272 occurences en traduction 1

'Un' dans la Bible

Et la fille de Sion est restée Comme une cabane dans une vigne, Comme une hutte dans un champ de concombres, Comme une ville épargnée.

Si l'Éternel des armées Ne nous eût conservé un faible reste, Nous serions comme Sodome, Nous ressemblerions à Gomorrhe.

Car vous serez comme un térébinthe au feuillage flétri, Comme un jardin qui n'a pas d'eau.

L'homme fort sera comme de l'étoupe, Et son oeuvre comme une étincelle; Ils brûleront l'un et l'autre ensemble, Et il n'y aura personne pour éteindre. 

Il sera le juge des nations, L'arbitre d'un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, Et l'on n'apprendra plus la guerre.

Car il y a un jour pour l'Éternel des armées Contre tout homme orgueilleux et hautain, Contre quiconque s'élève, afin qu'il soit abaissé;

Il y aura réciprocité d'oppression parmi le peuple; L'un opprimera l'autre, chacun son prochain; Le jeune homme attaquera le vieillard, Et l'homme de rien celui qui est honoré.

On ira jusqu'à saisir son frère dans la maison paternelle: Tu as un habit, sois notre chef! Prends ces ruines sous ta main! -

Ce jour-là même il répondra: Je ne saurais être un médecin, Et dans ma maison il n'y a ni pain ni vêtement; Ne m'établissez pas chef du peuple!

Au lieu de parfum, il y aura de l'infection; Au lieu de ceinture, une corde; Au lieu de cheveux bouclés, une tête chauve; Au lieu d'un large manteau, un sac étroit; Une marque flétrissante, au lieu de beauté.

Et sept femmes saisiront en ce jour un seul homme, et diront: Nous mangerons notre pain, Et nous nous vêtirons de nos habits; Fais-nous seulement porter ton nom! Enlève notre opprobre!

L'Éternel établira, sur toute l'étendue de la montagne de Sion Et sur ses lieux d'assemblées, Une nuée fumante pendant le jour, Et un feu de flammes éclatantes pendant la nuit; Car tout ce qui est glorieux sera mis à couvert.

Je chanterai à mon bien-aimé Le cantique de mon bien-aimé sur sa vigne. Mon bien-aimé avait une vigne, Sur un coteau fertile.

Il en remua le sol, ôta les pierres, et y mit un plant délicieux; Il bâtit une tour au milieu d'elle, Et il y creusa aussi une cuve. Puis il espéra qu'elle produirait de bons raisins, Mais elle en a produit de mauvais.

Malheur à ceux qui tirent l'iniquité avec les cordes du vice, Et le péché comme avec les traits d'un char,

Qui justifient le coupable pour un présent, Et enlèvent aux innocents leurs droits!

Il élève une bannière pour les peuples lointains, Et il en siffle un des extrémités de la terre: Et voici, il arrive avec promptitude et légèreté.

Ses flèches sont aiguës, Et tous ses arcs tendus; Les sabots de ses chevaux ressemblent à des cailloux, Et les roues de ses chars à un tourbillon.

En ce jour, il y aura près de lui un mugissement, Comme celui d'une tempête sur mer; En regardant la terre, on ne verra que ténèbres, Avec des alternatives d'angoisse et d'espérance; Au ciel, l'obscurité régnera.

Mais l'un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente, qu'il avait prise sur l'autel avec des pincettes.

Jusqu'à ce que l'Éternel ait éloigné les hommes, Et que le pays devienne un immense désert,

Et s'il y reste encore un dixième des habitants, Ils seront à leur tour anéantis. Mais, comme le térébinthe et le chêne Conservent leur tronc quand ils sont abattus, Une sainte postérité renaîtra de ce peuple.

Car Damas est la tête de la Syrie, Et Retsin est la tête de Damas. (Encore soixante-cinq ans, Éphraïm ne sera plus un peuple.)

Demande en ta faveur un signe à l'Éternel, ton Dieu; demande-le, soit dans les lieux bas, soit dans les lieux élevés.

En ce jour-là, le Seigneur rasera, avec un rasoir pris à louage Au delà du fleuve, Avec le roi d'Assyrie, La tête et le poil des pieds; Il enlèvera aussi la barbe.

Je m'étais approché de la prophétesse; elle conçut, et elle enfanta un fils. L'Éternel me dit: Donne-lui pour nom Maher Schalal Chasch Baz.

Si l'on vous dit: Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, Qui poussent des sifflements et des soupirs, Répondez: Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants?

Aussi l'Éternel arrachera d'Israël la tête et la queue, La branche de palmier et le roseau, En un seul jour.

Car la méchanceté consume comme un feu, Qui dévore ronces et épines; Il embrase l'épaisseur de la forêt, D'où s'élèvent des colonnes de fumée.

