95 occurences en traduction 1

'Ce' dans la Bible

Chacun saisissant son adversaire par la tête lui enfonça son épée dans le flanc, et ils tombèrent tous ensemble. Et l'on donna à ce lieu, qui est près de Gabaon, le nom de Helkath Hatsurim.

Il y eut en ce jour un combat très rude, dans lequel Abner et les hommes d'Israël furent battus par les gens de David.

Abner regarda derrière lui, et dit: Est-ce toi, Asaël? Et il répondit: C'est moi.

et le sixième, Jithream, d'Égla, femme de David. Ce sont là ceux qui naquirent à David à Hébron.

Que Dieu traite Abner dans toute sa rigueur, si je n'agis pas avec David selon ce que l'Éternel a juré à David,

Abner parla aussi à Benjamin, et il alla rapporter aux oreilles de David à Hébron ce qu'avaient résolu Israël et toute la maison de Benjamin.

Lorsque Joab et toute sa troupe arrivèrent, on fit à Joab ce rapport: Abner, fils de Ner, est venu auprès du roi, qui l'a renvoyé, et il s'en est allé en paix.

Tu connais Abner, fils de Ner! c'est pour te tromper qu'il est venu, pour épier tes démarches, et pour savoir tout ce que tu fais.

Que ce sang retombe sur Joab et sur toute la maison de son père! Qu'il y ait toujours quelqu'un dans la maison de Joab, qui soit atteint d'un flux ou de la lèpre, ou qui s'appuie sur un bâton, ou qui tombe par l'épée, ou qui manque de pain!

Et tout le peuple pleura de nouveau sur Abner. Tout le peuple s'approcha de David pour lui faire prendre quelque nourriture, pendant qu'il était encore jour; mais David jura, en disant: Que Dieu me traite dans toute sa rigueur, si je goûte du pain ou quoi que ce soit avant le coucher du soleil!

Cela fut connu et approuvé de tout le peuple, qui trouva bon tout ce qu'avait fait le roi.

Tout le peuple et tout Israël comprirent en ce jour que ce n'était pas par ordre du roi qu'Abner, fils de Ner, avait été tué.

et les Beérothiens s'étaient enfuis à Guitthaïm, où ils ont habité jusqu'à ce jour.

Le roi marcha avec ses gens sur Jérusalem contre les Jébusiens, habitants du pays. Ils dirent à David: Tu n'entreras point ici, car les aveugles mêmes et les boiteux te repousseront! Ce qui voulait dire: David n'entrera point ici.

David avait dit en ce jour: Quiconque battra les Jébusiens et atteindra le canal, quiconque frappera ces boiteux et ces aveugles qui sont les ennemis de David... -C'est pourquoi l'on dit: L'aveugle et le boiteux n'entreront point dans la maison.

David vint à Baal Peratsim, où il les battit. Puis il dit: L'Éternel a dispersé mes ennemis devant moi, comme des eaux qui s'écoulent. C'est pourquoi l'on a donné à ce lieu le nom de Baal Peratsim.

David fit ce que l'Éternel lui avait ordonné, et il battit les Philistins depuis Guéba jusqu'à Guézer.

David fut irrité de ce que l'Éternel avait frappé Uzza d'un tel châtiment. Et ce lieu a été appelé jusqu'à ce jour Pérets Uzza.

David eut peur de l'Éternel en ce jour-là, et il dit: Comment l'arche de l'Éternel entrerait-elle chez moi?

On vint dire au roi David: L'Éternel a béni la maison d'Obed Édom et tout ce qui est à lui, à cause de l'arche de Dieu. Et David se mit en route, et il fit monter l'arche de Dieu depuis la maison d'Obed Édom jusqu'à la cité de David, au milieu des réjouissances.

Nathan répondit au roi: Va, fais tout ce que tu as dans le coeur, car l'Éternel est avec toi.

Va dire à mon serviteur David: Ainsi parle l'Éternel: Est-ce toi qui me bâtirais une maison pour que j'en fasse ma demeure?

Mais je n'ai point habité dans une maison depuis le jour où j'ai fait monter les enfants d'Israël hors d'Égypte jusqu'à ce jour; j'ai voyagé sous une tente et dans un tabernacle.

Ce sera lui qui bâtira une maison à mon nom, et j'affermirai pour toujours le trône de son royaume.

Que tu es donc grand, Éternel Dieu! car nul n'est semblable à toi, et il n'y a point d'autre Dieu que toi, d'après tout ce que nous avons entendu de nos oreilles.

Le roi appela Tsiba, serviteur de Saül, et lui dit: Je donne au fils de ton maître tout ce qui appartenait à Saül et à toute sa maison.

