2936 occurences en traduction 1

'Son' dans la Bible

Il s'est mis à leur poursuite, il a parcouru avec bonheur Un chemin que son pied n'avait jamais foulé.

L'Éternel s'avance comme un héros, Il excite son ardeur comme un homme de guerre; Il élève la voix, il jette des cris, Il manifeste sa force contre ses ennemis.

Il brûle au feu la moitié de son bois, Avec cette moitié il cuit de la viande, Il apprête un rôti, et se rassasie; Il se chauffe aussi, et dit: Ha! Ha! Je me chauffe, je vois la flamme!

Et avec le reste il fait un dieu, son idole, Il se prosterne devant elle, il l'adore, il l'invoque, Et s'écrie: Sauve-moi! Car tu es mon dieu!

Ainsi parle l'Éternel, le Saint d'Israël, et son créateur: Veut-on me questionner sur l'avenir, Me donner des ordres sur mes enfants et sur l'oeuvre de mes mains?

Tel sera le sort de ceux que tu te fatiguais à consulter. Et ceux avec qui tu as trafiqué dès ta jeunesse Se disperseront chacun de son côté: Il n'y aura personne qui vienne à ton secours.

Vous tous, assemblez-vous, et écoutez! Qui d'entre eux a annoncé ces choses? Celui que l'Éternel aime exécutera sa volonté contre Babylone, Et son bras s'appesantira sur les Chaldéens.

Moi, moi, j'ai parlé, et je l'ai appelé; Je l'ai fait venir, et son oeuvre réussira.

Approchez-vous de moi, et écoutez! Dès le commencement, je n'ai point parlé en cachette, Dès l'origine de ces choses, j'ai été là. Et maintenant, le Seigneur, l'Éternel, m'a envoyé avec son esprit.

Sortez de Babylone, fuyez du milieu des Chaldéens! Avec une voix d'allégresse annoncez-le, publiez-le, Faites-le savoir jusqu'à l'extrémité de la terre, Dites: L'Éternel a racheté son serviteur Jacob!

Il a rendu ma bouche semblable à un glaive tranchant, Il m'a couvert de l'ombre de sa main; Il a fait de moi une flèche aiguë, Il m'a caché dans son carquois.

Maintenant, l'Éternel parle, Lui qui m'a formé dès ma naissance Pour être son serviteur, Pour ramener à lui Jacob, Et Israël encore dispersé; Car je suis honoré aux yeux de l'Éternel, Et mon Dieu est ma force.

Quiconque parmi vous craint l'Éternel, Qu'il écoute la voix de son serviteur! Quiconque marche dans l'obscurité et manque de lumière, Qu'il se confie dans le nom de l'Éternel, Et qu'il s'appuie sur son Dieu!

Ainsi l'Éternel a pitié de Sion, Il a pitié de toutes ses ruines; Il rendra son désert semblable à un Éden, Et sa terre aride à un jardin de l'Éternel. La joie et l'allégresse se trouveront au milieu d'elle, Les actions de grâces et le chant des cantiques.

Bientôt celui qui est courbé sous les fers sera délivré; Il ne mourra pas dans la fosse, Et son pain ne lui manquera pas.

Je suis l'Éternel, ton Dieu, Qui soulève la mer et fais mugir ses flots. L'Éternel des armées est son nom.

Ainsi parle ton Seigneur, l'Éternel, Ton Dieu, qui défend son peuple: Voici, je prends de ta main la coupe d'étourdissement, La coupe de ma colère; Tu ne la boiras plus!

De même qu'il a été pour plusieurs un sujet d'effroi, -Tant son visage était défiguré, Tant son aspect différait de celui des fils de l'homme, -

Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.

Voici, j'ai créé l'ouvrier qui souffle le charbon au feu, Et qui fabrique une arme par son travail; Mais j'ai créé aussi le destructeur pour la briser.

Que l'étranger qui s'attache à l'Éternel ne dise pas: L'Éternel me séparera de son peuple! Et que l'eunuque ne dise pas: Voici, je suis un arbre sec!

Et ce sont des chiens voraces, insatiables; Ce sont des bergers qui ne savent rien comprendre; Tous suivent leur propre voie, Chacun selon son intérêt, jusqu'au dernier: -

A cause de son avidité coupable, je me suis irrité et je l'ai frappé, Je me suis caché dans mon indignation; Et le rebelle a suivi le chemin de son coeur.

Tous les jours ils me cherchent, Ils veulent connaître mes voies; Comme une nation qui aurait pratiqué la justice Et n'aurait pas abandonné la loi de son Dieu, Ils me demandent des arrêts de justice, Ils désirent l'approche de Dieu. -

Est-ce là le jeûne auquel je prends plaisir, Un jour où l'homme humilie son âme? Courber la tête comme un jonc, Et se coucher sur le sac et la cendre, Est-ce là ce que tu appelleras un jeûne, Un jour agréable à l'Éternel?

