43 Bible Verses about Remèdes
Versets les plus Pertinents
Voilà, ô que bienheureux est celui que Dieu châtie! ne rejette donc point le châtiment du Tout-puissant. Car c'est lui qui fait la plaie, et qui la bande; il blesse, et ses mains guérissent.
Mon âme, bénis l'Eternel, et n'oublie pas un de ses bienfaits. C'est lui qui te pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités; Qui garantit ta vie de la fosse, qui te couronne de gratuité et de compassions;lire plus.
Qui rassasie ta bouche de biens; ta jeunesse est renouvelée comme celle de l'aigle.
Voici, je m'en vais lui donner la santé et la guérison, je les guérirai, et je leur ferai voir abondance de paix et de vérité.
Et Jésus répondant, leur dit : allez, et rapportez à Jean les choses que vous entendez, et que vous voyez. Les aveugles recouvrent la vue, les boiteux marchent, les lépreux sont nettoyés, les sourds entendent, les morts sont ressuscités, et l'Evangile est annoncé aux pauvres.
(Or, en cette même heure-là il guérit plusieurs personnes de maladies et de fléaux, et des malins esprits; et il donna la vue à plusieurs aveugles.) Ensuite Jésus leur répondit, et leur dit : allez, et rapportez à Jean ce que vous avez vu et ouï, que les aveugles recouvrent la vue; que les boiteux marchent ; que les lépreux sont nettoyés; que les sourds entendent; que les morts ressuscitent; et que l'Evangile est prêché aux pauvres.
Alors les yeux des aveugles seront ouverts, et les oreilles des sourds seront débouchées. Alors le boiteux sautera comme un cerf, et la langue du muet chantera en triomphe; car des eaux sourdront au désert ; et des torrents, au lieu solitaire.
Et voici, une femme Cananéenne, qui était partie de ces quartiers-là, s'écria, en lui disant : Seigneur! Fils de David, aie pitié de moi! ma fille est misérablement tourmentée d'un démon. Mais il ne lui répondit mot; et ses Disciples s'approchant le prièrent, disant : renvoie-la; car elle crie après nous. Et il répondit, et dit : je ne suis envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël.lire plus.
Mais elle vint, et l'adora, disant : Seigneur, assiste-moi! Et il lui répondit, et dit : il ne convient pas de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. Mais elle dit : cela est vrai, Seigneur! cependant les petits chiens mangent des miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Alors Jésus répondant, lui dit : Ô femme! ta foi est grande; qu'il te soit fait comme tu le souhaites : et dès ce moment-là sa fille fut guérie.
Et ils arrivèrent au delà de la mer, dans le pays des Gadaréniens. Et quand il fut sorti de la nacelle, un homme qui avait un esprit immonde, [sortit] d'abord des sépulcres, et le vint rencontrer. Cet homme faisait sa demeure dans les sépulcres, et personne ne le pouvait tenir lié, non pas même avec des chaînes.lire plus.
Parce que souvent, quand il avait été lié de fers et de chaînes, il avait rompu les chaînes, et mis les fers en pièces, et personne ne le pouvait dompter. Et il était continuellement de nuit et de jour dans les montagnes, et dans les sépulcres, criant, et se frappant avec des pierres. Mais quand il eut vu Jésus de loin, il courut et se prosterna devant lui. Et criant à haute voix, il dit : qu'y a-t-il entre nous, Jésus, Fils du Dieu souverain? Je te conjure de la part de Dieu, de ne me tourmenter point. Car [Jésus] lui disait : sors de cet homme, esprit immonde. Alors il lui demanda : comment te nommes-tu? Et il répondit, et dit : J'ai nom Légion; parce que nous sommes plusieurs. Et il le priait instamment qu'il ne les envoyât point hors de cette contrée. Or il y avait là vers les montagnes un grand troupeau de pourceaux qui paissait. Et tous ces démons le priaient, en disant : Envoie-nous dans les pourceaux, afin que nous entrions en eux; et aussitôt Jésus le leur permit. Alors ces esprits immondes étant sortis, entrèrent dans les pourceaux, et le troupeau, qui était d'environ deux mille, se jeta du haut en bas dans la mer; et ils furent étouffés dans la mer. Et ceux qui paissaient les pourceaux s'enfuirent, et en portèrent les nouvelles dans la ville, et dans les villages. Et [ceux de la ville] sortirent pour voir ce qui était arrivé, et vinrent à Jésus; et ils virent le démoniaque, celui qui avait eu la légion, assis et vêtu, et en bon sens; et ils furent saisis de crainte. Et ceux qui avaient vu [le miracle], leur racontèrent ce qui était arrivé au démoniaque, et aux pourceaux. Alors ils se mirent à le prier qu'il se retirât de leurs quartiers. Et quand il fut entré dans la nacelle, celui qui avait été démoniaque le pria de permettre qu'il fût avec lui. Mais Jésus ne le lui permit point, et lui dit : va-t'en à ta maison vers les tiens, et raconte-leur les grandes choses que le Seigneur t'a faites, et comment il a eu pitié de toi. Il s'en alla donc, et se mit à publier en Décapolis les grandes choses que Jésus lui avait faites; et tous s'en étonnaient.