Il dit au roi: Ton serviteur fera tout ce que le roi mon seigneur ordonne à son serviteur. Et Mephiboscheth mangea à la table de David, comme l'un des fils du roi.

les chefs des fils d'Ammon dirent à Hanun, leur maître: Penses-tu que ce soit pour honorer ton père que David t'envoie des consolateurs? N'est-ce pas pour reconnaître et explorer la ville, et pour la détruire, qu'il envoie ses serviteurs auprès de toi?

David, qui fut informé, envoya des gens à leur rencontre, car ces hommes étaient dans une grande confusion; et le roi leur fit dire: Restez à Jéricho jusqu'à ce que votre barbe ait repoussé, et revenez ensuite.

David fit demander qui était cette femme, et on lui dit: N'est-ce pas Bath Schéba, fille d'Éliam, femme d'Urie, le Héthien?

David dit à Urie: Reste ici encore aujourd'hui, et demain je te renverrai. Et Urie resta à Jérusalem ce jour-là et le lendemain.

Joab envoya un messager pour faire rapport à David de tout ce qui s'était passé dans le combat.

Qui a tué Abimélec, fils de Jerubbéscheth? n'est-ce pas une femme qui lança sur lui du haut de la muraille un morceau de meule de moulin, et n'en est-il pas mort à Thébets? Pourquoi vous êtes-vous approchés de la muraille? Alors tu diras: Ton serviteur Urie, le Héthien, est mort aussi.

Le messager partit: et, à son arrivée, il fit rapport à David de tout ce que Joab lui avait ordonné.

David dit au messager: Voici ce que tu diras à Joab: Ne sois point peiné de cette affaire, car l'épée dévore tantôt l'un, tantôt l'autre; attaque vigoureusement la ville, et renverse-la. Et toi, encourage-le!

Quand le deuil fut passé, David l'envoya chercher et la recueillit dans sa maison. Elle devint sa femme, et lui enfanta un fils. Ce que David avait fait déplut à l'Éternel.

Pourquoi donc as-tu méprisé la parole de l'Éternel, en faisant ce qui est mal à ses yeux? Tu as frappé de l'épée Urie, le Héthien; tu as pris sa femme pour en faire ta femme, et lui, tu l'as tué par l'épée des fils d'Ammon.

Ainsi parle l'Éternel: Voici, je vais faire sortir de ta maison le malheur contre toi, et je vais prendre sous tes yeux tes propres femmes pour les donner à un autre, qui couchera avec elles à la vue de ce soleil.

Ses serviteurs lui dirent: Que signifie ce que tu fais? Tandis que l'enfant vivait, tu jeûnais et tu pleurais; et maintenant que l'enfant est mort, tu te lèves et tu manges!

Après cela, voici ce qui arriva. Absalom, fils de David, avait une soeur qui était belle et qui s'appelait Tamar; et Amnon, fils de David, l'aima.

Où irais-je, moi, avec ma honte? Et toi, tu serais comme l'un des infâmes en Israël. Maintenant, je te prie, parle au roi, et il ne s'opposera pas à ce que je sois à toi.

Absalom donna cet ordre à ses serviteurs: Faites attention quand le coeur d'Amnon sera égayé par le vin et que je vous dirai: Frappez Amnon! Alors tuez-le; ne craignez point, n'est-ce pas moi qui vous l'ordonne? Soyez fermes, et montrez du courage!

Jonadab dit au roi: Voici les fils du roi qui arrivent! Ainsi se confirme ce que disait ton serviteur.

Tu iras ainsi vers le roi, et tu lui parleras de cette manière. Et Joab lui mit dans la bouche ce qu'elle devait dire.

Maintenant, si je suis venu dire ces choses au roi mon seigneur, c'est que le peuple m'a effrayée. Et ta servante a dit: Je veux parler au roi; peut-être le roi fera-t-il ce que dira sa servante.

Le roi répondit, et dit à la femme: Ne me cache pas ce que je vais te demander. Et la femme dit: Que mon seigneur le roi parle!

Le roi dit alors: La main de Joab n'est-elle pas avec toi dans tout ceci? Et la femme répondit: Aussi vrai que ton âme est vivante, ô roi mon seigneur, il n'y a rien à droite ni à gauche de tout ce que dit mon seigneur le roi. C'est, en effet, ton serviteur Joab qui m'a donné des ordres, et qui a mis dans la bouche de ta servante toutes ces paroles.

C'est pour donner à la chose une autre tournure que ton serviteur Joab a fait cela. Mais mon seigneur est aussi sage qu'un ange de Dieu, pour connaître tout ce qui se passe sur la terre.

