2425 occurences

'Ses' dans la Bible

Je leur dis alors: Vous voyez le malheureux état où nous sommes! Jérusalem est détruite, et ses portes sont consumées par le feu! Venez, rebâtissons la muraille de Jérusalem, et nous ne serons plus dans l'opprobre.

Et je leur fis cette réponse: Le Dieu des cieux nous donnera le succès. Nous, ses serviteurs, nous nous lèverons et nous bâtirons; mais vous, vous n'avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem.

Éliaschib, le souverain sacrificateur, se leva avec ses frères, les sacrificateurs, et ils bâtirent la porte des brebis. Ils la consacrèrent et en posèrent les battants; ils la consacrèrent, depuis la tour de Méa jusqu'à la tour de Hananeel.

A côté d'eux travailla, avec ses filles, Schallum, fils d'Hallochesch, chef de la moitié du district de Jérusalem.

Il se moqua des Juifs, et dit devant ses frères et devant les soldats de Samarie: A quoi travaillent ces Juifs impuissants? Les laissera-t-on faire? Sacrifieront-ils? Vont-ils achever? Redonneront-ils vie à des pierres ensevelies sous des monceaux de poussière et consumées par le feu?

Et nous ne quittions point nos vêtements, ni moi, ni mes frères, ni mes serviteurs, ni les hommes de garde qui me suivaient; chacun n'avait que ses armes et de l'eau.

Et je secouai mon manteau, en disant: Que Dieu secoue de la même manière hors de sa maison et de ses biens tout homme qui n'aura point tenu parole, et qu'ainsi cet homme soit secoué et laissé à vide! Toute l'assemblée dit: Amen! On célébra l'Éternel. Et le peuple tint parole.

En le gagnant ainsi, ils espéraient que j'aurais peur, et que je suivrais ses avis et commettrais un péché; et ils auraient profité de cette atteinte à ma réputation pour me couvrir d'opprobre.

Tu opéras des miracles et des prodiges contre Pharaon, contre tous ses serviteurs et contre tout le peuple de son pays, parce que tu savais avec quelle méchanceté ils avaient traité nos pères, et tu fis paraître ta gloire comme elle paraît aujourd'hui.

Et aujourd'hui, nous voici esclaves! Nous voici esclaves sur la terre que tu as donnée à nos pères, pour qu'ils jouissent de ses fruits et de ses biens!

Elle multiplie ses produits pour les rois auxquels tu nous as assujettis, à cause de nos péchés; ils dominent à leur gré sur nos corps et sur notre bétail, et nous sommes dans une grande angoisse!

se joignirent à leurs frères les plus considérables d'entre eux. Ils promirent avec serment et jurèrent de marcher dans la loi de Dieu donnée par Moïse, serviteur de Dieu, d'observer et de mettre en pratique tous les commandements de l'Éternel, notre Seigneur, ses ordonnances et ses lois.

et ses frères, chefs des maisons paternelles, deux cent quarante-deux; et Amaschsaï, fils d'Azareel, fils d'Achzaï, fils de Meschillémoth, fils d'Immer,

Matthania, fils de Michée, fils de Zabdi, fils d'Asaph, le chef qui entonnait la louange à la prière, et Bakbukia, le second parmi ses frères, et Abda, fils de Schammua, fils de Galal, fils de Jeduthun.

Lévites: Josué, Binnuï, Kadmiel, Schérébia, Juda, Matthania, qui dirigeait avec ses frères le chant des louanges;

et ses frères, Schemaeja, Azareel, Milalaï, Guilalaï, Maaï, Nethaneel, Juda et Hanani, avec les instruments de musique de David, homme de Dieu. Esdras, le scribe, était à leur tête.

La troisième année de son règne, il fit un festin à tous ses princes et à ses serviteurs; les commandants de l'armée des Perses et des Mèdes, les grands et les chefs des provinces furent réunis en sa présence.

La jeune fille lui plut, et trouva grâce devant lui; il s'empressa de lui fournir les choses nécessaires pour sa toilette et pour sa subsistance, lui donna sept jeunes filles choisies dans la maison du roi, et la plaça avec ses jeunes filles dans le meilleur appartement de la maison des femmes.

Le roi donna un grand festin à tous ses princes et à ses serviteurs, un festin en l'honneur d'Esther; il accorda du repos aux provinces, et fit des présents avec une libéralité royale.

