382 occurences en traduction 1

'Elles' dans la Bible

Voici les nations que l'Éternel laissa pour éprouver par elles Israël, tous ceux qui n'avaient pas connu toutes les guerres de Canaan.

Gédéon lui dit: Ah! mon seigneur, si l'Éternel est avec nous, pourquoi toutes ces choses nous sont-elles arrivées? Et où sont tous ces prodiges que nos pères nous racontent, quand ils disent: L'Éternel ne nous a-t-il pas fait monter hors d'Égypte? Maintenant l'Éternel nous abandonne, et il nous livre entre les mains de Madian!

Et Samson dit au jeune homme qui le tenait par la main: Laisse-moi, afin que je puisse toucher les colonnes sur lesquelles repose la maison et m'appuyer contre elles.

Et Samson embrassa les deux colonnes du milieu sur lesquelles reposait la maison, et il s'appuya contre elles; l'une était à sa droite, et l'autre à sa gauche.

Que l'Éternel vous fasse trouver à chacune du repos dans la maison d'un mari! Et elle les baisa. Elles élevèrent la voix, et pleurèrent;

et elles lui dirent: Non, nous irons avec toi vers ton peuple.

Et elles élevèrent la voix, et pleurèrent encore. Orpa baisa sa belle-mère, mais Ruth s'attacha à elle.

Elles firent ensemble le voyage jusqu'à leur arrivée à Bethléhem. Et lorsqu'elles entrèrent dans Bethléhem, toute la ville fut émue à cause d'elles, et les femmes disaient: Est-ce là Naomi?

Ainsi revinrent du pays de Moab Naomi et sa belle-fille, Ruth la Moabite. Elles arrivèrent à Bethléhem au commencement de la moisson des orges.

Regarde où l'on moissonne dans le champ, et va après elles. J'ai défendu à mes serviteurs de te toucher. Et quand tu auras soif, tu iras aux vases, et tu boiras de ce que les serviteurs auront puisé.

Les voisines lui donnèrent un nom, en disant: Un fils est né à Naomi! Et elles l'appelèrent Obed. Ce fut le père d'Isaï père de David.

De la poussière il retire le pauvre, Du fumier il relève l'indigent, Pour les faire asseoir avec les grands. Et il leur donne en partage un trône de gloire; Car à l'Éternel sont les colonnes de la terre, Et c'est sur elles qu'il a posé le monde.

Maintenant, faites un char tout neuf, et prenez deux vaches qui allaitent et qui n'aient point porté le joug; attelez les vaches au char, et ramenez à la maison leurs petits qui sont derrière elles.

Les vaches prirent directement le chemin de Beth Schémesch; elles suivirent toujours la même route en mugissant, et elles ne se détournèrent, ni à droite ni à gauche. Les princes des Philistins allèrent derrière elles jusqu'à la frontière de Beth Schémesch.

Il passa par la montagne d'Éphraïm et traversa le pays de Schalischa, sans les trouver; ils passèrent par le pays de Schaalim, et elles n'y étaient pas; ils parcoururent le pays de Benjamin, et ils ne les trouvèrent pas.

Elles leur répondirent en disant: Oui, il est devant toi; mais va promptement, car aujourd'hui il est venu à la ville parce qu'il y a un sacrifice pour le peuple sur le haut lieu.

Ne t'inquiètes pas des ânesses que tu as perdues il y a trois jours, car elles sont retrouvées. Et pour qui est réservé tout ce qu'il y a de précieux en Israël? N'est-ce pas pour toi et pour toute la maison de ton père?

Ainsi parle l'Éternel: Voici, je vais faire sortir de ta maison le malheur contre toi, et je vais prendre sous tes yeux tes propres femmes pour les donner à un autre, qui couchera avec elles à la vue de ce soleil.

Elle avait une tunique de plusieurs couleurs; car c'était le vêtement que portaient les filles du roi, aussi longtemps qu'elles étaient vierges. Le serviteur d'Amnon la mit dehors, et ferma la porte après elle.

David rentra dans sa maison à Jérusalem. Le roi prit les dix concubines qu'il avait laissées pour garder la maison, et il les mit dans un lieu où elles étaient séquestrées; il pourvut à leur entretien, mais il n'alla point vers elles. Et elles furent enfermées jusqu'au jour de leur mort, vivant dans un état de veuvage.

David, voyant l'ange qui frappait parmi le peuple, dit à l'Éternel: Voici, j'ai péché! C'est moi qui suis coupable; mais ces brebis, qu'ont-elles fait? Que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père!

