16 Bible Verses about Marins
Versets les plus Pertinents
Et les mariniers eurent peur, et ils crièrent chacun à son Dieu, et jetèrent dans la mer la charge du navire pour l'en décharger; mais Jonas était descendu au fond du navire, et y était couché, et il dormait profondément.
Et tous ceux qui manient la rame descendront de leurs navires, les mariniers, [et] tous les pilotes de la mer; ils se tiendront sur la terre;
Et Hiram envoya de ses serviteurs, gens de mer, et qui entendaient la marine, pour être avec les serviteurs de Salomon dans cette flotte.
Josaphat équipa une flotte de Tharsis, pour aller quérir de l'or à Ophir; mais elle n'y alla point, parce que les navires furent brisés à Hetsjon-guéber.
Ceux qui descendent sur la mer dans des navires, faisant commerce parmi les grandes eaux,
Chantez à l'Eternel un nouveau cantique, et que sa louange [éclate] du bout de la terre; que ceux qui descendent en la mer; et tout ce qui est en elle; que les Iles, et leurs habitants;
Tes richesses, et tes foires, ton commerce, tes mariniers, et tes pilotes, ceux qui réparaient tes brèches, et ceux qui avaient le soin de ton commerce, tous tes gens de guerre qui étaient au dedans de toi, et toute ta multitude qui est au milieu de toi, tomberont dans le cœur de la mer au jour de ta ruine.
Ceux qui descendent sur la mer dans des navires, faisant commerce parmi les grandes eaux, Qui voient les œuvres de l'Eternel, et ses merveilles dans les lieux profonds, (Car il commande, et fait comparaître le vent de tempête, qui élève les vagues de la mer.)lire plus.
Ils montent aux cieux, ils descendent aux abîmes; leur âme se fond d'angoisse. Ils branlent, et chancellent comme un homme ivre, et toute leur sagesse leur manque. Alors ils crient vers l'Eternel dans leur détresse, et il les tire hors de leurs angoisses. Il arrête la tourmente, [la changeant] en calme, et les ondes sont calmes. Puis ils se réjouissent de ce qu'elles sont apaisées, et il les conduit au port qu'ils désiraient.
Mais l'ayant tirée à nous, les [matelots] cherchaient tous les remèdes possibles, en liant le navire par-dessous; et comme ils craignaient de tomber sur des bancs de sable, ils abattirent les voiles, et ils étaient portés de cette manière. Or parce que nous étions agités d'une grande tempête, le jour suivant ils jetèrent les marchandises dans la mer. Puis le troisième jour nous jetâmes de nos propres mains les agrès du navire.lire plus.
Et comme il ne nous parut durant plusieurs jours ni soleil ni étoiles, et qu'une grande tempête nous agitait violemment, toute espérance de nous pouvoir sauver à l'avenir nous fut ôtée. Mais après qu'ils eurent été longtemps sans manger, Paul se tenant alors debout au milieu d'eux, leur dit : ô hommes! certes il fallait me croire, et ne point partir de Crète, afin d'éviter cette tempête et cette perte. Mais maintenant je vous exhorte d'avoir bon courage : car nul de vous ne perdra la vie, et le navire seul périra. Car en cette propre nuit un Ange du Dieu à qui je suis, et lequel je sers, s'est présenté à moi, [Me] disant : Paul, ne crains point, il faut que tu sois présenté à César; et voici, Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi. C'est pourquoi, ô hommes! ayez bon courage, car j'ai cette confiance en Dieu que la chose arrivera comme elle m'a été dite. Mais il faut que nous soyons jetés contre quelque île. Quand donc la quatorzième nuit fut venue, comme nous étions portés çà et là sur la mer Adriatique, les matelots eurent opinion environ sur le minuit qu'ils approchaient de quelque contrée. Et ayant jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses; puis étant passés un peu plus loin, et ayant encore jeté la sonde, ils trouvèrent quinze brasses. Mais craignant de donner contre quelque écueil, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, désirant que le jour vînt. Et comme les matelots cherchaient à s'enfuir du navire, ayant descendu l'esquif en mer, sous prétexte d'aller porter loin les ancres du côté de la proue, Paul dit au centenier et aux soldats : si ceux-ci ne demeurent dans le navire, vous ne pouvez point vous sauver. Alors les soldats coupèrent les cordes de l'esquif, et le laissèrent tomber. Et jusqu'à ce que le jour vînt, Paul les exhorta tous de prendre quelque nourriture, en leur disant : c'est aujourd'hui le quatorzième jour qu'en attendant, vous êtes demeurés à jeun, et n'avez rien pris; Je vous exhorte donc à prendre quelque nourriture, vu que cela est nécessaire pour votre conservation : car il ne tombera pas un cheveu de la tête d'aucun de vous. Et quand il eut dit ces choses, il prit du pain, et rendit grâces à Dieu en présence de tous, et l'ayant rompu il commença a manger. Alors ayant tous pris courage, ils commencèrent aussi à manger. Or nous étions en tout dans le navire deux cent soixante-seize personnes. Et quand ils eurent mangé jusqu'à être rassasiés, ils allégèrent le navire, en jetant le blé dans la mer. Et le jour étant venu ils ne reconnaissaient point le pays; mais ils aperçurent un golfe ayant rivage, et ils résolurent d'y faire échouer le navire, s'il leur était possible. C'est pourquoi ayant retiré les ancres, ils abandonnèrent le navire à la mer, lâchant en même temps les attaches des gouvernails; et ayant tendu la voile de l'artimon, ils tirèrent vers le rivage. Mais étant tombés en un lieu où deux courants se rencontraient, ils y heurtèrent le navire, et la proue s'y étant enfoncée demeurait ferme, mais la poupe se rompait par la violence des vagues. Alors le conseil des soldats fut de tuer les prisonniers, de peur que quelqu'un s'étant sauvé à la nage, ne s'enfuît. Mais le centenier voulant sauver Paul, les empêcha [d'exécuter] ce conseil, et il commanda que ceux qui pourraient nager se jetassent dehors les premiers, et se sauvassent à terre; Et le reste, les uns sur des planches, et les autres sur quelques [pièces] du navire; et ainsi il arriva que tous se sauvèrent à terre.
