te faire du mal, je t'informerai aussi et je te laisserai partir, afin que tu t'en ailles en paix; et que l'Éternel soit avec toi, comme il a été avec mon père!

Tu descendras le troisième jour jusqu'au fond du lieu où tu t'étais caché le jour de l'affaire, et tu resteras près de la pierre d'Ézel.

Je tirerai trois flèches du côté de la pierre, comme si je visais un but.

Il a dit: Laisse-moi aller, je te prie, car nous avons dans la ville un sacrifice de famille, et mon frère me l'a fait savoir; si donc j'ai trouvé grâce à tes yeux, permets que j'aille en hâte voir mes frères. C'est pour cela qu'il n'est point venu à la table du roi.

Après le départ du garçon, David se leva du côté du midi, puis se jeta le visage contre terre et se prosterna trois fois. Les deux amis s'embrassèrent et pleurèrent ensemble, David surtout fondit en larmes.

Le sacrificateur répondit à David: Je n'ai pas de pain ordinaire sous la main, mais il y a du pain consacré; si du moins tes gens se sont abstenus de femmes!

Alors le sacrificateur lui donna du pain consacré, car il n'y avait là d'autre pain que du pain de proposition, qu'on avait ôté de devant l'Éternel pour le remplacer par du pain chaud au moment où on l'avait pris.

David dit à Achimélec: N'as-tu pas sous la main une lance ou une épée? car je n'ai pris avec moi ni mon épée ni mes armes, parce que l'ordre du roi était pressant.

Les serviteurs d'Akisch lui dirent: N'est-ce pas là David, roi du pays? n'est-ce pas celui pour qui l'on chantait en dansant: Saül a frappé ses mille, -Et David ses dix mille?

Saül lui dit: Pourquoi avez-vous conspiré contre moi, toi et le fils d'Isaï? Pourquoi lui as-tu donné du pain et une épée, et as-tu consulté Dieu pour lui, afin qu'il s'élevât contre moi et me dressât des embûches, comme il le fait aujourd'hui?

Achimélec répondit au roi: Lequel d'entre tous tes serviteurs peut être comparé au fidèle David, gendre du roi, dévoué à ses ordres, et honoré dans ta maison?

Et le roi dit aux coureurs qui se tenaient près de lui: Tournez-vous, et mettez à mort les sacrificateurs de l'Éternel; car ils sont d'accord avec David, ils ont bien su qu'il s'enfuyait, et ils ne m'ont point averti. Mais les serviteurs du roi ne voulurent pas avancer la main pour frapper les sacrificateurs de l'Éternel.

Saül frappa encore du tranchant de l'épée Nob, ville sacerdotale; hommes et femmes, enfants et nourrissons, boeufs, ânes, et brebis, tombèrent sous le tranchant de l'épée.

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