L'autre femme dit: Au contraire! c'est mon fils qui est vivant, et c'est ton fils qui est mort. Mais la première répliqua: Nullement! C'est ton fils qui est mort, et c'est mon fils qui est vivant. C'est ainsi qu'elles parlèrent devant le roi.

Voici en quoi consistaient ces bases. Elles étaient formées de panneaux, liés aux coins par des montants.

On avait donné aux barres une longueur telle que leurs extrémités se voyaient du lieu saint devant le sanctuaire, mais ne se voyaient point du dehors. Elles ont été là jusqu'à ce jour.

Hiram sortit de Tyr, pour voir les villes que lui donnait Salomon. Mais elles ne lui plurent point,

et il dit: Quelles villes m'as-tu données là, mon frère? Et il les appela pays de Cabul, nom qu'elles ont conservé jusqu'à ce jour.

appartenant aux nations dont l'Éternel avait dit aux enfants d'Israël: Vous n'irez point chez elles, et elles ne viendront point chez vous; elles tourneraient certainement vos coeurs du côté de leurs dieux. Ce fut à ces nations que s'attacha Salomon, entraîné par l'amour.

Ils partirent, et ils appelèrent les gardes de la porte de la ville, auxquels ils firent ce rapport: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici, il n'y a personne, on n'y entend aucune voix d'homme; il n'y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient.

On dit au roi d'Assyrie: Les nations que tu as transportées et établies dans les villes de Samarie ne connaissent pas la manière de servir le dieu du pays, et il a envoyé contre elles des lions qui les font mourir, parce qu'elles ne connaissent pas la manière de servir le dieu du pays.

Mais les nations firent chacune leurs dieux dans les villes qu'elles habitaient, et les placèrent dans les maisons des hauts lieux bâties par les Samaritains.

N'as-tu pas appris que j'ai préparé ces choses de loin, Et que je les ai résolues dès les temps anciens? Maintenant j'ai permis qu'elles s'accomplissent, Et que tu réduisisses des villes fortes en monceaux de ruines.

il marcha dans toute la voie où avait marché son père, il servit les idoles qu'avait servies son père, et il se prosterna devant elles;

Il brisa les statues et abattit les idoles, et il remplit d'ossements d'hommes la place qu'elles occupaient.

Et David dit à Dieu: N'est-ce pas moi qui ai ordonné le dénombrement du peuple? C'est moi qui ai péché et qui ai fait le mal; mais ces brebis, qu'ont-elles fait? Éternel, mon Dieu, que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père, et qu'elle ne fasse point une plaie parmi ton peuple!

Les actions de Roboam, les premières et les dernières, ne sont-elles pas écrites dans les livres de Schemaeja, le prophète et d'Iddo, le prophète, parmi les registres généalogiques? Il y eut toujours guerre entre Roboam et Jéroboam.

ils frappèrent toutes les villes des environs de Guérar, car la terreur de l'Éternel s'était emparée d'elles, et ils pillèrent toutes les villes, dont les dépouilles furent considérables.

Lorsque tous nos ennemis l'apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous furent dans la crainte; elles éprouvèrent une grande humiliation, et reconnurent que l'oeuvre s'était accomplie par la volonté de notre Dieu.

Puis j'ordonnai qu'on fermât les portes de Jérusalem avant le sabbat, dès qu'elles seraient dans l'ombre, et qu'on ne les ouvrît qu'après le sabbat. Et je plaçai quelques-uns de mes serviteurs aux portes, pour empêcher l'entrée des fardeaux le jour du sabbat.

Car l'action de la reine parviendra à la connaissance de toutes les femmes, et les portera à mépriser leurs maris; elles diront: Le roi Assuérus avait ordonné qu'on amenât en sa présence la reine Vasthi, et elle n'y est pas allée.

Il envoya des lettres à toutes les provinces du royaume, à chaque province selon son écriture et à chaque peuple selon sa langue; elles portaient que tout homme devait être le maître dans sa maison, et qu'il parlerait la langue de son peuple. 

Chaque jeune fille allait à son tour vers le roi Assuérus, après avoir employé douze mois à s'acquitter de ce qui était prescrit aux femmes; pendant ce temps, elles prenaient soin de leur toilette, six mois avec de l'huile de myrrhe, et six mois avec des aromates et des parfums en usage parmi les femmes.

On envoya des lettres à tous les Juifs, dans les cent vingt-sept provinces du roi Assuérus. Elles contenaient des paroles de paix et de fidélité,

Elles seraient plus pesantes que le sable de la mer; Voilà pourquoi mes paroles vont jusqu'à la folie!

Jusqu'à quand veux-tu discourir de la sorte, Et les paroles de ta bouche seront-elles un vent impétueux?

Tes mains m'ont formé, elles m'ont créé, Elles m'ont fait tout entier... Et tu me détruirais!

