13433 occurences en traduction 1

'La' dans la Bible

Et le pays de Juda sera pour l'Égypte un objet d'effroi: Dès qu'on lui en parlera, elle sera dans l'épouvante, A cause de la résolution prise contre elle par l'Éternel des armées.

En ce temps-là, il y aura cinq villes au pays d'Égypte, Qui parleront la langue de Canaan, Et qui jureront par l'Éternel des armées: L'une d'elles sera appelée ville de la destruction.

En ce même temps, il y aura un autel à l'Éternel Au milieu du pays d'Égypte, Et sur la frontière un monument à l'Éternel.

Et l'Éternel sera connu des Égyptiens, Et les Égyptiens connaîtront l'Éternel en ce jour-là; Ils feront des sacrifices et des offrandes, Ils feront des voeux à l'Éternel et les accompliront.

en ce temps-là l'Éternel adressa la parole à Ésaïe, fils d'Amots, et lui dit: Va, détache le sac de tes reins et ôte tes souliers de tes pieds. Il fit ainsi, marcha nu et déchaussé.

de même le roi d'Assyrie emmènera de l'Égypte et de l'Éthiopie captifs et exilés les jeunes hommes et les vieillards, nus et déchaussés, et le dos découvert, à la honte de l'Égypte.

Alors on sera dans l'effroi et dans la confusion, à cause de l'Éthiopie en qui l'on avait mis sa confiance, et de l'Égypte dont on se glorifiait.

Oracle sur le désert de la mer. Comme s'avance l'ouragan du midi, Il vient du désert, du pays redoutable.

On dresse la table, la garde veille, on mange, on boit... Debout, princes! oignez le bouclier!

Car ainsi m'a parlé le Seigneur: Va, place la sentinelle; Qu'elle annonce ce qu'elle verra. -

Elle vit de la cavalerie, des cavaliers deux à deux, Des cavaliers sur des ânes, des cavaliers sur des chameaux; Et elle était attentive, très attentive.

Puis elle s'écria, comme un lion: Seigneur, je me tiens sur la tour toute la journée, Et je suis à mon poste toutes les nuits;

Et voici, il vient de la cavalerie, des cavaliers deux à deux! Elle prit encore la parole, et dit: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone, Et toutes les images de ses dieux sont brisées par terre! -

Oracle sur Duma. On me crie de Séir: Sentinelle, que dis-tu de la nuit? Sentinelle, que dis-tu de la nuit?

La sentinelle répond: Le matin vient, et la nuit aussi. Si vous voulez interroger, interrogez; Convertissez-vous, et revenez.

Oracle sur l'Arabie. Vous passerez la nuit dans les broussailles de l'Arabie, Caravanes de Dedan!

Car ainsi m'a parlé le Seigneur: Encore une année, comme les années d'un mercenaire, Et c'en est fait de toute la gloire de Kédar.

Oracle sur la vallée des visions. Qu'as-tu donc, que tout ton peuple monte sur les toits?

Tous tes chefs fuient ensemble, Ils sont faits prisonniers par les archers; Tous tes habitants deviennent à la fois captifs, Tandis qu'ils prennent au loin la fuite.

C'est pourquoi je dis: Détournez de moi les regards, Laissez-moi pleurer amèrement; N'insistez pas pour me consoler Du désastre de la fille de mon peuple.

Car c'est un jour de trouble, d'écrasement et de confusion, Envoyé par le Seigneur, l'Éternel des armées, Dans la vallée des visions. On démolit les murailles, Et les cris de détresse retentissent vers la montagne.

Les derniers retranchements de Juda sont forcés, Et en ce jour tu visites les armures de la maison de la forêt.

Vous regardez les brèches nombreuses faites à la ville de David, Et vous retenez les eaux de l'étang inférieur.

Le Seigneur, l'Éternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac.

Et voici de la gaîté et de la joie! On égorge des boeufs et l'on tue des brebis, On mange de la viande et l'on boit du vin: Mangeons et buvons, car demain nous mourrons! -

Qu'y a-t-il à toi ici, et qui as-tu ici, Que tu creuses ici un sépulcre? Il se creuse un sépulcre sur la hauteur, Il se taille une demeure dans le roc!

Il te fera rouler, rouler comme une balle, Sur une terre spacieuse; Là tu mourras, là seront tes chars magnifiques, O toi, l'opprobre de la maison de ton maître!