Car il dit: C'est par la force de ma main que j'ai agi, C'est par ma sagesse, car je suis intelligent; J'ai reculé les limites des peuples, et pillé leurs trésors, Et, comme un héros, j'ai renversé ceux qui siégeaient sur des trônes;

J'ai mis la main sur les richesses des peuples, comme sur un nid, Et, comme on ramasse des oeufs abandonnés, J'ai ramassé toute la terre: Nul n'a remué l'aile, Ni ouvert le bec, ni poussé un cri. -

C'est pourquoi le Seigneur, le Seigneur des armées, enverra Le dépérissement parmi ses robustes guerriers; Et, sous sa magnificence, éclatera un embrasement, Comme l'embrasement d'un feu.

La lumière d'Israël deviendra un feu, Et son Saint une flamme, Qui consumera et dévorera ses épines et ses ronces, En un seul jour;

Qui consumera, corps et âme, La magnificence de sa forêt et de ses campagnes. Il en sera comme d'un malade, qui tombe en défaillance.

Le reste des arbres de sa forêt pourra être compté, Et un enfant en écrirait le nombre.

Quand ton peuple, ô Israël, serait comme le sable de la mer, Un reste seulement reviendra; La destruction est résolue, elle fera déborder la justice.

Mais, encore un peu de temps, Et le châtiment cessera, Puis ma colère se tournera contre lui pour l'anéantir.

Encore un jour de halte à Nob, Et il menace de sa main la montagne de la fille de Sion, La colline de Jérusalem.

Le loup habitera avec l'agneau, Et la panthère se couchera avec le chevreau; Le veau, le lionceau, et le bétail qu'on engraisse, seront ensemble, Et un petit enfant les conduira.

La vache et l'ourse auront un même pâturage, Leurs petits un même gîte; Et le lion, comme le boeuf, mangera de la paille.

On entend une rumeur sur les montagnes, Comme celle d'un peuple nombreux; On entend un tumulte de royaumes, de nations rassemblées: L'Éternel des armées passe en revue l'armée qui va combattre.

Ils viennent d'un pays lointain, De l'extrémité des cieux: L'Éternel et les instruments de sa colère Vont détruire toute la contrée.

Gémissez, car le jour de l'Éternel est proche: Il vient comme un ravage du Tout Puissant.

Alors, comme une gazelle effarouchée, Comme un troupeau sans berger, Chacun se tournera vers son peuple, Chacun fuira vers son pays;

Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, Comme un rameau qu'on dédaigne, Comme une dépouille de gens tués à coups d'épée, Et précipités sur les pierres d'une fosse, Comme un cadavre foulé aux pieds.

J'en ferai le gîte du hérisson et un marécage, Et je la balaierai avec le balai de la destruction, Dit l'Éternel des armées.

Ne te réjouis pas, pays des Philistins, De ce que la verge qui te frappait est brisée! Car de la racine du serpent sortira un basilic, Et son fruit sera un dragon volant.

Et que répondra-t-on aux envoyés du peuple? -Que l'Éternel a fondé Sion, Et que les malheureux de son peuple y trouvent un refuge.

Les eaux de Dimon sont pleines de sang, Et j'enverrai sur Dimon de nouveaux malheurs, Un lion contre les réchappés de Moab, Contre le reste du pays.

Tel un oiseau fugitif, telle une nichée effarouchée, Telles seront les filles de Moab, au passage de l'Arnon. -

Laisse séjourner chez toi les exilés de Moab, Sois pour eux un refuge contre le dévastateur! Car l'oppression cessera, la dévastation finira, Celui qui foule le pays disparaîtra.

Et le trône s'affermira par la clémence; Et l'on y verra siéger fidèlement, dans la maison de David, Un juge ami du droit et zélé pour la justice. -

Aussi je pleure sur la vigne de Sibma, comme sur Jaezer; Je vous arrose de mes larmes, Hesbon, Élealé! Car sur votre récolte et sur votre moisson Est venu fondre un cri de guerre.

Et maintenant l'Éternel parle, et dit: Dans trois ans, comme les années d'un mercenaire, La gloire de Moab sera l'objet du mépris, Avec toute cette grande multitude; Et ce qui restera sera peu de chose, presque rien.

Oracle sur Damas. Voici, Damas ne sera plus une ville, Elle ne sera qu'un monceau de ruines.

Il en restera un grappillage, comme quand on secoue l'olivier, Deux, trois olives, au haut de la cime, Quatre, cinq, dans ses branches à fruits, Dit l'Éternel, le Dieu d'Israël.

En ce jour, ses villes fortes seront Comme des débris dans la forêt et sur la cime des montagnes, Abandonnés devant les enfants d'Israël: Et ce sera un désert.

Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.

Mais avant la moisson, quand la pousse est achevée, Quand la fleur devient un raisin qui mûrit, Il coupe les sarments avec des serpes, Il enlève, il tranche les ceps...

