'Flots' dans la Bible
Les flots les ont couverts: Ils sont descendus au fond des eaux, comme une pierre.
Au souffle de tes narines, les eaux se sont amoncelées, Les courants se sont dressés comme une muraille, Les flots se sont durcis au milieu de la mer.
Car les flots de la mort m'avaient environné, Les torrents de la destruction m'avaient épouvanté;
Quand je dis: Tu viendras jusqu'ici, tu n'iras pas au delà; Ici s'arrêtera l'orgueil de tes flots?
Répands les flots de ta colère, Et d'un regard abaisse les hautains!
Un flot appelle un autre flot au bruit de tes ondées; Toutes tes vagues et tous tes flots passent sur moi.
Quand les flots de la mer mugissent, écument, Se soulèvent jusqu'à faire trembler les montagnes. -Pause.
Il apaise le mugissement des mers, le mugissement de leurs flots, Et le tumulte des peuples.
Que les flots ne m'inondent plus, Que l'abîme ne m'engloutisse pas, Et que la fosse ne se ferme pas sur moi!
Il fendit des rochers dans le désert, Et il donna à boire comme des flots abondants;
Ta fureur s'appesantit sur moi, Et tu m'accables de tous tes flots. Pause.
Tu domptes l'orgueil de la mer; Quand ses flots se soulèvent, tu les apaises.
Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, Des flots impétueux de la mer, L'Éternel est puissant dans les lieux célestes.
Là se promènent les navires, Et ce léviathan que tu as formé pour se jouer dans les flots.
Il dit, et il fit souffler la tempête, Qui souleva les flots de la mer.
Alors auraient passé sur notre âme Les flots impétueux.
Oh! si tu étais attentif à mes commandements! Ton bien-être serait comme un fleuve, Et ton bonheur comme les flots de la mer;
Je suis l'Éternel, ton Dieu, Qui soulève la mer et fais mugir ses flots. L'Éternel des armées est son nom.
Qui les dirigea au travers des flots, Comme un coursier dans le désert, Sans qu'ils bronchassent?
Ne me craindrez-vous pas, dit l'Éternel, Ne tremblerez-vous pas devant moi? C'est moi qui ai donné à la mer le sable pour limite, Limite éternelle qu'elle ne doit pas franchir; Ses flots s'agitent, mais ils sont impuissants; Ils mugissent, mais ils ne la franchissent pas.
Ainsi parle l'Éternel, qui a fait le soleil pour éclairer le jour, Qui a destiné la lune et les étoiles à éclairer la nuit, Qui soulève la mer et fait mugir ses flots, Lui dont le nom est l'Éternel des armées:
La mer est montée sur Babylone: Babylone a été couverte par la multitude de ses flots.
Car l'Éternel ravage Babylone, Il en fait cesser les cris retentissants; Les flots des dévastateurs mugissent comme de grandes eaux, Dont le bruit tumultueux se fait entendre.
A cause de cela, ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Voici, j'en veux à toi, Tyr! Je ferai monter contre toi des nations nombreuses, Comme la mer fait monter ses flots.
Fils de l'homme, Prononce une complainte sur Pharaon, roi d'Égypte! Tu lui diras: Tu ressemblais à un lionceau parmi les nations; Tu étais comme un crocodile dans les mers, Tu t'élançais dans tes fleuves, Tu troublais les eaux avec tes pieds, Tu agitais leurs flots.
Tu m'as jeté dans l'abîme, dans le coeur de la mer, Et les courants d'eau m'ont environné; Toutes tes vagues et tous tes flots ont passé sur moi.
Mais avec des flots qui déborderont Il détruira la ville, Et il poursuivra ses ennemis jusque dans les ténèbres.
Il passera la mer de détresse, il frappera les flots de la mer, Et toutes les profondeurs du fleuve seront desséchées; L'orgueil de l'Assyrie sera abattu, Et le sceptre de l'Égypte disparaîtra.
Et voici, il s'éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par les flots. Et lui, il dormait.
La barque, déjà au milieu de la mer, était battue par les flots; car le vent était contraire.
Il s'éleva un grand tourbillon, et les flots se jetaient dans la barque, au point qu'elle se remplissait déjà.
Ils s'approchèrent et le réveillèrent, en disant: Maître, maître, nous périssons! S'étant réveillé, il menaça le vent et les flots, qui s'apaisèrent, et le calme revint.
Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l'angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots,