2697 occurences en traduction 1

'Dit' dans la Bible

Mais Josaphat dit: N'y a-t-il ici aucun prophète de l'Éternel, par qui nous puissions consulter l'Éternel? L'un des serviteurs du roi d'Israël répondit: Il y a ici Élisée, fils de Schaphath, qui versait l'eau sur les mains d'Élie.

Et Josaphat dit: La parole de l'Éternel est avec lui. Le roi d'Israël, Josaphat et le roi d'Édom, descendirent auprès de lui.

Élisée dit au roi d'Israël: Qu'y a-t-il entre moi et toi? Va vers les prophètes de ton père et vers les prophètes de ta mère. Et le roi d'Israël lui dit: Non! car l'Éternel a appelé ces trois rois pour les livrer entre les mains de Moab.

Élisée dit: L'Éternel des armées, dont je suis le serviteur, est vivant! si je n'avais égard à Josaphat, roi de Juda, je ne ferais aucune attention à toi et je ne te regarderais pas.

Et il dit: Ainsi parle l'Éternel: Faites dans cette vallée des fosses, des fosses!

Élisée lui dit: Que puis-je faire pour toi? Dis-moi, qu'as-tu à la maison? Elle répondit: Ta servante n'a rien du tout à la maison qu'un vase d'huile.

Et il dit: Va demander au dehors des vases chez tous tes voisins, des vases vides, et n'en demande pas un petit nombre.

Lorsque les vases furent pleins, elle dit à son fils: Présente-moi encore un vase. Mais il lui répondit: Il n'y a plus de vase. Et l'huile s'arrêta.

Elle alla le rapporter à l'homme de Dieu, et il dit: Va vendre l'huile, et paie ta dette; et tu vivras, toi et tes fils, de ce qui restera.

Il dit à Guéhazi, son serviteur: Appelle cette Sunamite. Guéhazi l'appela, et elle se présenta devant lui.

Et Élisée dit à Guéhazi: Dis-lui: Voici, tu nous as montré tout cet empressement; que peut-on faire pour toi? Faut-il parler pour toi au roi ou au chef de l'armée? Elle répondit: J'habite au milieu de mon peuple.

Et il dit: Que faire pour elle? Guéhazi répondit: Mais, elle n'a point de fils, et son mari est vieux.

Et il dit: Appelle-la. Guéhazi l'appela, et elle se présenta à la porte.

Élisée lui dit: A cette même époque, l'année prochaine, tu embrasseras un fils. Et elle dit: Non! mon seigneur, homme de Dieu, ne trompe pas ta servante!

Cette femme devint enceinte, et elle enfanta un fils à la même époque, l'année suivante, comme Élisée lui avait dit.

il dit à son père: Ma tête! ma tête! Le père dit à son serviteur: Porte-le à sa mère.

Elle appela son mari, et dit: Envoie-moi, je te prie, un des serviteurs et une des ânesses; je veux aller en hâte vers l'homme de Dieu, et je reviendrai.

Et il dit: Pourquoi veux-tu aller aujourd'hui vers lui? Ce n'est ni nouvelle lune ni sabbat. Elle répondit: Tout va bien.

Puis elle fit seller l'ânesse, et dit à son serviteur: Mène et pars; ne m'arrête pas en route sans que je te le dise.

Elle partit donc et se rendit vers l'homme de Dieu sur la montagne du Carmel. L'homme de Dieu, l'ayant aperçue de loin, dit à Guéhazi, son serviteur: Voici cette Sunamite!

Et dès qu'elle fut arrivée auprès de l'homme de Dieu sur la montagne, elle embrassa ses pieds. Guéhazi s'approcha pour la repousser. Mais l'homme de Dieu dit: Laisse-la, car son âme est dans l'amertume, et l'Éternel me l'a caché et ne me l'a point fait connaître.

Alors elle dit: Ai-je demandé un fils à mon seigneur? N'ai-je pas dit: Ne me trompe pas?

