1 Pierre 2:18
Serviteurs, soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et équitables, mais aussi à ceux qui sont fâcheux :
Jacques 3:17
Mais la sagesse [qui vient] d'en haut, est premièrement pure, et ensuite pacifique, modérée, traitable, pleine de miséricorde, et de bons fruits, ne faisant point beaucoup de difficultés, et sans hypocrisie.
Psaumes 101:4
Le cœur mauvais se retirera d'auprès de moi; je n'avouerai point le méchant.
Proverbes 3:32
Car celui qui va de travers est en abomination à l'Eternel; mais son secret est avec ceux qui sont justes.
Proverbes 8:13
La crainte de l'Eternel c'est de haïr le mal. J'ai en haine l'orgueil et l'arrogance, la voie de méchanceté, la bouche hypocrite.
Proverbes 10:32
Les lèvres du juste connaissent ce qui est agréable; mais la bouche des méchants n'est que renversements.
Proverbes 11:20
Ceux qui sont dépravés de cœur, sont en abomination à l'Eternel; mais ceux qui sont intègres dans leurs voies, lui sont agréables.
2 Corinthiens 10:1
Au reste, moi Paul, je vous prie par la douceur et la débonnaireté de Christ, moi qui m'humilie lorsque je suis en votre présence, mais qui étant absent suis hardi à votre égard.
Galates 5:22
Mais le fruit de l'Esprit est la charité, la joie, la paix, un esprit patient, la bonté, la bénéficence, la fidélité, la douceur, la tempérance.
Éphésiens 6:5-7
Serviteurs obéissez à ceux qui sont vos maîtres selon la chair, avec crainte et tremblement, dans la simplicité de votre cœur, comme à Christ.
Colossiens 3:22-25
Serviteurs, obéissez en toutes choses à ceux qui sont vos maîtres selon la chair, ne servant point seulement sous leurs yeux, comme voulant complaire aux hommes, mais en simplicité de cœur, craignant Dieu.
1 Timothée 6:1-3
Que tous les esclaves sachent qu'ils doivent à leurs maîtres toute sorte d'honneur, afin qu'on ne blasphème point le Nom de Dieu, et [sa] doctrine.
Tite 2:9-10
Que les serviteurs soient soumis à leurs maîtres, leur complaisant en toutes choses, n'étant point contredisants;
Tite 3:2
De ne médire de personne; de n'être point querelleurs, [mais] doux, et montrant toute débonnaireté envers tous les hommes.
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