43 Bible Verses about Anesse de Balaam
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Mais la colère de Dieu s'enflamma parce qu'il s'en allait, et l'Ange de l'Eternel se tint dans le chemin pour s'opposer à lui; or il était monté sur son ânesse, et il avait avec lui deux de ses Serviteurs.
Alors l'Eternel fit parler l'ânesse, qui dit à Balaam : Que t'ai-je fait, que tu m'aies déjà battue trois fois?
Mais la colère de Dieu s'enflamma parce qu'il s'en allait, et l'Ange de l'Eternel se tint dans le chemin pour s'opposer à lui; or il était monté sur son ânesse, et il avait avec lui deux de ses Serviteurs. Et l'ânesse vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait son épée nue en sa main, et elle se détourna du chemin, et s'en allait à travers champs; et Balaam frappa l'ânesse pour la faire retourner au chemin. Mais l'Ange de l'Eternel s'arrêta dans un sentier de vignes, qui avait une cloison deçà, et une cloison delà.lire plus.
Et l'ânesse ayant vu l'Ange de l'Eternel, se serra contre la muraille, et elle serrait contre la muraille le pied de Balaam; c'est pourquoi il continua à la frapper. Et l'Ange passa plus avant, et s'arrêta en un lieu étroit, où il n'y avait nul chemin pour tourner à droite ni à gauche. Et l'ânesse voyant l'Ange de l'Eternel, se coucha sous Balaam; et Balaam s'en mit en grande colère, et frappa l'ânesse avec son bâton. Alors l'Eternel fit parler l'ânesse, qui dit à Balaam : Que t'ai-je fait, que tu m'aies déjà battue trois fois? Et Balaam répondit à l'ânesse : Parce que tu t'es moquée de moi; plût à Dieu que j'eusse une épée en ma main, car je te tuerais sur-le-champ. Et l'ânesse dit à Balaam : Ne suis-je pas ton ânesse, sur laquelle tu as monté depuis que je suis à toi jusqu'à aujourd'hui? Ai-je accoutumé de te faire ainsi? Et il répondit : Non. Alors l'Eternel ouvrit les yeux de Balaam, et il vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait en sa main son épée nue; et il s'inclina et se prosterna sur son visage. Et l'Ange de l'Eternel lui dit : Pourquoi as-tu frappé ton ânesse déjà par trois fois? Voici je suis sorti pour m'opposer à toi; parce que ta voie est devant moi [une voie] détournée. Mais l'ânesse m'a vu et s'est détournée de devant moi déjà par trois fois ; autrement si elle ne se fût détournée de devant moi, je t'eusse même déjà tué, et je l'eusse laissée en vie. Alors Balaam dit à l'Ange de l'Eternel : J'ai péché, car je ne savais point que tu te tinsses dans le chemin contre moi; et maintenant si cela te déplaît, je m'en retournerai. Et l'Ange de l'Eternel dit à Balaam : Va avec ces hommes; mais tu diras seulement ce que je t'aurai dit. Balaam donc s'en alla avec les Seigneurs envoyés par Balac.
Lequel envoya des messagers à Balaam, fils de Béhor, en Péthor, située sur le fleuve, dans le pays des enfants de son peuple, pour l'appeler, en lui disant : Voici, un peuple est sorti d'Egypte; voici, il couvre le dessus de la terre, et il se tient campé tout proche de moi.
Alors l'Eternel fit parler l'ânesse, qui dit à Balaam : Que t'ai-je fait, que tu m'aies déjà battue trois fois? Et Balaam répondit à l'ânesse : Parce que tu t'es moquée de moi; plût à Dieu que j'eusse une épée en ma main, car je te tuerais sur-le-champ. Et l'ânesse dit à Balaam : Ne suis-je pas ton ânesse, sur laquelle tu as monté depuis que je suis à toi jusqu'à aujourd'hui? Ai-je accoutumé de te faire ainsi? Et il répondit : Non.
Mais j'ai quelque peu de chose contre toi : c'est que tu en as là qui retiennent la doctrine de Balaam, lequel enseignait Balac à mettre un scandale devant les enfants d'Israël, afin qu'ils mangeassent des choses sacrifiées aux idoles, et qu'ils se livrassent à la fornication.