Puis ils naviguèrent vers le pays des Gadaréniens, qui est vis-à-vis de la Galilée. Et quand il fut descendu à terre, il vint à sa rencontre un homme de cette ville-là, qui depuis longtemps était possédé des démons, et n'était point couvert d'habits, et ne demeurait point dans les maisons, mais dans les sépulcres. Et ayant aperçu Jésus, il s'écria, et se prosterna devant lui, disant à haute voix : qu'y a-t-il entre moi et toi, Jésus Fils du Dieu Souverain? je te prie, ne me tourmente point.lire plus.
Car [Jésus] commandait à l'esprit immonde de sortir hors de cet homme; parce qu'il l'avait tenu enserré depuis longtemps, et quoique cet homme fût lié de chaînes et gardé dans les fers il brisait ses liens, et était emporté par le démon dans les déserts. Et Jésus lui demanda : comment as-tu nom? Et il dit : Légion; car plusieurs démons étaient entrés en lui. Mais ils priaient [Jésus] qu'il ne leur commandât point d'aller dans l'abîme. Or il y avait là un grand troupeau de pourceaux qui paissaient sur la montagne, et ils le priaient de leur permettre d'entrer dans ces pourceaux; et il le leur permit. Et les démons sortant de cet homme entrèrent dans les pourceaux; et le troupeau se jeta du haut en bas dans le lac; et fut étouffé. Et quand ceux qui le gardaient eurent vu ce qui était arrivé, ils s'enfuirent, et allèrent le raconter dans la ville et par les champs. Et les gens sortirent pour voir ce qui était arrivé, et vinrent à Jésus, et ils trouvèrent l'homme duquel les démons étaient sortis, assis aux pieds de Jésus, vêtu, et de sens rassis et posé; et ils eurent peur. Et ceux qui avaient vu tout cela, leur racontèrent comment le démoniaque avait été délivré. Alors toute cette multitude venue de divers endroits voisins des Gadaréniens le prièrent de se retirer de chez eux; car ils étaient saisis d'une grande crainte; il remonta donc dans la nacelle, et s'en retourna. Et l'homme duquel les démons étaient sortis, le priait qu'il fût avec lui; mais Jésus le renvoya, en lui disant : Retourne-t-en en ta maison, et raconte quelles grandes choses Dieu t'a faites. Il s'en alla donc publiant par toute la ville toutes les choses que Jésus lui avait faites.
Alors il lui fut présenté un homme tourmenté d'un démon, aveugle, et muet, et il le guérit; de sorte que celui qui avait été aveugle et muet, parlait et voyait.
Alors il chassa un démon qui était muet ; et il arriva que quand le démon fut sorti, le muet parla; et les troupes s'en étonnèrent.
Puis [Jésus] étant encore parti des frontières de Tyr et de Sidon, il vint à la mer de Galilée par le milieu du pays de Décapolis. Et on lui amena un sourd qui avait la parole empêchée, et on le pria de poser les mains sur lui. Et [Jésus] l'ayant tiré à part, hors de la foule, lui mit les doigts dans les oreilles; et ayant craché, lui toucha la langue.lire plus.
