75 occurences en traduction 1

'Ce' dans la Bible

Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui? Tu as béni l'oeuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays.

Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu'il te maudit en face.

L'Éternel dit à Satan: Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre; seulement, ne porte pas la main sur lui. Et Satan se retira de devant la face de l'Éternel.

Et Satan répondit à l'Éternel: Peau pour peau! tout ce que possède un homme, il le donne pour sa vie.

Ce jour! qu'il se change en ténèbres, Que Dieu n'en ait point souci dans le ciel, Et que la lumière ne rayonne plus sur lui!

Ce que je crains, c'est ce qui m'arrive; Ce que je redoute, c'est ce qui m'atteint.

Ta crainte de Dieu n'est-elle pas ton soutien? Ton espérance, n'est-ce pas ton intégrité?

Voilà ce que nous avons reconnu, voilà ce qui est; A toi d'entendre et de mettre à profit.

Peut-on manger ce qui est fade et sans sel? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un oeuf?

Ce que je voudrais ne pas toucher, C'est là ma nourriture, si dégoûtante soit-elle!

Voulez-vous donc blâmer ce que j'ai dit, Et ne voir que du vent dans les discours d'un désespéré?

L'arrache-t-on du lieu qu'il occupe, Ce lieu le renie: Je ne t'ai point connu!

La terre est livrée aux mains de l'impie; Il voile la face des juges. Si ce n'est pas lui, qui est-ce donc?

Voici néanmoins ce que tu cachais dans ton coeur, Voici, je le sais, ce que tu as résolu en toi-même.

Ce qu'il renverse ne sera point rebâti, Celui qu'il enferme ne sera point délivré.

Il met à découvert ce qui est caché dans les ténèbres, Il produit à la lumière l'ombre de la mort.

Direz-vous en faveur de Dieu ce qui est injuste, Et pour le soutenir alléguerez-vous des faussetés?

Taisez-vous, laissez-moi, je veux parler! Il m'en arrivera ce qu'il pourra.

Écoutez, écoutez mes paroles, Prêtez l'oreille à ce que je vais dire.

Oh! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi!

Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer.

Est-ce par d'inutiles propos qu'il se défend? Est-ce par des discours qui ne servent à rien?

Ce n'est pas moi, c'est ta bouche qui te condamne. Ce sont tes lèvres qui déposent contre toi.

Où ton coeur t'entraîne-t-il, Et que signifie ce roulement de tes yeux?

Je vais te parler, écoute-moi! Je raconterai ce que j'ai vu,

Ce que les sages ont fait connaître, Ce qu'ils ont révélé, l'ayant appris de leurs pères.

Ses fils seront assaillis par les pauvres, Et ses mains restitueront ce qu'il a pris par violence.

Il rendra ce qu'il a gagné, et n'en profitera plus; Il restituera tout ce qu'il a pris, et n'en jouira plus.

Son avidité n'a point connu de bornes; Mais il ne sauvera pas ce qu'il avait de plus cher.

Toutes les calamités sont réservées à ses trésors; Il sera consumé par un feu que n'allumera point l'homme, Et ce qui restera dans sa tente en deviendra la pâture.

Est-ce contre un homme que se dirige ma plainte? Et pourquoi mon âme ne serait-elle pas impatiente?

Qu'est-ce que le Tout Puissant, pour que nous le servions? Que gagnerions-nous à lui adresser nos prières?

Est-ce pour les fils que Dieu réserve le châtiment du père? Mais c'est lui que Dieu devrait punir, pour qu'il le sente;

Est-ce à Dieu qu'on donnera de la science, A lui qui gouverne les esprits célestes?

Mais quoi! n'avez-vous point interrogé les voyageurs, Et voulez-vous méconnaître ce qu'ils prouvent?

Qui lui reproche en face sa conduite? Qui lui rend ce qu'il a fait?

Pourquoi donc m'offrir de vaines consolations? Ce qui reste de vos réponses n'est que perfidie.

Si tu es juste, est-ce à l'avantage du Tout Puissant? Si tu es intègre dans tes voies, qu'y gagne-t-il?

Est-ce par crainte de toi qu'il te châtie, Qu'il entre en jugement avec toi?

Et tu dis: Qu'est-ce que Dieu sait? Peut-il juger à travers l'obscurité?

Je connaîtrais ce qu'il peut avoir à répondre, Je verrais ce qu'il peut avoir à me dire.

Ce serait un homme droit qui plaiderait avec lui, Et je serais pour toujours absous par mon juge.

Car ce ne sont pas les ténèbres qui m'anéantissent, Ce n'est pas l'obscurité dont je suis couvert.

A qui s'adressent tes paroles? Et qui est-ce qui t'inspire?

Est-ce que Dieu écoute ses cris, Quand l'angoisse vient l'assaillir?

Il ouvre des tranchées dans les rochers, Et son oeil contemple tout ce qu'il y a de précieux;

Il arrête l'écoulement des eaux, Et il produit à la lumière ce qui est caché.

Comme ils étaient plus âgés que lui, Élihu avait attendu jusqu'à ce moment pour parler à Job.

Ne dites pas cependant: En lui nous avons trouvé la sagesse; C'est Dieu qui peut le confondre, ce n'est pas un homme!

A mon tour, je veux répondre aussi, Je veux dire aussi ce que je pense.

Voilà tout ce que Dieu fait, Deux fois, trois fois, avec l'homme,

Choisissons ce qui est juste, Voyons entre nous ce qui est bon.

Montre-moi ce que je ne vois pas; Si j'ai commis des injustices, je n'en commettrai plus?

Est-ce d'après toi que Dieu rendra la justice? C'est toi qui rejettes, qui choisis, mais non pas moi; Ce que tu sais, dis-le donc!

Mais, parce que sa colère ne sévit point encore, Ce n'est pas à dire qu'il ait peu souci du crime.

Leurs évolutions varient selon ses desseins, Pour l'accomplissement de tout ce qu'il leur ordonne, Sur la face de la terre habitée;

Fais-nous connaître ce que nous devons lui dire; Nous sommes trop ignorants pour nous adresser à lui.

Il parcourt les montagnes pour trouver sa pâture, Il est à la recherche de tout ce qui est vert.

Te fies-tu à lui pour la rentrée de ta récolte? Est-ce lui qui doit l'amasser dans ton aire?

Est-ce toi qui donnes la vigueur au cheval, Et qui revêts son cou d'une crinière flottante?

Est-ce par ton intelligence que l'épervier prend son vol, Et qu'il étend ses ailes vers le midi?

Est-ce par ton ordre que l'aigle s'élève, Et qu'il place son nid sur les hauteurs?

Est-ce à force ouverte qu'on pourra le saisir? Est-ce au moyen de filets qu'on lui percera le nez?

Ce sont des frères qui s'embrassent, Se saisissent, demeurent inséparables.

Il regarde avec dédain tout ce qui est élevé, Il est le roi des plus fiers animaux. 

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