Et Élisée dit à Guéhazi: Ceins tes reins, prends mon bâton dans ta main, et pars. Si tu rencontres quelqu'un, ne le salue pas; et si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant.

La mère de l'enfant dit: L'Éternel est vivant et ton âme est vivante! je ne te quitterai point. Et il se leva et la suivit.

Élisée appela Guéhazi, et dit: Appelle cette Sunamite. Guéhazi l'appela, et elle vint vers Élisée, qui dit: Prends ton fils!

Élisée revint à Guilgal, et il y avait une famine dans le pays. Comme les fils des prophètes étaient assis devant lui, il dit à son serviteur: Mets le grand pot, et fais cuire un potage pour les fils des prophètes.

Élisée dit: Prenez de la farine. Il en jeta dans le pot, et dit: Sers à ces gens, et qu'ils mangent. Et il n'y avait plus rien de mauvais dans le pot.

Un homme arriva de Baal Schalischa. Il apporta du pain des prémices à l'homme de Dieu, vingt pains d'orge, et des épis nouveaux dans son sac. Élisée dit: Donne à ces gens, et qu'ils mangent.

Son serviteur répondit: Comment pourrais-je en donner à cent personnes? Mais Élisée dit: Donne à ces gens, et qu'ils mangent; car ainsi parle l'Éternel: On mangera, et on en aura de reste.

Et elle dit à sa maîtresse: Oh! si mon seigneur était auprès du prophète qui est à Samarie, le prophète le guérirait de sa lèpre!

Et le roi de Syrie dit: Va, rends-toi à Samarie, et j'enverrai une lettre au roi d'Israël. Il partit, prenant avec lui dix talents d'argent, six mille sicles d'or, et dix vêtements de rechange.

Il porta au roi d'Israël la lettre, où il était dit: Maintenant, quand cette lettre te sera parvenue, tu sauras que je t'envoie Naaman, mon serviteur, afin que tu le guérisses de sa lèpre.

Après avoir lu la lettre, le roi d'Israël déchira ses vêtements, et dit: Suis-je un dieu, pour faire mourir et pour faire vivre, qu'il s'adresse à moi afin que je guérisse un homme de sa lèpre? Sachez donc et comprenez qu'il cherche une occasion de dispute avec moi.

Mais ses serviteurs s'approchèrent pour lui parler, et ils dirent: Mon père, si le prophète t'eût demandé quelque chose de difficile, ne l'aurais-tu pas fait? Combien plus dois-tu faire ce qu'il t'a dit: Lave-toi, et tu seras pur!

Naaman retourna vers l'homme de Dieu, avec toute sa suite. Lorsqu'il fut arrivé, il se présenta devant lui, et dit: Voici, je reconnais qu'il n'y a point de Dieu sur toute la terre, si ce n'est en Israël. Et maintenant, accepte, je te prie, un présent de la part de ton serviteur.

Alors Naaman dit: Puisque tu refuses, permets que l'on donne de la terre à ton serviteur, une charge de deux mulets; car ton serviteur ne veut plus offrir à d'autres dieux ni holocauste ni sacrifice, il n'en offrira qu'à l'Éternel.

Élisée lui dit: Va en paix. Lorsque Naaman eut quitté Élisée et qu'il fut à une certaine distance,

Guéhazi, serviteur d'Élisée, homme de Dieu, se dit en lui-même: Voici, mon maître a ménagé Naaman, ce Syrien, en n'acceptant pas de sa main ce qu'il avait apporté; l'Éternel est vivant! je vais courir après lui, et j'en obtiendrai quelque chose.

Et Guéhazi courut après Naaman. Naaman, le voyant courir après lui, descendit de son char pour aller à sa rencontre, et dit: Tout va-t-il bien?

Naaman dit: Consens à prendre deux talents. Il le pressa, et il serra deux talents d'argent dans deux sacs, donna deux habits de rechange, et les fit porter devant Guéhazi par deux de ses serviteurs.

Puis il alla se présenter à son maître. Élisée lui dit: D'où viens-tu, Guéhazi? Il répondit: Ton serviteur n'est allé ni d'un côté ni d'un autre.