Puis regardant vers le ciel, il soupira, et lui dit : Ephphatha, c'est-à-dire, Ouvre-toi. Et aussitôt ses oreilles s'ouvrirent, et le lien de sa langue se délia, et il parla aisément. Et [Jésus] leur commanda de ne [le] dire à personne; mais plus il le défendait, plus ils le publiaient. Et ils en étaient extrêmement étonnés, disant : il a tout bien fait; il fait ouïr les sourds, et parler les muets.
Et voici, on lui présenta un paralytique couché dans un lit. Et Jésus voyant leur foi, dit au paralytique : aie bon courage, mon fils! tes péchés te sont pardonnés. Et voici, quelques-uns des Scribes disaient en eux-mêmes : celui-ci blasphème. Mais Jésus connaissant leurs pensées, leur dit : pourquoi pensez-vous du mal dans vos cœurs?lire plus.
Car lequel est le plus aisé, ou de dire? Tes péchés te sont pardonnés; ou de dire? Lève-toi, et marche. Or afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés, il dit alors au paralytique : lève-toi, charge ton lit, et t'en va en ta maison. Et il se leva, et s'en alla en sa maison. Ce que les troupes ayant vu, elles s'en étonnèrent, et elles glorifièrent Dieu de ce qu'il avait donné une telle puissance aux hommes.
Et [quelques-uns] vinrent à lui, portant un paralytique, qui était soutenu par quatre personnes. Mais parce qu'ils ne pouvaient approcher de lui à cause de la foule, ils découvrirent le toit du lieu où il était, et l'ayant percé, ils descendirent le petit lit dans lequel le paralytique était couché. Et Jésus ayant vu leur foi, dit au paralytique : mon fils, tes péchés te sont pardonnés.lire plus.
Et quelques Scribes qui étaient là assis, raisonnaient ainsi en eux-mêmes : Pourquoi celui-ci prononce-t-il ainsi des blasphèmes? qui est-ce qui peut pardonner les péchés, que Dieu seul? Et Jésus ayant aussitôt connu par son esprit qu'ils raisonnaient ainsi en eux mêmes, il leur dit : pourquoi faites-vous ces raisonnements dans vos cœurs? Car lequel est le plus aisé, ou de dire au paralytique : tes péchés te sont pardonnés; ou de lui dire : lève-toi, et charge ton petit lit, et marche? Mais afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés, il dit au paralytique : Je te dis : lève-toi, et charge ton petit lit, et t'en va en ta maison. Et il se leva aussitôt, et ayant chargé son petit lit, il sortit en la présence de tous; de sorte qu'ils en furent tous étonnés, et ils glorifièrent Dieu, en disant : nous ne vîmes jamais une telle chose.
Et voici des hommes qui portaient dans un lit un homme qui était paralytique, et ils cherchaient le moyen de le porter dans la maison, et de le mettre devant lui. Mais ne trouvant point par quel côté ils pourraient l'introduire, à cause de la foule, ils montèrent sur la maison, et ils le descendirent par les tuiles, avec le petit lit, au milieu devant Jésus; Qui voyant leur foi, dit au paralytique : homme, tes péchés te sont pardonnés.lire plus.
Alors les Scribes et les Pharisiens commencèrent à raisonner en eux-mêmes, disant : qui est celui-ci qui prononce des blasphèmes? Qui est-ce qui peut pardonner les péchés, que Dieu seul? Mais Jésus connaissant leurs pensées, prit la parole, et leur dit : pourquoi raisonnez-vous ainsi en vous-mêmes? Lequel est le plus aisé, ou de dire : tes péchés te sont pardonnés; ou de dire : lève-toi, et marche? Or afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés, il dit au paralytique : je te dis, lève-toi, charge ton petit lit, et t'en va en ta maison. Et à l'instant [le paralytique] s'étant levé devant eux, chargea le lit où il était couché, et s'en alla en sa maison, glorifiant Dieu. Et ils furent tous saisis d'étonnement, et ils glorifiaient Dieu, et étant remplis de crainte, ils disaient : certainement nous avons vu aujourd'hui des choses qu'on n'eût jamais attendues.