La détresse et l'angoisse l'épouvantent, Elles l'assaillent comme un roi prêt à combattre;

Si je parle, mes souffrances ne seront point calmées, Si je me tais, en quoi seront-elles moindres?

Ses troupes se sont de concert mises en marche, Elles se sont frayé leur chemin jusqu'à moi, Elles ont campées autour de ma tente.

Oh! je voudrais que mes paroles fussent écrites, Qu'elles fussent écrites dans un livre;

Je voudrais qu'avec un burin de fer et avec du plomb Elles fussent pour toujours gravées dans le roc...

Ta méchanceté n'est-elle pas grande? Tes iniquités ne sont-elles pas infinies?

Ses armées ne sont-elles pas innombrables? Sur qui sa lumière ne se lève-t-elle pas?

Sur quoi ses bases sont-elles appuyées? Ou qui en a posé la pierre angulaire,

Les portes de la mort t'ont-elles été ouvertes? As-tu vu les portes de l'ombre de la mort?

Où est le chemin qui conduit au séjour de la lumière? Et les ténèbres, où ont-elles leur demeure?

Sais-tu quand les chèvres sauvages font leurs petits? Observes-tu les biches quand elles mettent bas?

Comptes-tu les mois pendant lesquels elles portent, Et connais-tu l'époque où elles enfantent?

Elles se courbent, laissent échapper leur progéniture, Et sont délivrées de leurs douleurs.

Leurs petits prennent de la vigueur et grandissent en plein air, Ils s'éloignent et ne reviennent plus auprès d'elles.

Éternel! souviens-toi de ta miséricorde et de ta bonté; Car elles sont éternelles.

Car mes iniquités s'élèvent au-dessus de ma tête; Comme un lourd fardeau, elles sont trop pesantes pour moi.

Envoie ta lumière et ta fidélité! Qu'elles me guident, Qu'elles me conduisent à ta montagne sainte et à tes demeures!

On les introduit au milieu des réjouissances et de l'allégresse, Elles entrent dans le palais du roi.

Elles en font jour et nuit le tour sur les murs; L'iniquité et la malice sont dans son sein;

Tu comptes les pas de ma vie errante; Recueille mes larmes dans ton outre: Ne sont-elles pas inscrites dans ton livre?

Les eaux t'ont vu, ô Dieu! Les eaux t'ont vu, elles ont tremblé; Les abîmes se sont émus.

Psaume d'Asaph. O Dieu! les nations ont envahi ton héritage, Elles ont profané ton saint temple, Elles ont fait de Jérusalem un monceau de pierres.

Elles ont livré les cadavres de tes serviteurs En pâture aux oiseaux du ciel, La chair de tes fidèles aux bêtes de la terre;

Elles ont versé leur sang comme de l'eau Tout autour de Jérusalem, Et il n'y a eu personne pour les enterrer.

Pourquoi les nations diraient-elles: Où est leur Dieu? Qu'on sache, en notre présence, parmi les nations, Que tu venges le sang de tes serviteurs, le sang répandu!

Elles m'environnent tout le jour comme des eaux, Elles m'enveloppent toutes à la fois.

Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir, Afin qu'elles ne reviennent plus couvrir la terre.

Elles abreuvent tous les animaux des champs; Les ânes sauvages y étanchent leur soif.

Il regarde la terre, et elle tremble; Il touche les montagnes, et elles sont fumantes.

Il ouvrit le rocher, et des eaux coulèrent; Elles se répandirent comme un fleuve dans les lieux arides.

Ils se réjouirent de ce qu'elles s'étaient apaisées, Et l'Éternel les conduisit au port désiré.

Leurs idoles sont de l'argent et de l'or, Elles sont l'ouvrage de la main des hommes.

Elles ont des oreilles et n'entendent point, Elles ont un nez et ne sentent point,

Elles ont des mains et ne touchent point, Des pieds et ne marchent point, Elles ne produisent aucun son dans leur gosier.

Elles m'environnaient, m'enveloppaient: Au nom de l'Éternel, je les taille en pièces.

Elles m'environnaient comme des abeilles; Elles s'éteignent comme un feu d'épines; Au nom de l'Éternel, je les taille en pièces.

Tes mains m'ont créé, elles m'ont formé; Donne-moi l'intelligence, pour que j'apprenne tes commandements!

Je n'oublierai jamais tes ordonnances, Car c'est par elles que tu me rends la vie.

Les idoles des nations sont de l'argent et de l'or, Elles sont l'ouvrage de la main des hommes.

Elles ont des oreilles et n'entendent point, Elles n'ont point de souffle dans leur bouche.

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