'Furent' dans la Bible
Ils furent dans le deuil, pleurèrent et jeûnèrent jusqu'au soir, à cause de Saül, de Jonathan, son fils, du peuple de l'Éternel, et de la maison d'Israël, parce qu'ils étaient tombés par l'épée.
Il y eut en ce jour un combat très rude, dans lequel Abner et les hommes d'Israël furent battus par les gens de David.
Ils emportèrent Asaël, et l'enterrèrent dans le sépulcre de son père à Bethléhem. Joab et ses gens marchèrent toute la nuit, et le jour paraissait quand ils furent à Hébron.
Lorsqu'ils furent arrivés à l'aire de Nacon, Uzza étendit la main vers l'arche de Dieu et la saisit, parce que les boeufs la faisaient pencher.
Il battit les Moabites, et il les mesura avec un cordeau, en les faisant coucher par terre; il en mesura deux cordeaux pour les livrer à la mort, et un plein cordeau pour leur laisser la vie. Et les Moabites furent assujettis à David, et lui payèrent un tribut.
David mit des garnisons dans la Syrie de Damas. Et les Syriens furent assujettis à David, et lui payèrent un tribut. L'Éternel protégeait David partout où il allait.
Tous les rois soumis à Hadadézer, se voyant battus par Israël, firent la paix avec Israël et lui furent assujettis. Et les Syriens n'osèrent plus secourir les fils d'Ammon.
David rentra dans sa maison à Jérusalem. Le roi prit les dix concubines qu'il avait laissées pour garder la maison, et il les mit dans un lieu où elles étaient séquestrées; il pourvut à leur entretien, mais il n'alla point vers elles. Et elles furent enfermées jusqu'au jour de leur mort, vivant dans un état de veuvage.
Lorsqu'ils furent près de la grande pierre qui est à Gabaon, Amasa arriva devant eux. Joab était ceint d'une épée par-dessus les habits dont il était revêtu; elle était attachée à ses reins dans le fourreau, d'où elle glissa, comme Joab s'avançait.
et il les livra entre les mains des Gabaonites, qui les pendirent sur la montagne, devant l'Éternel. Tous les sept périrent ensemble; ils furent mis à mort dans les premiers jours de la moisson, au commencement de la moisson des orges.
La terre fut ébranlée et trembla, Les fondements des cieux frémirent, Et ils furent ébranlés, parce qu'il était irrité.
Le lit de la mer apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par la menace de l'Éternel, Par le bruit du souffle de ses narines.