Car, comme la terre fait éclore son germe, Et comme un jardin fait pousser ses semences, Ainsi le Seigneur, l'Éternel, fera germer le salut et la louange, En présence de toutes les nations.

Pour l'amour de Sion je ne me tairai point, Pour l'amour de Jérusalem je ne prendrai point de repos, Jusqu'à ce que son salut paraisse, comme l'aurore, Et sa délivrance, comme un flambeau qui s'allume.

On ne te nommera plus délaissée, On ne nommera plus ta terre désolation; Mais on t'appellera mon plaisir en elle, Et l'on appellera ta terre épouse; Car l'Éternel met son plaisir en toi, Et ta terre aura un époux.

L'Éternel l'a juré par sa droite et par son bras puissant: Je ne donnerai plus ton blé pour nourriture à tes ennemis, Et les fils de l'étranger ne boiront plus ton vin, Produit de tes labeurs;

Je publierai les grâces de l'Éternel, les louanges de l'Éternel, D'après tout ce que l'Éternel a fait pour nous; Je dirai sa grande bonté envers la maison d'Israël, Qu'il a traitée selon ses compassions et la richesse de son amour.

Dans toutes leurs détresses ils n'ont pas été sans secours, Et l'ange qui est devant sa face les a sauvés; Il les a lui-même rachetés, dans son amour et sa miséricorde, Et constamment il les a soutenus et portés, aux anciens jours.

Alors son peuple se souvint des anciens jours de Moïse: Où est celui qui les fit monter de la mer, Avec le berger de son troupeau? Où est celui qui mettait au milieu d'eux son esprit saint;

Qui dirigea la droite de Moïse, Par son bras glorieux; Qui fendit les eaux devant eux, Pour se faire un nom éternel;

Réjouissez-vous plutôt et soyez à toujours dans l'allégresse, A cause de ce que je vais créer; Car je vais créer Jérusalem pour l'allégresse, Et son peuple pour la joie.

C'est par le feu que l'Éternel exerce ses jugements, C'est par son glaive qu'il châtie toute chair; Et ceux que tuera l'Éternel seront en grand nombre.

La parole de l'Éternel lui fut adressée au temps de Josias, fils d'Amon, roi de Juda, la treizième année de son règne,

Israël était consacré à l'Éternel, Il était les prémices de son revenu; Tous ceux qui en mangeaient se rendaient coupables, Et le malheur fondait sur eux, dit l'Éternel.

Contre lui les lionceaux rugissent, poussent leurs cris, Et ils ravagent son pays; Ses villes sont brûlées, il n'y a plus d'habitants.

Anesse sauvage, habituée au désert, Haletante dans l'ardeur de sa passion, Qui l'empêchera de satisfaire son désir? Tous ceux qui la cherchent n'ont pas à se fatiguer; Ils la trouvent pendant son mois.

Malgré tout cela, la perfide Juda, sa soeur, n'est pas revenue à moi de tout son coeur; c'est avec fausseté qu'elle l'a fait, dit l'Éternel.

Lorsque vous aurez multiplié et fructifié dans le pays, En ces jours-là, dit l'Éternel, On ne parlera plus de l'arche de l'alliance de l'Éternel; Elle ne viendra plus à la pensée; On ne se la rappellera plus, on ne s'apercevra plus de son absence, Et l'on n'en fera point une autre.

Le lion s'élance de son taillis, Le destructeur des nations est en marche, il a quitté son lieu, Pour ravager ton pays; Tes villes seront ruinées, il n'y aura plus d'habitants.

Jusques à quand verrai-je la bannière, Et entendrai-je le son de la trompette? -

Je regarde, et voici, le Carmel est un désert; Et toutes ses villes sont détruites, devant l'Éternel, Devant son ardente colère.

Semblables à des chevaux bien nourris, qui courent çà et là, Ils hennissent chacun après la femme de son prochain.

Son carquois est comme un sépulcre ouvert; Ils sont tous des héros.

Ils ne disent pas dans leur coeur: Craignons l'Éternel, notre Dieu, Qui donne la pluie en son temps, La pluie de la première et de l'arrière saison, Et qui nous réserve les semaines destinées à la moisson.

Comme un puits fait jaillir ses eaux, Ainsi elle fait jaillir sa méchanceté; Il n'est bruit en son sein que de violence et de ruine; Sans cesse à mes regards s'offrent la douleur et les plaies.

J'ai mis près de vous des sentinelles: Soyez attentifs au son de la trompette! Mais ils répondent: Nous n'y serons pas attentifs.

