'Son' dans la Bible
Car tel homme a travaillé avec sagesse et science et avec succès, et il laisse le produit de son travail à un homme qui ne s'en est point occupé. C'est encore là une vanité et un grand mal.
Que revient-il, en effet, à l'homme de tout son travail et de la préoccupation de son coeur, objet de ses fatigues sous le soleil?
Tous ses jours ne sont que douleur, et son partage n'est que chagrin; même la nuit son coeur ne repose pas. C'est encore là une vanité.
Il n'y a de bonheur pour l'homme qu'à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail; mais j'ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu.
Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur coeur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin.
mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c'est là un don de Dieu.
J'ai vu que tout travail et toute habileté dans le travail n'est que jalousie de l'homme à l'égard de son prochain. C'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise.
Car, s'ils tombent, l'un relève son compagnon; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever!
car il peut sortir de prison pour régner, et même être né pauvre dans son royaume.
Il n'y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu'il le voit de ses yeux?
Il est un mal grave que j'ai vu sous le soleil: des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède.
Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s'en retourne nu ainsi qu'il était venu, et pour son travail n'emporte rien qu'il puisse prendre dans sa main.
Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s'il l'a rendu maître d'en manger, d'en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu.
Car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie, parce que Dieu répand la joie dans son coeur.
Il y a tel homme à qui Dieu a donné des richesses, des biens, et de la gloire, et qui ne manque pour son âme de rien de ce qu'il désire, mais que Dieu ne laisse pas maître d'en jouir, car c'est un étranger qui en jouira. C'est là une vanité et un mal grave.
Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d'années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s'est point rassasiée de bonheur, et si de plus il n'a point de sépulture, je dis qu'un avorton est plus heureux que lui.
Car il est venu en vain, il s'en va dans les ténèbres, et son nom reste couvert de ténèbres;
Ce qui existe a déjà été appelé par son nom; et l'on sait que celui qui est homme ne peut contester avec un plus fort que lui.
Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain.
J'ai vu tout cela pendant les jours de ma vanité. Il y a tel juste qui périt dans sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge son existence dans sa méchanceté.
Qui est comme le sage, et qui connaît l'explication des choses? La sagesse d'un homme fait briller son visage, et la sévérité de sa face est changée.
L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.
J'ai donc loué la joie, parce qu'il n'y a de bonheur pour l'homme sous le soleil qu'à manger et à boire et à se réjouir; c'est là ce qui doit l'accompagner au milieu de son travail, pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil.
L'homme ne connaît pas non plus son heure, pareil aux poissons qui sont pris au filet fatal, et aux oiseaux qui sont pris au piège; comme eux, les fils de l'homme sont enlacés au temps du malheur, lorsqu'il tombe sur eux tout à coup.
Il y avait une petite ville, avec peu d'hommes dans son sein; un roi puissant marcha sur elle, l'investit, et éleva contre elle de grands forts.
Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une méchante folie.
Voir Résultats par Versions
Chercher les résultats par Livre
- Genèse (230)
- Exode (97)
- Lévitique (130)
- Nombres (108)
- Deutéronome (113)
- Josué (34)
- Juges (70)
- Ruth (12)
- 1 Samuel (102)
- 2 Samuel (67)
- 1 Rois (115)
- 2 Rois (125)
- 1 Chroniques (109)
- 2 Chroniques (135)
- Esdras (11)
- Néhémie (19)
- Esther (28)
- Job (77)
- Psaumes (190)
- Proverbes (102)
- Ecclésiaste (28)
- Cantique des Cantiques (12)
- Ésaïe (138)
- Jérémie (114)
- Lamentations (17)
- Ézéchiel (95)
- Daniel (55)
- Osée (16)
- Joël (8)
- Amos (10)
- Abdias (3)
- Jonas (4)
- Michée (11)
- Nahum (2)
- Habacuc (10)
- Sophonie (5)
- Aggée (1)
- Zacharie (19)
- Malachie (8)
- Matthieu (70)
- Marc (37)
- Luc (73)
- Jean (46)
- Actes (46)
- Romains (29)
- 1 Corinthiens (23)
- 2 Corinthiens (9)
- Galates (6)
- Éphésiens (14)
- Philippiens (2)
- Colossiens (4)
- 1 Thessaloniciens (7)
- 2 Thessaloniciens (2)
- 1 Timothée (5)
- 2 Timothée (6)
- Tite (2)
- Hébreux (23)
- Jacques (12)
- 1 Pierre (3)
- 2 Pierre (2)
- 1 Jean (24)
- Apocalypse (61)