Et comme les matelots cherchaient à s'enfuir du navire, ayant descendu l'esquif en mer, sous prétexte d'aller porter loin les ancres du côté de la proue,
Et Hiram lui envoya, sous la conduite de ses serviteurs, des navires, et des serviteurs expérimentés dans la marine, qui s'en allèrent avec les serviteurs de Salomon à Ophir; et ils prirent de là quatre cent cinquante talents d'or, et les apportèrent au Roi Salomon.
Et les mariniers eurent peur, et ils crièrent chacun à son Dieu, et jetèrent dans la mer la charge du navire pour l'en décharger; mais Jonas était descendu au fond du navire, et y était couché, et il dormait profondément. Alors le maître pilote s'approcha de lui, et lui dit : Qu'as-tu, dormeur? Lève-toi, crie à ton Dieu; il pensera, peut-être, à nous, et nous ne périrons point. Puis ils se dirent l'un à l'autre : Venez, et jetons le sort afin que nous sachions à cause de qui ce mal nous est arrivé. Ils jetèrent donc le sort, et le sort tomba sur Jonas.lire plus.
Alors ils lui dirent : Déclare-nous maintenant, pourquoi ce mal-ici nous est arrivé, quel est ton métier, et d'où tu viens; quel est ton pays, et de quel peuple tu es. Et il leur dit : Je suis Hébreu, et je crains l'Eternel, le Dieu des cieux, qui a fait la mer et le sec. Alors ces hommes furent saisis d'une grande crainte, et lui dirent : Pourquoi as-tu fait cela? Car ces hommes avaient entendu qu'il s'enfuyait de devant la face de l'Eternel, parce qu'il le leur avait déclaré. Et ils lui dirent : Que te ferons-nous afin que la mer se calme, nous laissant en paix? Car la mer se tourmentait de plus en plus. Et il leur répondit : Prenez-moi, et me jetez dans la mer, et la mer s'apaisera, vous laissant en paix; car je connais que cette grande tourmente est venue sur vous à cause de moi. Et ces hommes voguaient pour relâcher à terre, mais ils ne pouvaient, parce que la mer s'agitait de plus en plus. Ils crièrent donc à l'Eternel, et dirent : Eternel, nous te prions que nous ne périssions point maintenant à cause de l'âme de cet homme-ci, et ne mets point sur nous le sang innocent; car tu es l'Eternel, tu en as fait comme il t'a plu. Alors ils prirent Jonas, et le jetèrent dans la mer, et la tourmente de la mer s'arrêta. Et ces gens-là craignirent l'Eternel d'une grande crainte, et ils offrirent des sacrifices à l'Eternel, et vouèrent des vœux.
Voilà aussi les navires, quoiqu'ils soient si grands, et qu'ils soient agités par la tempête, ils sont menés partout çà et là avec un petit gouvernail, selon qu'il plaît à celui qui les gouverne.
Et ils prononceront à haute voix une complainte sur toi, et te diront : comment as-tu péri, toi qui étais fréquentée par ceux qui vont sur la mer, ville renommée, qui étais forte en la mer, toi et tes habitants, qui se sont fait redouter à tous ceux qui habitent en elle?
Les anciens de Guébal, et ses [hommes] experts ont été parmi toi, réparant tes brèches; tous les navires de la mer, et leurs mariniers, ont été au dedans de toi, pour trafiquer avec toi de ton trafic.
Tout pilote aussi, toute la troupe de ceux qui montent sur les navires, tous les matelots, et tous ceux qui trafiquent sur la mer, se tiendront loin;