'Quand' dans la Bible
Quels châtiments nouveaux vous infliger, Quand vous multipliez vos révoltes? La tête entière est malade, Et tout le coeur est souffrant.
Quand vous venez vous présenter devant moi, Qui vous demande de souiller mes parvis?
Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux; Quand vous multipliez les prières, je n'écoute pas: Vos mains sont pleines de sang.
On entrera dans les cavernes des rochers Et dans les profondeurs de la poussière, Pour éviter la terreur de l'Éternel et l'éclat de sa majesté, Quand il se lèvera pour effrayer la terre.
Et ils entreront dans les fentes des rochers Et dans les creux des pierres, Pour éviter la terreur de l'Éternel et l'éclat de sa majesté, Quand il se lèvera pour effrayer la terre.
Qu'y avait-il encore à faire à ma vigne, Que je n'aie pas fait pour elle? Pourquoi, quand j'ai espéré qu'elle produirait de bons raisins, En a-t-elle produit de mauvais?
Je dis: Jusqu'à quand, Seigneur? Et il répondit: Jusqu'à ce que les villes soient dévastées Et privées d'habitants; Jusqu'à ce qu'il n'y ait personne dans les maisons, Et que le pays soit ravagé par la solitude;
Et s'il y reste encore un dixième des habitants, Ils seront à leur tour anéantis. Mais, comme le térébinthe et le chêne Conservent leur tronc quand ils sont abattus, Une sainte postérité renaîtra de ce peuple.
Ainsi m'a parlé l'Éternel, quand sa main me saisit, Et qu'il m'avertit de ne pas marcher dans la voie de ce peuple:
Il sera errant dans le pays, accablé et affamé; Et, quand il aura faim, il s'irritera, Maudira son roi et son Dieu, Et tournera les yeux en haut;
Mais, quand le Seigneur aura accompli toute son oeuvre Sur la montagne de Sion et à Jérusalem, Je punirai le roi d'Assyrie pour le fruit de son coeur orgueilleux, Et pour l'arrogance de ses regards hautains.
Quand ton peuple, ô Israël, serait comme le sable de la mer, Un reste seulement reviendra; La destruction est résolue, elle fera déborder la justice.
Et quand l'Éternel t'aura donné du repos, Après tes fatigues et tes agitations, Et après la dure servitude qui te fut imposée,
Il en sera comme quand le moissonneur récolte les blés, Et que son bras coupe les épis; Comme quand on ramasse les épis, Dans la vallée de Rephaïm.
Il en restera un grappillage, comme quand on secoue l'olivier, Deux, trois olives, au haut de la cime, Quatre, cinq, dans ses branches à fruits, Dit l'Éternel, le Dieu d'Israël.
Quand vient le soir, voici, c'est une ruine soudaine; Avant le matin, ils ne sont plus! Voilà le partage de ceux qui nous dépouillent, Le sort de ceux qui nous pillent.
Mais avant la moisson, quand la pousse est achevée, Quand la fleur devient un raisin qui mûrit, Il coupe les sarments avec des serpes, Il enlève, il tranche les ceps...
En ce jour, l'Égypte sera comme des femmes: Elle tremblera et aura peur, En voyant s'agiter la main de l'Éternel des armées, Quand il la lèvera contre elle.
Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne fermera; Quand il fermera, nul n'ouvrira.
Quand les Égyptiens sauront la nouvelle, Ils trembleront en apprenant la chute de Tyr.
Car il en est dans le pays, au milieu des peuples, Comme quand on secoue l'olivier, Comme quand on grappille après la vendange.
Éternel, ils t'ont cherché, quand ils étaient dans la détresse; Ils se sont répandus en prières, quand tu les as châtiés.
Nous avons conçu, nous avons éprouvé des douleurs, Et, quand nous enfantons, ce n'est que du vent: Le pays n'est pas sauvé, Et ses habitants ne sont pas nés.