Mardochée, ayant appris tout ce qui se passait, déchira ses vêtements, s'enveloppa d'un sac et se couvrit de cendre. Puis il alla au milieu de la ville en poussant avec force des cris amers,

Les servantes d'Esther et ses eunuques vinrent lui annoncer cela, et la reine fut très effrayée. Elle envoya des vêtements à Mardochée pour le couvrir et lui faire ôter son sac, mais il ne les accepta pas.

Le troisième jour, Esther mit ses vêtements royaux et se présenta dans la cour intérieure de la maison du roi, devant la maison du roi. Le roi était assis sur son trône royal dans la maison royale, en face de l'entrée de la maison.

Lorsque le roi vit la reine Esther debout dans la cour, elle trouva grâce à ses yeux; et le roi tendit à Esther le sceptre d'or qu'il tenait à la main. Esther s'approcha, et toucha le bout du sceptre.

Il sut néanmoins se contenir, et il alla chez lui. Puis il envoya chercher ses amis et Zéresch, sa femme.

Haman leur parla de la magnificence de ses richesses, du nombre de ses fils, de tout ce qu'avait fait le roi pour l'élever en dignité, et du rang qu'il lui avait donné au-dessus des chefs et des serviteurs du roi.

Zéresch, sa femme, et tous ses amis lui dirent: Qu'on prépare un bois haut de cinquante coudées, et demain matin demande au roi qu'on y pende Mardochée; puis tu iras joyeux au festin avec le roi. Cet avis plut à Haman, et il fit préparer le bois.

Haman raconta à Zéresch, sa femme, et à tous ses amis, tout ce qui lui était arrivé. Et ses sages, et Zéresch, sa femme, lui dirent: Si Mardochée, devant lequel tu as commencé de tomber, est de la race des Juifs, tu ne pourras rien contre lui, mais tu tomberas devant lui.

Puis Esther parla de nouveau en présence du roi. Elle se jeta à ses pieds, elle pleura, elle le supplia d'empêcher les effets de la méchanceté d'Haman, l'Agaguite, et la réussite de ses projets contre les Juifs.

Elle dit alors: Si le roi le trouve bon et si j'ai trouvé grâce devant lui, si la chose paraît convenable au roi et si je suis agréable à ses yeux, qu'on écrive pour révoquer les lettres conçues par Haman, fils d'Hammedatha, l'Agaguite, et écrites par lui dans le but de faire périr les Juifs qui sont dans toutes les provinces du roi.

mais Esther s'étant présentée devant le roi, le roi ordonna par écrit de faire retomber sur la tête d'Haman le méchant projet qu'il avait formé contre les Juifs, et de le pendre au bois, lui et ses fils.

Tous les faits concernant sa puissance et ses exploits, et les détails sur la grandeur à laquelle le roi éleva Mardochée, ne sont-ils pas écrits dans le livre des Chroniques des rois des Mèdes et des Perses?

Car le Juif Mardochée était le premier après le roi Assuérus; considéré parmi les Juifs et aimé de la multitude de ses frères, il rechercha le bien de son peuple et parla pour le bonheur de toute sa race.

Ses fils allaient les uns chez les autres et donnaient tour à tour un festin, et ils invitaient leurs trois soeurs à manger et à boire avec eux.

Et quand les jours de festin étaient passés, Job appelait et sanctifiait ses fils, puis il se levait de bon matin et offrait pour chacun d'eux un holocauste; car Job disait: Peut-être mes fils ont-ils péché et ont-ils offensé Dieu dans leur coeur. C'est ainsi que Job avait coutume d'agir.

Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui? Tu as béni l'oeuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays.

Pourquoi ne suis-je pas mort dans le ventre de ma mère? Pourquoi n'ai-je pas expiré au sortir de ses entrailles?

Plus de prospérité pour ses fils; Ils sont foulés à la porte, et personne qui les délivre!

Sa moisson est dévorée par des affamés, Qui viennent l'enlever jusque dans les épines, Et ses biens sont engloutis par des hommes altérés.

Il entrelace ses racines parmi les pierres, Il pénètre jusque dans les murailles;

Telles sont les délices que ses voies lui procurent. Puis sur le même sol d'autres s'élèvent après lui.

Qu'il retire sa verge de dessus moi, Que ses terreurs ne me troublent plus;

Tes jours sont-ils comme les jours de l'homme, Et tes années comme ses années,

Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore.

Si Dieu n'a pas confiance en ses saints, Si les cieux ne sont pas purs devant lui,

La voix de la terreur retentit à ses oreilles; Au sein de la paix, le dévastateur va fondre sur lui;

Il a eu l'audace de courir à lui Sous le dos épais de ses boucliers.