Mais Élisée lui dit: Mon esprit n'était pas absent, lorsque cet homme a quitté son char pour venir à ta rencontre. Est-ce le temps de prendre de l'argent et de prendre des vêtements, puis des oliviers, des vignes, des brebis, des boeufs, des serviteurs et des servantes?

Et l'un d'eux dit: Consens à venir avec tes serviteurs. Il répondit: J'irai.

L'homme de Dieu dit: Où est-il tombé? Et il lui montra la place. Alors Élisée coupa un morceau de bois, le jeta à la même place, et fit surnager le fer.

Puis il dit: Enlève-le! Et il avança la main, et le prit.

Le roi de Syrie était en guerre avec Israël, et, dans un conseil qu'il tint avec ses serviteurs, il dit: Mon camp sera dans un tel lieu.

Le roi de Syrie en eut le coeur agité; il appela ses serviteurs, et leur dit: Ne voulez-vous pas me déclarer lequel de nous est pour le roi d'Israël?

Et le roi dit: Allez et voyez où il est, et je le ferai prendre. On vint lui dire: Voici, il est à Dothan.

Le serviteur de l'homme de Dieu se leva de bon matin et sortit; et voici, une troupe entourait la ville, avec des chevaux et des chars. Et le serviteur dit à l'homme de Dieu: Ah! mon seigneur, comment ferons-nous?

Élisée pria, et dit: Éternel, ouvre ses yeux, pour qu'il voie. Et l'Éternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d'Élisée.

Élisée leur dit: Ce n'est pas ici le chemin, et ce n'est pas ici la ville; suivez-moi, et je vous conduirai vers l'homme que vous cherchez. Et il les conduisit à Samarie.

Lorsqu'ils furent entrés dans Samarie, Élisée dit: Éternel, ouvre les yeux de ces gens, pour qu'ils voient! Et l'Éternel ouvrit leurs yeux, et ils virent qu'ils étaient au milieu de Samarie.

Le roi d'Israël, en les voyant, dit à Élisée: Frapperai-je, frapperai-je, mon père?

Et le roi lui dit: Qu'as-tu? Elle répondit: Cette femme-là m'a dit: Donne ton fils! nous le mangerons aujourd'hui, et demain nous mangerons mon fils.

Nous avons fait cuire mon fils, et nous l'avons mangé. Et le jour suivant, je lui ai dit: Donne ton fils, et nous le mangerons. Mais elle a caché son fils.

Le roi dit: Que Dieu me punisse dans toute sa rigueur, si la tête d'Élisée, fils de Schaphath, reste aujourd'hui sur lui!

Or Élisée était dans sa maison, et les anciens étaient assis auprès de lui. Le roi envoya quelqu'un devant lui. Mais avant que le messager soit arrivé, Élisée dit aux anciens: Voyez-vous que ce fils d'assassin envoie quelqu'un pour m'ôter la tête? Écoutez! quand le messager viendra, fermez la porte, et repoussez-le avec la porte: le bruit des pas de son maître ne se fait-il pas entendre derrière lui?

Élisée dit: Écoutez la parole de l'Éternel! Ainsi parle l'Éternel: Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d'orge pour un sicle, à la porte de Samarie.

L'officier sur la main duquel s'appuyait le roi répondit à l'homme de Dieu: Quand l'Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n'en mangeras point.

Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens pour venir nous attaquer.

Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs: Je veux vous communiquer ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit: Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville.

L'homme de Dieu avait dit alors au roi: On aura deux mesures d'orge pour un sicle et une mesure de fleur de farine pour un sicle, demain, à cette heure, à la porte de Samarie.

Et l'officier avait répondu à l'homme de Dieu: Quand l'Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée avait dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n'en mangeras point.

Élisée dit à la femme dont il avait fait revivre le fils: Lève-toi, va t'en, toi et ta maison, et séjourne où tu pourras; car l'Éternel appelle la famine, et même elle vient sur le pays pour sept années.