Quand les rameaux sèchent, on les brise; Des femmes viennent, pour les brûler. C'était un peuple sans intelligence: Aussi celui qui l'a fait n'a point eu pitié de lui, Celui qui l'a formé ne lui a point fait grâce.
Vous dites: Nous avons fait une alliance avec la mort, Nous avons fait un pacte avec le séjour des morts; Quand le fléau débordé passera, il ne nous atteindra pas, Car nous avons la fausseté pour refuge et le mensonge pour abri.
Votre alliance avec la mort sera détruite, Votre pacte avec le séjour des morts ne subsistera pas; Quand le fléau débordé passera, Vous serez par lui foulés aux pieds.
Le Seigneur dit: Quand ce peuple s'approche de moi, Il m'honore de la bouche et des lèvres; Mais son coeur est éloigné de moi, Et la crainte qu'il a de moi N'est qu'un précepte de tradition humaine.
Oui, peuple de Sion, habitant de Jérusalem, Tu ne pleureras plus! Il te fera grâce, quand tu crieras; Dès qu'il aura entendu, il t'exaucera.
L'Égyptien est homme et non dieu; Ses chevaux sont chair et non esprit. Quand l'Éternel étendra sa main, Le protecteur chancellera, le protégé tombera, Et tous ensemble ils périront.
Les armes du fourbe sont pernicieuses; Il forme de coupables desseins, Pour perdre les malheureux par des paroles mensongères, Même quand la cause du pauvre est juste.
Malheur à toi qui ravages, et qui n'as pas été ravagé! Qui pilles, et qu'on n'a pas encore pillé! Quand tu auras fini de ravager, tu seras ravagé; Quand tu auras achevé de piller, on te pillera.
Quand ta voix retentit, Les peuples fuient; Quand tu te lèves, Les nations se dispersent.
Mais je sais quand tu t'assieds, quand tu sors et quand tu entres, Et quand tu es furieux contre moi.
L'ange de l'Éternel sortit, et frappa dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c'étaient tous des corps morts.
Je disais: Quand mes jours sont en repos, je dois m'en aller Aux portes du séjour des morts. Je suis privé du reste de mes années!
L'herbe sèche, la fleur tombe, Quand le vent de l'Éternel souffle dessus. -Certainement le peuple est comme l'herbe:
Une femme oublie-t-elle l'enfant qu'elle allaite? N'a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles? Quand elle l'oublierait, Moi je ne t'oublierai point.
Et maintenant, qu'ai-je à faire, dit l'Éternel, Quand mon peuple a été gratuitement enlevé? Ses tyrans poussent des cris, dit l'Éternel, Et toute la durée du jour mon nom est outragé.
Quand les montagnes s'éloigneraient, Quand les collines chancelleraient, Mon amour ne s'éloignera point de toi, Et mon alliance de paix ne chancellera point, Dit l'Éternel, qui a compassion de toi.
Quand tu crieras, la foule de tes idoles te délivrera-t-elle? Le vent les emportera toutes, un souffle les enlèvera. Mais celui qui se confie en moi héritera le pays, Et possédera ma montagne sainte.
Je ne veux pas contester à toujours, Ni garder une éternelle colère, Quand devant moi tombent en défaillance les esprits, Les âmes que j'ai faites.
On craindra le nom de l'Éternel depuis l'occident, Et sa gloire depuis le soleil levant; Quand l'ennemi viendra comme un fleuve, L'esprit de l'Éternel le mettra en fuite.
Tu tressailliras alors et tu te réjouiras, Et ton coeur bondira et se dilatera, Quand les richesses de la mer se tourneront vers toi, Quand les trésors des nations viendront à toi.
Ainsi parle l'Éternel: Quand il se trouve du jus dans une grappe, On dit: Ne la détruis pas, Car il y a là une bénédiction! J'agirai de même, pour l'amour de mes serviteurs, Afin de ne pas tout détruire.
Et quand on sortira, on verra Les cadavres des hommes qui se sont rebellés contre moi; Car leur ver ne mourra point, et leur feu ne s'éteindra point; Et ils seront pour toute chair un objet d'horreur.