En ce jour-là, J'appellerai mon serviteur Éliakim, fils de Hilkija;

Je le revêtirai de ta tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton pouvoir entre ses mains; Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et pour la maison de Juda.

Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne fermera; Quand il fermera, nul n'ouvrira.

Je l'enfoncerai comme un clou dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour la maison de son père.

Il sera le soutien de toute la gloire de la maison de son père, Des rejetons nobles et ignobles, De tous les petits ustensiles, Des bassins comme des vases.

Oracle sur Tyr. Lamentez-vous, navires de Tarsis! Car elle est détruite: plus de maisons! plus d'entrée! C'est du pays de Kittim que la nouvelle leur en est venue.

Soyez muets d'effroi, habitants de la côte, Que remplissaient les marchands de Sidon, parcourant la mer!

A travers les vastes eaux, le blé du Nil, La moisson du fleuve, était pour elle un revenu; Elle était le marché des nations.

Sois confuse, Sidon! Car ainsi parle la mer, la forteresse de la mer: Je n'ai point eu de douleurs, je n'ai point enfanté, Je n'ai point nourri de jeunes gens, ni élevé de jeunes filles.

Quand les Égyptiens sauront la nouvelle, Ils trembleront en apprenant la chute de Tyr.

Passez à Tarsis, Lamentez-vous, habitants de la côte!

Est-ce là votre ville joyeuse? Elle avait une origine antique, Et ses pieds la mènent séjourner au loin.

Qui a pris cette résolution contre Tyr, la dispensatrice des couronnes, Elle dont les marchands étaient des princes, Dont les commerçants étaient les plus riches de la terre?

C'est l'Éternel des armées qui a pris cette résolution, Pour blesser l'orgueil de tout ce qui brille, Pour humilier tous les grands de la terre.

L'Éternel a étendu sa main sur la mer; Il a fait trembler les royaumes; Il a ordonné la destruction des forteresses de Canaan.

Il a dit: Tu ne te livreras plus à la joie, Vierge déshonorée, fille de Sidon! Lève-toi, passe au pays de Kittim! Même là, il n'y aura pas de repos pour toi.

En ce temps-là, Tyr tombera dans l'oubli soixante-dix ans, Ce que dure la vie d'un roi. Au bout de soixante-dix ans, il en sera de Tyr Comme de la prostituée dont parle la chanson: -

Prends la harpe, parcours la ville, Prostituée qu'on oublie! Joue bien, répète tes chants, Pour qu'on se souvienne de toi! -

Au bout de soixante-dix ans, l'Éternel visitera Tyr, Et elle retournera à son salaire impur; Elle se prostituera à tous les royaumes de la terre, Sur la face du monde.

Voici, l'Éternel dévaste le pays et le rend désert, Il en bouleverse la face et en disperse les habitants.

Et il en est du sacrificateur comme du peuple, Du maître comme du serviteur, De la maîtresse comme de la servante, Du vendeur comme de l'acheteur, Du prêteur comme de l'emprunteur, Du créancier comme du débiteur.

C'est pourquoi la malédiction dévore le pays, Et ses habitants portent la peine de leurs crimes; C'est pourquoi les habitants du pays sont consumés, Et il n'en reste qu'un petit nombre.

Le moût est triste, la vigne est flétrie; Tous ceux qui avaient le coeur joyeux soupirent.

La ville déserte est en ruines; Toutes les maisons sont fermées, on n'y entre plus.

La dévastation est restée dans la ville, Et les portes abattues sont en ruines.

Car il en est dans le pays, au milieu des peuples, Comme quand on secoue l'olivier, Comme quand on grappille après la vendange.

Ils élèvent leur voix, ils poussent des cris d'allégresse; Des bords de la mer, ils célèbrent la majesté de l'Éternel.

Glorifiez donc l'Éternel dans les lieux où brille la lumière, Le nom de l'Éternel, Dieu d'Israël, dans les îles de la mer! -

De l'extrémité de la terre nous entendons chanter: Gloire au juste! Mais moi je dis: Je suis perdu! je suis perdu! malheur à moi! Les pillards pillent, et les pillards s'acharnent au pillage.

Celui qui fuit devant les cris de terreur tombe dans la fosse, Et celui qui remonte de la fosse se prend au filet; Car les écluses d'en haut s'ouvrent, Et les fondements de la terre sont ébranlés.

La terre est déchirée, La terre se brise, La terre chancelle.

La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.

En ce temps-là, l'Éternel châtiera dans le ciel l'armée d'en haut, Et sur la terre les rois de la terre.