Et pendant qu'il racontait au roi comment Élisée avait rendu la vie à un mort, la femme dont Élisée avait fait revivre le fils vint implorer le roi au sujet de sa maison et de son champ. Guéhazi dit: O roi, mon seigneur, voici la femme, et voici son fils qu'Élisée a fait revivre.

Le roi interrogea la femme, et elle lui fit le récit. Puis le roi lui donna un eunuque, auquel il dit: Fais restituer tout ce qui appartient à cette femme, avec tous les revenus du champ, depuis le jour où elle a quitté le pays jusqu'à maintenant.

Le roi dit à Hazaël: Prends avec toi un présent, et va au-devant de l'homme de Dieu; consulte par lui l'Éternel, en disant: Guérirai-je de cette maladie?

Hazaël alla au-devant d'Élisée, prenant avec lui un présent, tout ce qu'il y avait de meilleur à Damas, la charge de quarante chameaux. Lorsqu'il fut arrivé, il se présenta à lui, et dit: Ton fils Ben Hadad, roi de Syrie, m'envoie vers toi pour dire: Guérirai-je de cette maladie?

Hazaël dit: Pourquoi mon seigneur pleure-t-il? Et Élisée répondit: Parce que je sais le mal que tu feras aux enfants d'Israël; tu mettras le feu à leurs villes fortes, tu tueras avec l'épée leurs jeunes gens, tu écraseras leurs petits enfants, et tu fendras le ventre de leurs femmes enceintes.

Hazaël dit: Mais qu'est-ce que ton serviteur, ce chien, pour faire de si grandes choses? Et Élisée dit: L'Éternel m'a révélé que tu seras roi de Syrie.

Hazaël quitta Élisée, et revint auprès de son maître, qui lui dit: Que t'a dit Élisée? Et il répondit: Il m'a dit: Tu guériras!

Élisée, le prophète, appela l'un des fils des prophètes, et lui dit: Ceins tes reins, prends avec toi cette fiole d'huile, et va à Ramoth en Galaad.

Quand il arriva, voici, les chefs de l'armée étaient assis. Il dit: Chef, j'ai un mot à te dire. Et Jéhu dit: Auquel de nous tous? Il répondit: A toi, chef.

Lorsque Jéhu sortit pour rejoindre les serviteurs de son maître, on lui dit: Tout va-t-il bien? Pourquoi ce fou est-il venu vers toi? Jéhu leur répondit: Vous connaissez bien l'homme et ce qu'il peut dire.

Mais ils répliquèrent: Mensonge! Réponds-nous donc! Et il dit: Il m'a parlé de telle et telle manière, disant: Ainsi parle l'Éternel: Je t'oins roi d'Israël.

mais le roi Joram s'en était retourné pour se faire guérir à Jizreel des blessures que les Syriens lui avaient faites, lorsqu'il se battait contre Hazaël, roi de Syrie. -Jéhu dit: Si c'est votre volonté, personne ne s'échappera de la ville pour aller porter la nouvelle à Jizreel.

La sentinelle placée sur la tour de Jizreel vit venir la troupe de Jéhu, et dit: Je vois une troupe. Joram dit: Prends un cavalier, et envoie-le au-devant d'eux pour demander si c'est la paix.

Le cavalier alla au-devant de Jéhu, et dit: Ainsi parle le roi: Est-ce la paix? Et Jéhu répondit: Que t'importe la paix? Passe derrière moi. La sentinelle en donna avis, et dit: Le messager est allé jusqu'à eux, et il ne revient pas.

Joram envoya un second cavalier, qui arriva vers eux et dit: Ainsi parle le roi: Est-ce la paix? Et Jéhu répondit: Que t'importe la paix? Passe derrière moi.

La sentinelle en donna avis, et dit: Il est allé jusqu'à eux, et il ne revient pas. Et le train est comme celui de Jéhu, fils de Nimschi, car il conduit d'une manière insensée.

