'Écris' dans la Bible
L'Éternel dit à Moïse: Écris cela dans le livre, pour que le souvenir s'en conserve, et déclare à Josué que j'effacerai la mémoire d'Amalek de dessous les cieux.
L'Éternel dit à Moïse: Écris ces paroles; car c'est conformément à ces paroles que je traite alliance avec toi et avec Israël.
Que la bonté et la fidélité ne t'abandonnent pas; Lie-les à ton cou, écris-les sur la table de ton coeur.
Lie-les sur tes doigts, Écris-les sur la table de ton coeur.
L'Éternel me dit: Prends une grande table, et écris dessus, d'une manière intelligible: Qu'on se hâte de piller, qu'on se précipite sur le butin.
Va maintenant, écris ces choses devant eux sur une table, Et grave-les dans un livre, Afin qu'elles subsistent dans les temps à venir, Éternellement et à perpétuité.
Ainsi parle l'Éternel, le Dieu d'Israël: Écris dans un livre toutes les paroles que je t'ai dites.
Et toi, fils de l'homme, prends une pièce de bois, et écris dessus: Pour Juda et pour les enfants d'Israël qui lui sont associés. Prends une autre pièce de bois, et écris dessus: Pour Joseph, bois d'Éphraïm et de toute la maison d'Israël qui lui est associée.
Maintenant, ô roi, confirme la défense, et écris le décret, afin qu'il soit irrévocable, selon la loi des Mèdes et des Perses, qui est immuable.
L'Éternel m'adressa la parole, et il dit: Écris la prophétie: Grave-la sur des tables, Afin qu'on la lise couramment.
Cent mesures d'huile, répondit-il. Et il lui dit: Prends ton billet, assieds-toi vite, et écris cinquante.
Il dit ensuite à un autre: Et toi, combien dois-tu? Cent mesures de blé, répondit-il. Et il lui dit: Prends ton billet, et écris quatre-vingts.
Les principaux sacrificateurs des Juifs dirent à Pilate: N'écris pas: Roi des Juifs. Mais écris qu'il a dit: Je suis roi des Juifs.
Ce n'est pas pour vous faire honte que j'écris ces choses; mais je vous avertis comme mes enfants bien-aimés.
Pour moi, je n'ai usé d'aucun de ces droits, et ce n'est pas afin de les réclamer en ma faveur que j'écris ainsi; car j'aimerais mieux mourir que de me laisser enlever ce sujet de gloire.
Si quelqu'un croit être prophète ou inspiré, qu'il reconnaisse que ce que je vous écris est un commandement du Seigneur.
C'est pourquoi j'écris ces choses étant absent, afin que, présent, je n'aie pas à user de rigueur, selon l'autorité que le Seigneur m'a donnée pour l'édification et non pour la destruction.
Dans ce que je vous écris, voici, devant Dieu, je ne mens point.
Je vous salue, moi Paul, de ma propre main. C'est là ma signature dans toutes mes lettres; c'est ainsi que j'écris.
Je t'écris ces choses, avec l'espérance d'aller bientôt vers toi,
Moi Paul, je l'écris de ma propre main, -je paierai, pour ne pas te dire que tu te dois toi-même à moi.
C'est en comptant sur ton obéissance que je t'écris, sachant que tu feras même au delà de ce que je dis.
C'est par Silvain, qui est à mes yeux un frère fidèle, que je vous écris ce peu de mots, pour vous exhorter et pour vous attester que la grâce de Dieu à laquelle vous êtes attachés est la véritable.
Voici déjà, bien-aimés, la seconde lettre que je vous écris. Dans l'une et dans l'autre je cherche à éveiller par des avertissements votre saine intelligence,
Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ le juste.
Bien-aimés, ce n'est pas un commandement nouveau que je vous écris, mais un commandement ancien que vous avez eu dès le commencement; ce commandement ancien, c'est la parole que vous avez entendue.
Toutefois, c'est un commandement nouveau que je vous écris, ce qui est vrai en lui et en vous ,car les ténèbres se dissipent et la lumière véritable paraît déjà.
Je vous écris, petits enfants, parce que vos péchés vous sont pardonnés à cause de son nom.
Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin. Je vous ai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père.
qui disait: Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Églises, à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée.
Écris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles,
Écris à l'ange de l'Église d'Éphèse: Voici ce que dit celui qui tient les sept étoiles dans sa main droite, celui qui marche au milieu des sept chandeliers d'or:
Écris à l'ange de l'Église de Smyrne: Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui était mort, et qui est revenu à la vie:
Écris à l'ange de l'Église de Pergame: Voici ce que dit celui qui a l'épée aiguë, à deux tranchants:
Écris à l'ange de l'Église de Thyatire: Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l'airain ardent:
Écris à l'ange de l'Église de Sardes: Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles: Je connais tes oeuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.
Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie: Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira:
Écris à l'ange de l'Église de Laodicée: Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu:
Et quand les sept tonnerres eurent fait entendre leurs voix, j'allais écrire; et j'entendis du ciel une voix qui disait: Scelle ce qu'ont dit les sept tonnerres, et ne l'écris pas.
Et j'entendis du ciel une voix qui disait: Écris: Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent.
Et l'ange me dit: Écris: Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l'agneau! Et il me dit: Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu.
Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il dit: Écris; car ces paroles sont certaines et véritables.