23 Versets de la Bible sur La Peur Des Ennemis
Versets les plus Pertinents
Et ta vie sera pendante devant toi; et tu seras dans l'effroi nuit et jour, et ne seras point assuré de ta vie.
L'épée venant de dehors les privera les uns des autres; et la frayeur, venant des cabinets [ravagera] le jeune homme et la vierge; l'enfant qui tète, et l'homme décrépit.
Alors le plus vaillant, celui-là même qui avait le cœur comme un lion, se fondra; car tout Israël sait que ton père est un homme de cœur, et que ceux qui sont avec lui sont vaillants.
Or quand les Philistins eurent appris que les enfants d'Israël étaient assemblés à Mitspa, les Gouverneurs des Philistins montèrent contre Israël; ce que les enfants d'Israël ayant appris, ils eurent peur des Philistins.
Et les Hébreux passèrent le Jourdain [pour aller] au pays de Gad, et de Galaad. Or comme Saül était encore à Guilgal, tout le peuple effrayé se rangea vers lui.
Et Saül voyant le camp des Philistins eut peur, et son cœur fut fort effrayé.
A cause des Caldéens; car ils avaient peur d'eux, parce qu'Ismaël fils de Néthania avait tué Guédalia fils d'Ahikam, qui avait été commis sur le pays par le Roi de Babylone.
Et tout le peuple depuis le plus petit jusqu'au plus grand, avec les capitaines des gens de guerre, se levèrent, et s'en allèrent en Egypte, parce qu'ils avaient peur des Caldéens.
Et les officiers continueront à parler au peuple, et diront : Si quelqu'un est timide et lâche, qu'il s'en aille, et s'en retourne en sa maison, de peur que le cœur de ses frères ne se fonde comme le sien.
Maintenant donc fais publier, le peuple l'entendant, et qu'on dise : Quiconque est timide et a peur, qu'il s'en retourne, et s'en aille dès le matin du côté de la montagne de Galaad; et vingt-deux mille du peuple s'en retournèrent; et il en resta dix mille.
Et que ses gués sont surpris, et que ses marais sont brûlés au feu, et que les hommes de guerre sont épouvantés.
C'est pourquoi le peuple du pays rendait lâches les mains du peuple de Juda, et les effrayait lorsqu'ils bâtissaient.
Et ils posèrent l'autel de Dieu sur sa base, parce qu'ils avaient peur en eux-mêmes des peuples du pays, et ils y offrirent des holocaustes à l'Eternel, les holocaustes du matin et du soir.
Car il était leur pensionnaire pour m'épouvanter, et pour m'obliger à agir de la sorte, et à commettre cette faute, afin qu'ils eussent quelque mauvaise chose à me reprocher.
Car eux tous nous épouvantaient, en disant : Leurs mains quitteront le travail, de sorte qu'il ne se fera point. Maintenant donc, [ô Dieu!] renforce mes mains.
Ô mon Dieu! souviens-toi de Tobija et de Samballat, selon leurs actions; et aussi de Nohadia prophétesse, et du reste des prophètes qui tâchaient de m'épouvanter.
La crainte et le tremblement se sont jetés sur moi, et l'épouvantement m'a couvert.
Car avant que quelques-uns fussent venus de la part de Jacques, il mangeait avec les Gentils; mais quand ceux-là furent venus, il s'en retira, et s'en sépara, craignant ceux qui étaient de la Circoncision.
Toutefois personne ne parlait franchement de lui, à cause de la crainte [qu'on avait] des Juifs.
Son père et sa mère dirent ces choses, parce qu'ils craignaient les Juifs; car les Juifs avaient déjà arrêté, que si quelqu'un l'avouait être le Christ, il serait chassé de la Synagogue.
Or après ces choses, Joseph d'Arimathée, qui était Disciple de Jésus, secret toutefois parce qu'il craignait les Juifs, pria Pilate qu'il lui permît d'ôter le corps de Jésus; et Pilate le lui ayant permis, il vint, et prit le corps de Jésus.
Et quand le soir de ce jour-là, qui était le premier de la semaine, fut venu, et que les portes du lieu où les Disciples étaient assemblés à cause de la crainte qu'ils avaient des Juifs, étaient fermées : Jésus vint, et fut là au milieu d'eux, et il leur dit : que la paix soit avec vous!