'Leurs' dans la Bible

Ses fils allaient les uns chez les autres et donnaient tour à tour un festin, et ils invitaient leurs trois soeurs à manger et à boire avec eux.

Ayant de loin porté les regards sur lui, ils ne le reconnurent pas, et ils élevèrent la voix et pleurèrent. Ils déchirèrent leurs manteaux, et ils jetèrent de la poussière en l'air au-dessus de leur tête.

Avec les princes qui avaient de l'or, Et qui remplirent d'argent leurs demeures.

Il anéantit les projets des hommes rusés, Et leurs mains ne peuvent les accomplir;

Ainsi Dieu protège le faible contre leurs menaces, Et le sauve de la main des puissants;

Interroge ceux des générations passées, Sois attentif à l'expérience de leurs pères.

Il délie la ceinture des rois, Il met une corde autour de leurs reins.

Il donne de l'accroissement aux nations, et il les anéantit; Il les étend au loin, et il les ramène dans leurs limites.

Ce que les sages ont fait connaître, Ce qu'ils ont révélé, l'ayant appris de leurs pères.

Je suis environné de moqueurs, Et mon oeil doit contempler leurs insultes.

Je suis un étranger pour mes serviteurs et mes servantes, Je ne suis plus à leurs yeux qu'un inconnu.

Je suis méprisé même par des enfants; Si je me lève, je reçois leurs insultes.

Leur postérité s'affermit avec eux et en leur présence, Leurs rejetons prospèrent sous leurs yeux.

Dans leurs maisons règne la paix, sans mélange de crainte; La verge de Dieu ne vient pas les frapper.

Leurs taureaux sont vigoureux et féconds, Leurs génisses conçoivent et n'avortent point.

Ils laissent courir leurs enfants comme des brebis, Et les enfants prennent leurs ébats.

Ils passent leurs jours dans le bonheur, Et ils descendent en un instant au séjour des morts.

Tu enlevais sans motif des gages à tes frères, Tu privais de leurs vêtements ceux qui étaient nus;

Dieu cependant avait rempli de biens leurs maisons. -Loin de moi le conseil des méchants!

Voilà nos adversaires anéantis! Voilà leurs richesses dévorées par le feu!

Et voici, comme les ânes sauvages du désert, Ils sortent le matin pour chercher de la nourriture, Ils n'ont que le désert pour trouver le pain de leurs enfants;

Quoi! le sein maternel l'oublie, Les vers en font leurs délices, On ne se souvient plus de lui! L'impie est brisé comme un arbre,

Il leur donne de la sécurité et de la confiance, Il a les regards sur leurs voies.

Devant Dieu les ombres tremblent Au-dessous des eaux et de leurs habitants;

Ceux qui échappent sont enterrés par la peste, Et leurs veuves ne les pleurent pas.

Les princes arrêtaient leurs discours, Et mettaient la main sur leur bouche;

Mais à quoi me servirait la force de leurs mains? Ils sont incapables d'atteindre la vieillesse.

Et maintenant, je suis l'objet de leurs chansons, Je suis en butte à leurs propos.

J'ai attendu qu'ils eussent fini leurs discours, Qu'ils s'arrêtassent et ne sussent que répliquer.

Car il connaît leurs oeuvres. Ils les renverse de nuit, et ils sont écrasés;

Il leur dénonce leurs oeuvres, Leurs transgressions, leur orgueil;

S'ils écoutent et se soumettent, Ils achèvent leurs jours dans le bonheur, Leurs années dans la joie.

Leurs évolutions varient selon ses desseins, Pour l'accomplissement de tout ce qu'il leur ordonne, Sur la face de la terre habitée;

Sais-tu quand les chèvres sauvages font leurs petits? Observes-tu les biches quand elles mettent bas?

Elles se courbent, laissent échapper leur progéniture, Et sont délivrées de leurs douleurs.

Leurs petits prennent de la vigueur et grandissent en plein air, Ils s'éloignent et ne reviennent plus auprès d'elles.

Il n'y avait pas dans tout le pays d'aussi belles femmes que les filles de Job. Leur père leur accorda une part d'héritage parmi leurs frères.