Ainsi Balaam se leva le matin, et sella son ânesse, et s'en alla avec les Seigneurs de Moab. Mais la colère de Dieu s'enflamma parce qu'il s'en allait, et l'Ange de l'Eternel se tint dans le chemin pour s'opposer à lui; or il était monté sur son ânesse, et il avait avec lui deux de ses Serviteurs. Et l'ânesse vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait son épée nue en sa main, et elle se détourna du chemin, et s'en allait à travers champs; et Balaam frappa l'ânesse pour la faire retourner au chemin.lire plus.
Mais l'Ange de l'Eternel s'arrêta dans un sentier de vignes, qui avait une cloison deçà, et une cloison delà. Et l'ânesse ayant vu l'Ange de l'Eternel, se serra contre la muraille, et elle serrait contre la muraille le pied de Balaam; c'est pourquoi il continua à la frapper. Et l'Ange passa plus avant, et s'arrêta en un lieu étroit, où il n'y avait nul chemin pour tourner à droite ni à gauche. Et l'ânesse voyant l'Ange de l'Eternel, se coucha sous Balaam; et Balaam s'en mit en grande colère, et frappa l'ânesse avec son bâton. Alors l'Eternel fit parler l'ânesse, qui dit à Balaam : Que t'ai-je fait, que tu m'aies déjà battue trois fois? Et Balaam répondit à l'ânesse : Parce que tu t'es moquée de moi; plût à Dieu que j'eusse une épée en ma main, car je te tuerais sur-le-champ. Et l'ânesse dit à Balaam : Ne suis-je pas ton ânesse, sur laquelle tu as monté depuis que je suis à toi jusqu'à aujourd'hui? Ai-je accoutumé de te faire ainsi? Et il répondit : Non. Alors l'Eternel ouvrit les yeux de Balaam, et il vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait en sa main son épée nue; et il s'inclina et se prosterna sur son visage. Et l'Ange de l'Eternel lui dit : Pourquoi as-tu frappé ton ânesse déjà par trois fois? Voici je suis sorti pour m'opposer à toi; parce que ta voie est devant moi [une voie] détournée. Mais l'ânesse m'a vu et s'est détournée de devant moi déjà par trois fois ; autrement si elle ne se fût détournée de devant moi, je t'eusse même déjà tué, et je l'eusse laissée en vie. Alors Balaam dit à l'Ange de l'Eternel : J'ai péché, car je ne savais point que tu te tinsses dans le chemin contre moi; et maintenant si cela te déplaît, je m'en retournerai. Et l'Ange de l'Eternel dit à Balaam : Va avec ces hommes; mais tu diras seulement ce que je t'aurai dit. Balaam donc s'en alla avec les Seigneurs envoyés par Balac. Quand Balac apprit que Balaam venait, il sortit pour aller au devant de lui, en la cité de Moab, sur la frontière d'Arnon, au bout de la frontière. Et Balac dit à Balaam : N'ai-je pas auparavant envoyé vers toi pour t'appeler? pourquoi n'es-tu pas venu vers moi? est-ce que je ne pourrais pas te récompenser? Et Balaam répondit à Balac : Voici, je suis venu vers toi; mais pourrais-je maintenant dire quelque chose [de moi-même]? je ne dirai que ce que Dieu m'aura mis dans la bouche. Et Balaam s'en alla avec Balac, et ils vinrent en la cité de Hutsoth. Et Balac sacrifia des bœufs et des brebis, et il en envoya à Balaam, et aux Seigneurs qui étaient venus avec lui. Et quand le matin fut venu, il prit Balaam, et le fit monter aux hauts lieux de Bahal, et de là il vit une des extrémités du peuple.
Et l'ânesse vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait son épée nue en sa main, et elle se détourna du chemin, et s'en allait à travers champs; et Balaam frappa l'ânesse pour la faire retourner au chemin.
Et Moab dit aux Anciens de Madian : Maintenant cette multitude broutera tout ce qui est autour de nous, comme le bœuf broute l'herbe du champ. Or en ce temps-là Balac, fils de Tsippor, était Roi de Moab.