Car tu as réduit la ville en un monceau de pierres, La cité forte en un tas de ruines; La forteresse des barbares est détruite, Jamais elle ne sera rebâtie.

Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur; Car le souffle des tyrans Est comme l'ouragan qui frappe une muraille.

Comme tu domptes la chaleur dans une terre brûlante, Tu as dompté le tumulte des barbares; Comme la chaleur est étouffée par l'ombre d'un nuage, Ainsi ont été étouffés les chants de triomphe des tyrans.

Et, sur cette montagne, il anéantit le voile qui voile tous les peuples, La couverture qui couvre toutes les nations;

Car la main de l'Éternel repose sur cette montagne; Et Moab est foulé sur place, Comme la paille est foulée dans une mare à fumier.

Il renverse, il précipite les fortifications élevées de tes murs, Il les fait crouler à terre, jusque dans la poussière.

Il a renversé ceux qui habitaient les hauteurs, Il a abaissé la ville superbe; Il l'a abaissée jusqu'à terre, Il lui a fait toucher la poussière.

Aussi nous t'attendons, ô Éternel! sur la voie de tes jugements; Notre âme soupire après ton nom et après ton souvenir.

Mon âme te désire pendant la nuit, Et mon esprit te cherche au dedans de moi; Car, lorsque tes jugements s'exercent sur la terre, Les habitants du monde apprennent la justice.

Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice, Il se livre au mal dans le pays de la droiture, Et il n'a point égard à la majesté de Dieu.

Éternel, tu nous donnes la paix; Car tout ce que nous faisons, C'est toi qui l'accomplis pour nous.

Éternel, ils t'ont cherché, quand ils étaient dans la détresse; Ils se sont répandus en prières, quand tu les as châtiés.

Va, mon peuple, entre dans ta chambre, Et ferme la porte derrière toi; Cache-toi pour quelques instants, Jusqu'à ce que la colère soit passée.

Car voici, l'Éternel sort de sa demeure, Pour punir les crimes des habitants de la terre; Et la terre mettra le sang à nu, Elle ne couvrira plus les meurtres.

En ce jour, l'Éternel frappera de sa dure, grande et forte épée Le léviathan, serpent fuyard, Le léviathan, serpent tortueux; Et il tuera le monstre qui est dans la mer.

Car la ville forte est solitaire, C'est une demeure délaissée et abandonnée comme le désert; Là pâture le veau, il s'y couche, et broute les branches.

En ce temps-là, L'Éternel secouera des fruits, Depuis le cours du fleuve jusqu'au torrent d'Égypte; Et vous serez ramassés un à un, enfants d'Israël!

En ce jour, on sonnera de la grande trompette, Et alors reviendront ceux qui étaient exilés au pays d'Assyrie Ou fugitifs au pays d'Égypte; Et ils se prosterneront devant l'Éternel, Sur la montagne sainte, à Jérusalem.

Malheur à la couronne superbe des ivrognes d'Éphraïm, A la fleur fanée, qui fait l'éclat de sa parure, Sur la cime de la fertile vallée de ceux qui s'enivrent!

Voici venir, de la part du Seigneur, un homme fort et puissant, Comme un orage de grêle, un ouragan destructeur, Comme une tempête qui précipite des torrents d'eaux: Il la fait tomber en terre avec violence.

Et la fleur fanée, qui fait l'éclat de sa parure, Sur la cime de la fertile vallée, Sera comme une figue hâtive qu'on aperçoit avant la récolte, Et qui, à peine dans la main, est aussitôt avalée.

Mais eux aussi, ils chancellent dans le vin, Et les boissons fortes leur donnent des vertiges; Sacrificateurs et prophètes chancellent dans les boissons fortes, Ils sont absorbés par le vin, Ils ont des vertiges à cause des boissons fortes; Ils chancellent en prophétisant, Ils vacillent en rendant la justice.

A qui veut-on enseigner la sagesse? A qui veut-on donner des leçons? Est-ce à des enfants qui viennent d'être sevrés, Qui viennent de quitter la mamelle?

Car c'est précepte sur précepte, précepte sur précepte, Règle sur règle, règle sur règle, Un peu ici, un peu là. -

Et pour eux la parole de l'Éternel sera Précepte sur précepte, précepte sur précepte, Règle sur règle, règle sur règle, Un peu ici, un peu là, Afin qu'en marchant ils tombent à la renverse et se brisent, Afin qu'ils soient enlacés et pris.

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