Après ces choses il y avait une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem. Or il y a à Jérusalem, au marché aux brebis, un lavoir appelé en Hébreu Béthesda ayant cinq portiques; Dans lesquels gisait un grand nombre de malades, d'aveugles, de boiteux, [et de gens] qui avaient les membres secs, attendant le mouvement de l'eau.lire plus.
Car un Ange descendait en certains temps au lavoir, et troublait l'eau; et alors le premier qui descendait au lavoir après que l'eau en avait été troublée, était guéri, de quelque maladie qu'il fût détenu. Or il y avait là un homme malade depuis trente-huit ans. [Et] Jésus le voyant couché par terre, et connaissant qu'il avait déjà été là longtemps, lui dit : veux-tu être guéri? Le malade lui répondit : Seigneur, je n'ai personne qui me jette au lavoir quand l'eau est troublée, et pendant que j'y viens, un autre y descend avant moi. Jésus lui dit : lève-toi, charge ton petit lit, et marche. Et sur-le-champ l'homme fut guéri, et chargea son petit lit, et il marchait. Or c'était [un jour] de Sabbat. Les Juifs donc dirent à celui qui avait été guéri : c'est [un jour] de Sabbat, il ne t'est pas permis de charger ton petit lit. Il leur répondit : celui qui m'a guéri m'a dit : charge ton petit lit, et marche. Alors ils lui demandèrent : qui est celui qui t'a dit : charge ton petit lit, et marche? Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c'était : car Jésus s'était éclipsé du milieu de la foule qui était en ce lieu-là. Depuis, Jésus le trouva au Temple, et lui dit : voici, tu as été guéri; ne pèche plus désormais, de peur que pis ne t'arrive.
Or une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans, Et qui avait beaucoup souffert [entre les mains] de plusieurs médecins, et avait dépensé tout son bien, sans avoir rien profité, mais plutôt était allée en empirant; Ayant ouï parler de Jésus, vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement.lire plus.
Car elle disait : si je touche seulement ses vêtements, je serai guérie. Et dans ce moment la perte de sang s'arrêta; et elle sentit en son corps qu'elle était guérie de son fléau. Et aussitôt Jésus reconnaissant en soi-même la vertu qui était sortie de lui, se retourna vers la foule, en disant : qui est-ce qui a touché mes vêtements? Et ses Disciples lui dirent : tu vois que la foule te presse, et tu dis : qui est-ce qui m'a touché? Mais il regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela. Alors la femme saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui avait été fait en sa personne, vint et se jeta à ses pieds, et lui déclara toute la vérité. Et il lui dit : ma fille! ta foi t'a sauvée; va-t'en en paix, et sois guérie de ton fléau.
Puis il vint à Bethsaïda, et on lui présenta un aveugle, en le priant qu'il le touchât. Alors il prit la main de l'aveugle, et le mena hors de la bourgade, et ayant mis de sa salive sur ses yeux, et posé les mains sur lui, il lui demanda s'il voyait quelque chose. Et cet homme ayant regardé, dit : Je vois des hommes qui marchent, et qui [me paraissent] comme des arbres.lire plus.
[Jésus] lui mit encore les mains sur les yeux, et lui commanda de regarder; et il fut rétabli, et les voyait tous de loin clairement. Puis il le renvoya en sa maison, en lui disant : n'entre point dans la bourgade, et ne le dis à personne de la bourgade.
Et comme [Jésus] passait, il vit un homme aveugle dès sa naissance. Et ses Disciples l'interrogèrent, disant : Maître, qui a péché, celui-ci, ou son père, ou sa mère, pour être ainsi né aveugle? Jésus répondit : ni celui-ci n'a péché, ni son père, ni sa mère; mais [c'est] afin que les œuvres de Dieu soient manifestées en lui.lire plus.
Il me faut faire les œuvres de celui qui m'a envoyé, tandis qu'il est jour. La nuit vient en laquelle personne ne peut travailler. Pendant que je suis au monde, je suis la lumière du monde. Ayant dit ces paroles, il cracha [en] terre, et fit de la boue avec sa salive, et mit de cette boue sur les yeux de l'aveugle. Et lui dit : va, et te lave au réservoir de Siloé (qui veut dire envoyé); il y alla donc, et se lava, et il revint voyant.