Les serviteurs du roi lui dirent: Tes serviteurs feront tout ce que voudra mon seigneur le roi.

Mais s'il dit: Je ne prends point plaisir en toi! me voici, qu'il me fasse ce qui lui semblera bon.

Voyez, j'attendrai dans les plaines du désert, jusqu'à ce qu'il m'arrive des nouvelles de votre part.

Les sacrificateurs Tsadok et Abiathar ne seront-ils pas là avec toi? Tout ce que tu apprendras de la maison du roi, tu le diras aux sacrificateurs Tsadok et Abiathar.

Et comme ils ont là auprès d'eux leurs deux fils, Achimaats, fils de Tsadok, et Jonathan, fils d'Abiathar, c'est par eux que vous me ferez savoir tout ce que vous aurez appris.

Le roi dit à Tsiba: Voici, tout ce qui appartient à Mephiboscheth est à toi. Et Tsiba dit: Je me prosterne! Que je trouve grâce à tes yeux, ô roi mon seigneur!

Alors Abischaï, fils de Tseruja, dit au roi: Pourquoi ce chien mort maudit-il le roi mon seigneur? Laisse-moi, je te prie, aller lui couper la tête.

Et David dit à Abischaï et à tous ses serviteurs: Voici, mon fils, qui est sorti de mes entrailles, en veut à ma vie; à plus forte raison ce Benjamite! Laissez-le, et qu'il maudisse, car l'Éternel le lui a dit.

Huschaï répondit à Absalom: C'est que je veux être à celui qu'ont choisi l'Éternel et tout ce peuple et tous les hommes d'Israël, et c'est avec lui que je veux rester.

D'ailleurs, qui servirai-je? Ne sera-ce pas son fils? Comme j'ai servi ton père, ainsi je te servirai.

Les conseils donnés en ce temps-là par Achitophel avaient autant d'autorité que si l'on eût consulté Dieu lui-même. Il en était ainsi de tous les conseils d'Achitophel, soit pour David, soit pour Absalom.

Cependant Absalom dit: Appelez encore Huschaï, l'Arkien, et que nous entendions aussi ce qu'il dira.

Huschaï vint auprès d'Absalom, et Absalom lui dit: Voici comment a parlé Achitophel: devons-nous faire ce qu'il a dit, ou non? Parle, toi!

S'il se retire dans une ville, tout Israël portera des cordes vers cette ville, et nous la traînerons au torrent, jusqu'à ce qu'on n'en trouve plus une pierre.

du miel, de la crème, des brebis, et des fromages de vache. Ils apportèrent ces choses à David et au peuple qui était avec lui, afin qu'ils mangeassent; car ils disaient: Ce peuple a dû souffrir de la faim, de la fatigue et de la soif, dans le désert.

Mais le peuple dit: Tu ne sortiras point! Car si nous prenons la fuite, ce n'est pas sur nous que l'attention se portera; et quand la moitié d'entre nous succomberait, on n'y ferait pas attention; mais toi, tu es comme dix mille de nous, et maintenant il vaut mieux que de la ville tu puisses venir à notre secours.

Le roi leur répondit: Je ferai ce qui vous paraît bon. Et le roi se tint à côté de la porte, pendant que tout le peuple sortait par centaines et par milliers.

Là, le peuple d'Israël fut battu par les serviteurs de David, et il y eut en ce jour une grande défaite de vingt mille hommes.

Le combat s'étendit sur toute la contrée, et la forêt dévora plus de peuple ce jour-là que l'épée n'en dévora.

Joab lui dit: Ce n'est pas toi qui dois porter aujourd'hui les nouvelles; tu les porteras un autre jour, mais non aujourd'hui, puisque le fils du roi est mort.

Et Joab dit à Cuschi: Va, et annonce au roi ce que tu as vu. Cuschi se prosterna devant Joab, et courut.

Achimaats, fils de Tsadok, dit encore à Joab: Quoi qu'il arrive, laisse-moi courir après Cuschi. Et Joab dit: Pourquoi veux-tu courir, mon fils? Ce n'est pas un message qui te sera profitable.

Le roi dit: Le jeune Absalom est-il en bonne santé? Achimaats répondit: J'ai aperçu un grand tumulte au moment où Joab envoya le serviteur du roi et moi ton serviteur; mais je ne sais ce que c'était.

Le roi dit à Cuschi: Le jeune homme Absalom est-il en bonne santé? Cuschi répondit: Qu'ils soient comme ce jeune homme, les ennemis du roi mon seigneur et tous ceux qui s'élèvent contre toi pour te faire du mal!

Et la victoire, ce jour-là, fut changée en deuil pour tout le peuple, car en ce jour le peuple entendait dire: Le roi est affligé à cause de son fils.