Et je livrerai l'Égypte entre les mains d'un maître sévère; Un roi cruel dominera sur eux, Dit le Seigneur, l'Éternel des armées.

Les princes de Tsoan ne sont que des insensés, Les sages conseillers de Pharaon forment un conseil stupide. Comment osez-vous dire à Pharaon: Je suis fils des sages, fils des anciens rois?

L'Éternel a répandu au milieu d'elle un esprit de vertige, Pour qu'ils fassent chanceler les Égyptiens dans tous leurs actes, Comme un homme ivre chancelle en vomissant.

Et le pays de Juda sera pour l'Égypte un objet d'effroi: Dès qu'on lui en parlera, elle sera dans l'épouvante, A cause de la résolution prise contre elle par l'Éternel des armées.

En ce même temps, il y aura un autel à l'Éternel Au milieu du pays d'Égypte, Et sur la frontière un monument à l'Éternel.

Ce sera pour l'Éternel des armées un signe et un témoignage Dans le pays d'Égypte; Ils crieront à l'Éternel à cause des oppresseurs, Et il leur enverra un sauveur et un défenseur pour les délivrer.

Et l'Éternel dit: De même que mon serviteur Ésaïe marche nu et déchaussé, ce qui sera dans trois ans un signe et un présage pour l'Égypte et pour l'Éthiopie,

Puis elle s'écria, comme un lion: Seigneur, je me tiens sur la tour toute la journée, Et je suis à mon poste toutes les nuits;

Car ils fuient devant les épées, Devant l'épée nue, devant l'arc tendu, Devant un combat acharné.

Car ainsi m'a parlé le Seigneur: Encore une année, comme les années d'un mercenaire, Et c'en est fait de toute la gloire de Kédar.

Il ne restera qu'un petit nombre des vaillants archers, fils de Kédar, Car l'Éternel, le Dieu d'Israël, l'a déclaré.

Car c'est un jour de trouble, d'écrasement et de confusion, Envoyé par le Seigneur, l'Éternel des armées, Dans la vallée des visions. On démolit les murailles, Et les cris de détresse retentissent vers la montagne.

Vous faites un réservoir entre les deux murs, Pour les eaux de l'ancien étang. Mais vous ne regardez pas vers celui qui a voulu ces choses, Vous ne voyez pas celui qui les a préparées de loin.

Qu'y a-t-il à toi ici, et qui as-tu ici, Que tu creuses ici un sépulcre? Il se creuse un sépulcre sur la hauteur, Il se taille une demeure dans le roc!

Voici, l'Éternel te lancera d'un jet vigoureux; Il t'enveloppera comme une pelote,

Je le revêtirai de ta tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton pouvoir entre ses mains; Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et pour la maison de Juda.

Je l'enfoncerai comme un clou dans un lieu sûr, Et il sera un siège de gloire pour la maison de son père.

En ce jour, dit l'Éternel des armées, Le clou enfoncé dans un lieu sûr sera enlevé, Il sera abattu et tombera, Et le fardeau qui était sur lui sera détruit, Car l'Éternel a parlé.

A travers les vastes eaux, le blé du Nil, La moisson du fleuve, était pour elle un revenu; Elle était le marché des nations.

Vois les Chaldéens, qui n'étaient pas un peuple, Ces habitants du désert, pour qui l'Assyrien a fondé un pays; Ils élèvent des tours, ils renversent les palais de Tyr, Ils les mettent en ruines.

En ce temps-là, Tyr tombera dans l'oubli soixante-dix ans, Ce que dure la vie d'un roi. Au bout de soixante-dix ans, il en sera de Tyr Comme de la prostituée dont parle la chanson: -

C'est pourquoi la malédiction dévore le pays, Et ses habitants portent la peine de leurs crimes; C'est pourquoi les habitants du pays sont consumés, Et il n'en reste qu'un petit nombre.

La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.

Ils seront assemblés captifs dans une prison, Ils seront enfermés dans des cachots, Et, après un grand nombre de jours, ils seront châtiés.

Car tu as réduit la ville en un monceau de pierres, La cité forte en un tas de ruines; La forteresse des barbares est détruite, Jamais elle ne sera rebâtie.

Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur; Car le souffle des tyrans Est comme l'ouragan qui frappe une muraille.

Comme tu domptes la chaleur dans une terre brûlante, Tu as dompté le tumulte des barbares; Comme la chaleur est étouffée par l'ombre d'un nuage, Ainsi ont été étouffés les chants de triomphe des tyrans.

L'Éternel des armées prépare à tous les peuples, sur cette montagne, Un festin de mets succulents, Un festin de vins vieux, De mets succulents, pleins de moelle, De vins vieux, clarifiés.

Quand les rameaux sèchent, on les brise; Des femmes viennent, pour les brûler. C'était un peuple sans intelligence: Aussi celui qui l'a fait n'a point eu pitié de lui, Celui qui l'a formé ne lui a point fait grâce.

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