Il ne pourra se dérober aux ténèbres, La flamme consumera ses rejetons, Et Dieu le fera périr par le souffle de sa bouche.

Elle arrivera avant le terme de ses jours, Et son rameau ne verdira plus.

Il sera comme une vigne dépouillée de ses fruits encore verts, Comme un olivier dont on a fait tomber les fleurs.

Ses traits m'environnent de toutes parts; Il me perce les reins sans pitié, Il répand ma bile sur la terre.

Puisse-t-il donner à l'homme raison contre Dieu, Et au fils de l'homme contre ses amis!

On invite ses amis au partage du butin, Et l'on a des enfants dont les yeux se consument.

Ses pas assurés seront à l'étroit; Malgré ses efforts, il tombera.

La faim consume ses forces, La misère est à ses côtés.

Les parties de sa peau sont l'une après l'autre dévorées, Ses membres sont dévorés par le premier-né de la mort.

En bas, ses racines se dessèchent; En haut, ses branches sont coupées.

Il s'est enflammé de colère contre moi, Il m'a traité comme l'un de ses ennemis.

Ses troupes se sont de concert mises en marche, Elles se sont frayé leur chemin jusqu'à moi, Elles ont campées autour de ma tente.

Ses fils seront assaillis par les pauvres, Et ses mains restitueront ce qu'il a pris par violence.

La vigueur de la jeunesse, qui remplissait ses membres, Aura sa couche avec lui dans la poussière.

Mais sa nourriture se transformera dans ses entrailles, Elle deviendra dans son corps un venin d'aspic.

Il ne reposera plus ses regards sur les ruisseaux, Sur les torrents, sur les fleuves de miel et de lait.

Il arrache de son corps le trait, Qui étincelle au sortir de ses entrailles, Et il est en proie aux terreurs de la mort.

Toutes les calamités sont réservées à ses trésors; Il sera consumé par un feu que n'allumera point l'homme, Et ce qui restera dans sa tente en deviendra la pâture.

Car, que lui importe sa maison après lui, Quand le nombre de ses mois est achevé?

Mon pied s'est attaché à ses pas; J'ai gardé sa voie, et je ne m'en suis point détourné.

Il accomplira donc ses desseins à mon égard, Et il en concevra bien d'autres encore.

Pourquoi le Tout Puissant ne met-il pas des temps en réserve, Et pourquoi ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours?

La puissance et la terreur appartiennent à Dieu; Il fait régner la paix dans ses hautes régions.

Ses armées ne sont-elles pas innombrables? Sur qui sa lumière ne se lève-t-elle pas?

Voici, la lune même n'est pas brillante, Et les étoiles ne sont pas pures à ses yeux;

Est-ce que Dieu écoute ses cris, Quand l'angoisse vient l'assaillir?

Fait-il du Tout Puissant ses délices? Adresse-t-il en tout temps ses prières à Dieu?

S'il a des fils en grand nombre, c'est pour le glaive, Et ses rejetons manquent de pain;

Il creuse un puits loin des lieux habités; Ses pieds ne lui sont plus en aide, Et il est suspendu, balancé, loin des humains.

La terre, d'où sort le pain, Est bouleversée dans ses entrailles comme par le feu.

Ses pierres contiennent du saphir, Et l'on y trouve de la poudre d'or.

Sans que ses reins m'aient béni, Sans qu'il ait été réchauffé par la toison de mes agneaux;

Si ma terre crie contre moi, Et que ses sillons versent des larmes;

Si j'en ai mangé le produit sans l'avoir payée, Et que j'aie attristé l'âme de ses anciens maîtres;

Et sa colère s'enflamma contre ses trois amis, parce qu'ils ne trouvaient rien à répondre et que néanmoins ils condamnaient Job.

Je vous ai donné toute mon attention; Et voici, aucun de vous ne l'a convaincu, Aucun n'a réfuté ses paroles.

Veux-tu donc disputer avec lui, Parce qu'il ne rend aucun compte de ses actes?

Alors il leur donne des avertissements Et met le sceau à ses instructions,

Par la douleur aussi l'homme est repris sur sa couche, Quand une lutte continue vient agiter ses os.

Sa chair se consume et disparaît, Ses os qu'on ne voyait pas sont mis à nu;

Il rend à l'homme selon ses oeuvres, Il rétribue chacun selon ses voies.

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