Et Dieu vint la nuit à Balaam, et lui dit : Puisque ces hommes sont venus t'appeler, lève-toi, et t'en va avec eux; mais quoi qu'il en soit tu feras ce que je te dirai.
Ainsi Balaam se leva le matin, et sella son ânesse, et s'en alla avec les Seigneurs de Moab. Mais la colère de Dieu s'enflamma parce qu'il s'en allait, et l'Ange de l'Eternel se tint dans le chemin pour s'opposer à lui; or il était monté sur son ânesse, et il avait avec lui deux de ses Serviteurs. Et l'ânesse vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait son épée nue en sa main, et elle se détourna du chemin, et s'en allait à travers champs; et Balaam frappa l'ânesse pour la faire retourner au chemin.lire plus.
Mais l'Ange de l'Eternel s'arrêta dans un sentier de vignes, qui avait une cloison deçà, et une cloison delà. Et l'ânesse ayant vu l'Ange de l'Eternel, se serra contre la muraille, et elle serrait contre la muraille le pied de Balaam; c'est pourquoi il continua à la frapper. Et l'Ange passa plus avant, et s'arrêta en un lieu étroit, où il n'y avait nul chemin pour tourner à droite ni à gauche. Et l'ânesse voyant l'Ange de l'Eternel, se coucha sous Balaam; et Balaam s'en mit en grande colère, et frappa l'ânesse avec son bâton. Alors l'Eternel fit parler l'ânesse, qui dit à Balaam : Que t'ai-je fait, que tu m'aies déjà battue trois fois? Et Balaam répondit à l'ânesse : Parce que tu t'es moquée de moi; plût à Dieu que j'eusse une épée en ma main, car je te tuerais sur-le-champ. Et l'ânesse dit à Balaam : Ne suis-je pas ton ânesse, sur laquelle tu as monté depuis que je suis à toi jusqu'à aujourd'hui? Ai-je accoutumé de te faire ainsi? Et il répondit : Non. Alors l'Eternel ouvrit les yeux de Balaam, et il vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait en sa main son épée nue; et il s'inclina et se prosterna sur son visage.
Et quand le matin fut venu, il prit Balaam, et le fit monter aux hauts lieux de Bahal, et de là il vit une des extrémités du peuple.
Et l'Ange de l'Eternel lui dit : Pourquoi as-tu frappé ton ânesse déjà par trois fois? Voici je suis sorti pour m'opposer à toi; parce que ta voie est devant moi [une voie] détournée.
Et Balaam répondit à l'ânesse : Parce que tu t'es moquée de moi; plût à Dieu que j'eusse une épée en ma main, car je te tuerais sur-le-champ.
Alors l'Eternel ouvrit les yeux de Balaam, et il vit l'Ange de l'Eternel qui se tenait dans le chemin, et qui avait en sa main son épée nue; et il s'inclina et se prosterna sur son visage.
Voici ce sont elles qui à la parole de Balaam, ont donné [occasion] aux enfants d'Israël de pécher contre l'Eternel au fait de Péhor [ce qui attira] la plaie sur l'assemblée de l'Eternel.
Puis les enfants d'Israël partirent, et campèrent dans les campagnes de Moab, au deçà du Jourdain de Jéricho.
Qui ayant laissé le droit chemin, se sont égarés, et ont suivi le train de Balaam, [fils] de Bosor, qui aima le salaire d'iniquité; mais il fut repris de son injustice, [Car] une ânesse muette parlant d'une voix humaine, réprima la folie du prophète.
Et l'ânesse voyant l'Ange de l'Eternel, se coucha sous Balaam; et Balaam s'en mit en grande colère, et frappa l'ânesse avec son bâton.
Et Balaam dit à Balac : Bâtis-moi ici sept autels, et prépare-moi ici sept veaux et sept béliers.
Les enfants d'Israël firent passer aussi par l'épée Balaam fils de Béhor, le devin, avec les autres qui y furent tués.