Alors dis-leur: C'est ici la nation qui n'écoute pas la voix de l'Éternel, son Dieu, Et qui ne veut pas recevoir instruction; La vérité a disparu, elle s'est retirée de leur bouche.

Voici les cris de la fille de mon peuple Retentissent sur la terre lointaine: L'Éternel n'est-il plus à Sion? N'a-t-elle plus son roi au milieu d'elle? -Pourquoi m'ont-ils irrité par leurs images taillées, Par des idoles étrangères? -

Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n'y a point en elles de souffle,

Celui qui est la part de Jacob n'est pas comme elles; Car c'est lui qui a tout formé, Et Israël est la tribu de son héritage. L'Éternel des armées est son nom.

Olivier verdoyant, remarquable par la beauté de son fruit, Tel est le nom que t'avait donné l'Éternel; Au bruit d'un grand fracas, il l'embrase par le feu, Et ses rameaux sont brisés.

J'étais comme un agneau familier qu'on mène à la boucherie, Et j'ignorais les mauvais desseins qu'ils méditaient contre moi: Détruisons l'arbre avec son fruit! Retranchons-le de la terre des vivants, Et qu'on ne se souvienne plus de son nom! -

Mais après que je les aurai arrachés, J'aurai de nouveau compassion d'eux, Et je les ramènerai chacun dans son héritage, Chacun dans son pays.

Ce méchant peuple, qui refuse d'écouter mes paroles, Qui suit les penchants de son coeur, Et qui va après d'autres dieux, Pour les servir et se prosterner devant eux, Qu'il devienne comme cette ceinture, Qui n'est plus bonne à rien!

Toi qui es l'espérance d'Israël, Son sauveur au temps de la détresse, Pourquoi serais-tu comme un étranger dans le pays, Comme un voyageur qui y entre pour passer la nuit?

Celle qui avait enfanté sept fils est désolée, Elle rend l'âme; Son soleil se couche quand il est encore jour; Elle est confuse, couverte de honte. Ceux qui restent, je les livre à l'épée devant leurs ennemis, Dit l'Éternel.

Il est comme un arbre planté près des eaux, Et qui étend ses racines vers le courant; Il n'aperçoit point la chaleur quand elle vient, Et son feuillage reste vert; Dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, Et il ne cesse de porter du fruit.

Je livrerai toutes les richesses de cette ville, tout le produit de son travail, tout ce qu'elle a de précieux, je livrerai tous les trésors des rois de Juda entre les mains de leurs ennemis, qui les pilleront, les enlèveront et les transporteront à Babylone.

Celui qui restera dans cette ville mourra par l'épée, par la famine ou par la peste; mais celui qui sortira pour se rendre aux Chaldéens qui vous assiègent aura la vie sauve, et sa vie sera son butin.

Car ainsi parle l'Éternel sur Schallum, fils de Josias, roi de Juda, Qui régnait à la place de Josias, son père, Et qui est sorti de ce lieu: Il n'y reviendra plus;

La colère de l'Éternel ne se calmera pas, Jusqu'à ce qu'il ait accompli, exécuté les desseins de son coeur. Vous le comprendrez dans la suite des temps.

Ils pensent faire oublier mon nom à mon peuple Par les songes que chacun d'eux raconte à son prochain, Comme leurs pères ont oublié mon nom pour Baal.

Vous direz, chacun à son prochain, chacun à son frère: Qu'a répondu l'Éternel? Qu'a dit l'Éternel?

A Pharaon, roi d'Égypte, A ses serviteurs, à ses chefs, et à tout son peuple;

Il a abandonné sa demeure comme un lionceau sa tanière; Car leur pays est réduit en désert Par la fureur du destructeur Et par son ardente colère.

Ils firent sortir d'Égypte Urie et l'amenèrent au roi Jojakim, qui le fit mourir par l'épée et jeta son cadavre sur les sépulcres des enfants du peuple.

Toutes les nations lui seront soumises, à lui, à son fils, et au fils de son fils, jusqu'à ce que le temps de son pays arrive, et que des nations puissantes et de grands rois l'asservissent.

Si une nation, si un royaume ne se soumet pas à lui, à Nebucadnetsar, roi de Babylone, et ne livre pas son cou au joug du roi de Babylone, je châtierai cette nation par l'épée, par la famine et par la peste, dit l'Éternel, jusqu'à ce que je l'aie anéantie par sa main.

Mais la nation qui pliera son cou sous le joug du roi de Babylone, et qui lui sera soumise, je la laisserai dans son pays, dit l'Éternel, pour qu'elle le cultive et qu'elle y demeure.

J'ai dit entièrement les mêmes choses à Sédécias, roi de Juda: Pliez votre cou sous le joug du roi de Babylone, soumettez-vous à lui et à son peuple, et vous vivrez.

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