Je les ai dispersés parmi toutes les nations qu'ils ne connaissaient pas; le pays a été dévasté derrière eux, il n'y a plus eu ni allants ni venants; et d'un pays de délices ils ont fait un désert.

Un peuple que tu n'auras point connu mangera le fruit de ton sol et tout le produit de ton travail, et tu seras tous les jours opprimé et écrasé.

L'Éternel vous dispersera parmi les peuples, et vous ne resterez qu'un petit nombre au milieu des nations où l'Éternel vous emmènera.

L'Éternel te dispersera parmi tous les peuples, d'une extrémité de la terre à l'autre; et là, tu serviras d'autres dieux que n'ont connus ni toi, ni tes pères, du bois et de la pierre.

Voici, la tempête de l'Éternel, la fureur éclate, L'orage se précipite, Il fond sur la tête des méchants.

J'ai exterminé des nations; leurs tours sont détruites; J'ai dévasté leurs rues, plus de passants! Leurs villes sont ravagées, plus d'hommes, plus d'habitants!

Fuyez, fuyez du pays du septentrion! Dit l'Éternel. Car je vous ai dispersés aux quatre vents des cieux, Dit l'Éternel.

J'enverrai contre vous les animaux des champs, qui vous priveront de vos enfants, qui détruiront votre bétail, et qui vous réduiront à un petit nombre; et vos chemins seront déserts.

Je vous disperserai parmi les nations et je tirerai l'épée après vous. Votre pays sera dévasté, et vos villes seront désertes.

L'Éternel fera partir de loin, des extrémités de la terre, une nation qui fondra sur toi d'un vol d'aigle, une nation dont tu n'entendras point la langue,

afin que s'accomplît la parole de l'Éternel prononcée par la bouche de Jérémie; jusqu'à ce que le pays eût joui de ses sabbats, il se reposa tout le temps qu'il fut dévasté, jusqu'à l'accomplissement de soixante-dix ans.

Avant que vos chaudières sentent l'épine, Verte ou enflammée, le tourbillon l'emportera.

Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.

Oracle sur le désert de la mer. Comme s'avance l'ouragan du midi, Il vient du désert, du pays redoutable.

Car voici, l'Éternel arrive dans un feu, Et ses chars sont comme un tourbillon; Il convertit sa colère en un brasier, Et ses menaces en flammes de feu.

En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant souffle des lieux élevés du désert Sur le chemin de la fille de mon peuple, Non pour vanner ni pour nettoyer le grain.

Voici, je fais venir de loin une nation contre vous, maison d'Israël, Dit l'Éternel; C'est une nation forte, c'est une nation ancienne, Une nation dont tu ne connais pas la langue, Et dont tu ne comprendras point les paroles.

Ainsi parle l'Éternel des armées: Voici, la calamité va de nation en nation, Et une grande tempête s'élève des extrémités de la terre.

Voici, la tempête de l'Éternel, la fureur éclate, L'orage se précipite, Il fond sur la tête des méchants.

Les chefs dirent à Baruc: Va, cache-toi, ainsi que Jérémie, et que personne ne sache où vous êtes.

Ma colère et ma fureur se sont répandues, et ont embrasé les villes de Juda et les rues de Jérusalem, qui ne sont plus que des ruines et un désert, comme on le voit aujourd'hui.

la vingt-troisième année de Nebucadnetsar, Nebuzaradan, chef des gardes, emmena sept cent quarante-cinq Juifs; en tout quatre mille six cents personnes.

De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays.

Seigneur, selon ta grande miséricorde, que ta colère et ta fureur se détournent de ta ville de Jérusalem, de ta montagne sainte; car, à cause de nos péchés et des iniquités de nos pères, Jérusalem et ton peuple sont en opprobre à tous ceux qui nous entourent.

J'allumerai le feu dans les murs de Rabba, Et il en dévorera les palais, Au milieu des cris de guerre au jour du combat, Au milieu de l'ouragan au jour de la tempête;

L'Éternel est lent à la colère, il est grand par sa force; Il ne laisse pas impuni. L'Éternel marche dans la tempête, dans le tourbillon; Les nuées sont la poussière de ses pieds.

Tu perces de tes traits la tête de ses chefs, Qui se précipitent comme la tempête pour me disperser, Poussant des cris de joie, Comme s'ils dévoraient déjà le malheureux dans leur repaire.

L'Éternel au-dessus d'eux apparaîtra, Et sa flèche partira comme l'éclair; Le Seigneur, l'Éternel, sonnera de la trompette, Il s'avancera dans l'ouragan du midi.

Le Trésor de la connaissance des Écritures n'a pas ajouté

Toutes les Traductions
French: Darby
French: Louis Segond (1910)
French: Martin (1744)
Louis Segond Bible 1910