Ce même jour, le peuple rentra dans la ville à la dérobée, comme l'auraient fait des gens honteux d'avoir pris la fuite dans le combat.

Tu aimes ceux qui te haïssent et tu hais ceux qui t'aiment, car tu montres aujourd'hui qu'il n'y a pour toi ni chefs ni serviteurs; et je vois maintenant que, si Absalom vivait et que nous fussions tous morts en ce jour, cela serait agréable à tes yeux.

Lève-toi donc, sors, et parle au coeur de tes serviteurs! Car je jure par l'Éternel que, si tu ne sors pas, il ne restera pas un homme avec toi cette nuit; et ce sera pour toi pire que tous les malheurs qui te sont arrivés depuis ta jeunesse jusqu'à présent.

De son côté, le roi David envoya dire aux sacrificateurs Tsadok et Abiathar: Parlez aux anciens de Juda, et dites-leur: Pourquoi seriez-vous les derniers à ramener le roi dans sa maison? -Car ce qui se disait dans tout Israël était parvenu jusqu'au roi.

Et il a calomnié ton serviteur auprès de mon seigneur le roi. Mais mon seigneur le roi est comme un ange de Dieu. Fais ce qui te semblera bon.

Je suis aujourd'hui âgé de quatre-vingts ans. Puis-je connaître ce qui est bon et ce qui est mauvais? Ton serviteur peut-il savourer ce qu'il mange et ce qu'il boit? Puis-je encore entendre la voix des chanteurs et des chanteuses? Et pourquoi ton serviteur serait-il encore à charge à mon seigneur le roi?

Ton serviteur ira un peu au delà du Jourdain avec le roi. Pourquoi, d'ailleurs, le roi m'accorderait-il ce bienfait?

Que ton serviteur s'en retourne, et que je meure dans ma ville, près du sépulcre de mon père et de ma mère! Mais voici ton serviteur Kimham, qui passera avec le roi mon seigneur; fais pour lui ce que tu trouveras bon.

Le roi dit: Que Kimham passe avec moi, et je ferai pour lui ce qui te plaira; tout ce que tu désireras de moi, je te l'accorderai.

Les Gabaonites lui répondirent: Ce n'est pas pour nous une question d'argent et d'or avec Saül et avec sa maison, et ce n'est pas à nous qu'il appartient de faire mourir personne en Israël. Et le roi dit: Que voulez-vous donc que je fasse pour vous?

Ritspa, fille d'Ajja, prit un sac et l'étendit sous elle contre le rocher, depuis le commencement de la moisson jusqu'à ce que la pluie du ciel tombât sur eux; et elle empêcha les oiseaux du ciel de s'approcher d'eux pendant le jour, et les bêtes des champs pendant la nuit.

On informa David de ce qu'avait fait Ritspa, fille d'Ajja, concubine de Saül.

On enterra les os de Saül et de Jonathan, son fils, au pays de Benjamin, à Tséla, dans le sépulcre de Kis, père de Saül. Et l'on fit tout ce que le roi avait ordonné. Après cela, Dieu fut apaisé envers le pays.

David adressa à l'Éternel les paroles de ce cantique, lorsque l'Éternel l'eut délivré de la main de tous ses ennemis et de la main de Saül.

Il se leva, et frappa les Philistins jusqu'à ce que sa main fût lasse et qu'elle restât attachée à son épée. L'Éternel opéra une grande délivrance ce jour-là. Le peuple revint après Éléazar, seulement pour prendre les dépouilles.

Il dit: Loin de moi, ô Éternel, la pensée de faire cela! Boirais-je le sang de ces hommes qui sont allés au péril de leur vie? Et il ne voulut pas la boire. Voilà ce que firent ces trois vaillants hommes.

Voilà ce que fit Benaja, fils de Jehojada; et il eut du renom parmi les trois vaillants hommes.

Gad alla vers David, et lui fit connaître la chose, en disant: Veux-tu sept années de famine dans ton pays, ou bien trois mois de fuite devant tes ennemis qui te poursuivront, ou bien trois jours de peste dans ton pays? Maintenant choisis, et vois ce que je dois répondre à celui qui m'envoie.

Comme l'ange étendait la main sur Jérusalem pour la détruire, l'Éternel se repentit de ce mal, et il dit à l'ange qui faisait périr le peuple: Assez! Retire maintenant ta main. L'ange de l'Éternel était près de l'aire d'Aravna, le Jébusien.

Ce jour-là, Gad vint auprès de David, et lui dit: Monte, élève un autel à l'Éternel dans l'aire d'Aravna, le Jébusien.

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