Mon peuple, qu'il te souvienne, je te prie, quel conseil Balak Roi de Moab avait pris [contre toi], et de ce que Balaam fils de Béhor lui répondit : [et de ce que j'ai fait] depuis Sittim jusqu'à Guilgal, afin que tu connaisses les justices de l'Eternel.
Malheur à eux, car ils ont suivi le train de Caïn, et ont couru, par un égarement [tel que celui] de Balaam, [après] la récompense, et ont péri par une contradiction [semblable à celle] de Coré.
Quand Balac apprit que Balaam venait, il sortit pour aller au devant de lui, en la cité de Moab, sur la frontière d'Arnon, au bout de la frontière.
Viens donc maintenant, je te prie, maudis-moi ce peuple, car il est plus puissant que moi; peut-être que je serai le plus fort, et que nous le battrons, et que je le chasserai du pays; car je sais que celui que tu béniras, sera béni; et que celui que tu maudiras sera maudit.
Car certainement je te récompenserai beaucoup, et je ferai tout ce que tu me diras; je te prie donc viens, maudis moi ce peuple.
Et Balaam répondit et dit aux Serviteurs de Balac : Quand Balac me donnerait sa maison pleine d'or et d'argent, je ne pourrais point transgresser le commandement de l'Eternel mon Dieu, pour faire [aucune] chose, petite ni grande.
Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.
Et ils ont bâti les hauts lieux de Topheth, qui [est] dans la vallée du fils de Hinnom, pour brûler leurs fils et leurs filles au feu, ce que je n'ai pas commandé, et à quoi je n'ai jamais pensé.
Ainsi Balaam se leva le matin, et sella son ânesse, et s'en alla avec les Seigneurs de Moab.
Mais l'Ange de l'Eternel s'arrêta dans un sentier de vignes, qui avait une cloison deçà, et une cloison delà. Et l'ânesse ayant vu l'Ange de l'Eternel, se serra contre la muraille, et elle serrait contre la muraille le pied de Balaam; c'est pourquoi il continua à la frapper.
Et l'Ange passa plus avant, et s'arrêta en un lieu étroit, où il n'y avait nul chemin pour tourner à droite ni à gauche. Et l'ânesse voyant l'Ange de l'Eternel, se coucha sous Balaam; et Balaam s'en mit en grande colère, et frappa l'ânesse avec son bâton.
Et l'ânesse dit à Balaam : Ne suis-je pas ton ânesse, sur laquelle tu as monté depuis que je suis à toi jusqu'à aujourd'hui? Ai-je accoutumé de te faire ainsi? Et il répondit : Non.
Et la colère de l'Eternel s'embrasa contre Moïse, et il lui dit : Aaron le Lévite n'est-il pas ton frère? je sais qu'il parlera très-bien, et même le voilà qui sort à ta rencontre, et quand il te verra, il se réjouira dans son cœur.
Après il arriva que le peuple se plaignit de la fatigue, et l'Eternel l'ouït, et l'Eternel l'ayant ouï, sa colère s'embrasa, et le feu de l'Eternel s'alluma parmi eux, et en consuma [quelques-uns] à l'extrémité du camp.
Mais l'ânesse m'a vu et s'est détournée de devant moi déjà par trois fois ; autrement si elle ne se fût détournée de devant moi, je t'eusse même déjà tué, et je l'eusse laissée en vie.
Et Balaam répondit à Balac : Voici, je suis venu vers toi; mais pourrais-je maintenant dire quelque chose [de moi-même]? je ne dirai que ce que Dieu m'aura mis dans la bouche.
Or l'Eternel avait dit à Abram : Sors de ton pays, et d'avec ta parenté, et de la maison de ton père, [et viens] au pays que je te montrerai. Et je te ferai devenir une grande nation, et te bénirai, et je rendrai ton nom grand, et tu seras béni. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.
Et il leur répondit : Demeurez ici cette nuit, et je vous rendrai réponse selon que l'Eternel m'aura parlé. Et les Seigneurs des Moabites demeurèrent avec Balaam.
Et Dieu dit à Balaam : Tu n'iras point avec eux et tu ne maudiras point ce peuple; car il est béni.