Alors Joram dit: Attelle! Et on attela son char. Joram, roi d'Israël, et Achazia, roi de Juda, sortirent chacun dans son char pour aller au-devant de Jéhu, et ils le rencontrèrent dans le champ de Naboth de Jizreel.

Dès que Joram vit Jéhu, il dit: Est-ce la paix, Jéhu? Jéhu répondit: Quoi, la paix! tant que durent les prostitutions de Jézabel, ta mère, et la multitude de ses sortilèges!

Joram tourna bride et s'enfuit, et il dit à Achazia: Trahison, Achazia!

Jéhu dit à son officier Bidkar: Prends-le, et jette-le dans le champ de Naboth de Jizreel; car souviens-t'en, lorsque moi et toi, nous étions ensemble à cheval derrière Achab, son père, l'Éternel prononça contre lui cette sentence:

J'ai vu hier le sang de Naboth et le sang de ses fils, dit l'Éternel, et je te rendrai la pareille dans ce champ même, dit l'Éternel! Prends-le donc, et jette-le dans le champ, selon la parole de l'Éternel.

Achazia, roi de Juda, ayant vu cela, s'enfuit par le chemin de la maison du jardin. Jéhu le poursuivit, et dit: Lui aussi, frappez-le sur le char! Et on le frappa à la montée de Gur, près de Jibleam. Il se réfugia à Meguiddo, et il y mourut.

Comme Jéhu franchissait la porte, elle dit: Est-ce la paix, nouveau Zimri, assassin de son maître?

Il leva le visage vers la fenêtre, et dit: Qui est pour moi? qui? Et deux ou trois eunuques le regardèrent en s'approchant de la fenêtre.

Il dit: Jetez-la en bas! Ils la jetèrent, et il rejaillit de son sang sur la muraille et sur les chevaux. Jéhu la foula aux pieds;

puis il entra, mangea et but, et il dit: Allez voir cette maudite, et enterrez-la, car elle est fille de roi.

Ils retournèrent l'annoncer à Jéhu, qui dit: C'est ce qu'avait déclaré l'Éternel par son serviteur Élie, le Thischbite, en disant: Les chiens mangeront la chair de Jézabel dans le camp de Jizreel;

Il y avait dans Samarie soixante-dix fils d'Achab. Jéhu écrivit des lettres qu'il envoya à Samarie aux chefs de Jizreel, aux anciens, et aux gouverneurs des enfants d'Achab. Il y était dit:

Jéhu leur écrivit une seconde lettre où il était dit: Si vous êtes à moi et si vous obéissez à ma voix, prenez les têtes de ces hommes, fils de votre maître, et venez auprès de moi demain à cette heure, à Jizreel. Or les soixante-dix fils du roi étaient chez les grands de la ville, qui les élevaient.

Le messager vint l'en informer, en disant: Ils ont apporté les têtes des fils du roi. Et il dit: Mettez-les en deux tas à l'entrée de la porte, jusqu'au matin.

Le matin, il sortit; et se présentant à tout le peuple, il dit: Vous êtes justes! voici, moi, j'ai conspiré contre mon maître et je l'ai tué; mais qui a frappé tous ceux-ci?

Jéhu trouva les frères d'Achazia, roi de Juda, et il dit: Qui êtes-vous? Ils répondirent: Nous sommes les frères d'Achazia, et nous descendons pour saluer les fils du roi et les fils de la reine.

Jéhu dit: Saisissez-les vivants. Et ils les saisirent vivants, et les égorgèrent au nombre de quarante-deux, à la citerne de la maison de réunion; Jéhu n'en laissa échapper aucun.

Étant parti de là, il rencontra Jonadab, fils de Récab, qui venait au-devant de lui. Il le salua, et lui dit: Ton coeur est-il sincère, comme mon coeur l'est envers le tien? Et Jonadab répondit: Il l'est. S'il l'est, répliqua Jéhu, donne-moi ta main. Jonadab lui donna la main. Et Jéhu le fit monter auprès de lui dans son char,

et dit: Viens avec moi, et tu verras mon zèle pour l'Éternel. Il l'emmena ainsi dans son char.

Public Domain