Et voici, un lépreux vint et se prosterna devant lui, en lui disant : Seigneur, si tu veux, tu peux me rendre net. Et Jésus étendant la main, le toucha, en disant : je le veux, sois net; et incontinent sa lèpre fut guérie. Puis Jésus lui dit : prends garde de ne le dire à personne; mais va, et te montre au Sacrificateur, et offre le don que Moïse a ordonné, afin que cela leur serve de témoignage.
Et un lépreux vint à lui, le priant et se mettant à genoux devant lui, et lui disant : si tu veux, tu peux me rendre net. Et Jésus étant ému de compassion étendit sa main, et le toucha, en lui disant : je le veux, sois net. Et quand il eut dit cela, la lèpre se retira aussitôt de cet homme, et il fut net.lire plus.
Puis l'ayant menacé, il le renvoya incessamment, Et lui dit : prends garde de n'en rien dire à personne; mais va, et te montre au Sacrificateur, et présente pour ta purification les choses que Moïse a commandées, pour leur servir de témoignage.
Or il arriva que comme il était dans une des villes [de ce pays-là], voici, un homme plein de lèpre voyant Jésus, se jeta [en terre] sur sa face, et le pria, disant : Seigneur, si tu veux, tu peux me rendre net. Et [Jésus] étendit la main, et le toucha, en disant : je le veux, sois net; et incontinent la lèpre le quitta. Et il lui commanda de ne le dire à personne; mais va, lui dit-il, et te montre au Sacrificateur, et offre pour ta purification ce que Moïse a commandé, pour leur servir de témoignage.
Et il arriva qu'en allant à Jérusalem, il passait par le milieu de la Samarie, et de la Galilée. Et comme il entrait dans une bourgade, dix hommes lépreux le rencontrèrent, et ils s'arrêtèrent de loin; Et élevant leur voix, ils lui dirent : Jésus, Maître, aie pitié de nous.lire plus.
Et quand il les eut vus, il leur dit : allez, montrez-vous aux Sacrificateurs. Et il arriva qu'en s'en allant ils furent rendus nets. Et l'un d'eux voyant qu'il était guéri, s'en retourna, glorifiant Dieu à haute voix; Et il se jeta en terre sur sa face aux pieds de Jésus, lui rendant grâces. Or c'était un Samaritain. Alors Jésus prenant la parole, dit : les dix n'ont-ils pas été rendus nets? et les neuf où sont-ils? Il n'y a eu que cet étranger qui soit retourné pour rendre gloire à Dieu. Alors il lui dit : lève-toi; va-t'en, ta foi t'a sauvé.
Or il y avait un certain homme malade, appelé Lazare, qui était de Béthanie, la bourgade de Marie et de Marthe sa sœur. Et Marie était celle qui oignit le Seigneur d'une huile odoriférante, et qui essuya ses pieds de ses cheveux ; et Lazare qui était malade, était son frère. Ses sœurs donc envoyèrent vers lui, pour lui dire : Seigneur, voici, celui que tu aimes, est malade.lire plus.
Et Jésus l'ayant entendu, dit : cette maladie n'est point à la mort, mais pour la gloire de Dieu, afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle. Or Jésus aimait Marthe, et sa sœur, et Lazare. Et après qu'il eut entendu que [Lazare] était malade, il demeura deux jours au même lieu où il était. Et après cela il dit à ses Disciples : retournons en Judée. Les Disciples lui dirent : Maître, il n'y a que peu de temps, que les Juifs cherchaient à te lapider, et tu y vas encore! Jésus répondit : n'y a-t-il pas douze heures au jour? si quelqu'un marche de jour, il ne bronche point; car il voit la lumière de ce monde. Mais si quelqu'un marche de nuit, il bronche; car il n'y a point de lumière avec lui. Il dit ces choses, et puis il leur dit : Lazare notre ami dort; mais j'y vais pour l'éveiller. Et ses Disciples lui dirent : Seigneur, s'il dort il sera guéri. Or Jésus avait dit cela de sa mort; mais ils pensaient qu'il parlât du dormir du sommeil. Jésus leur dit donc alors ouvertement : Lazare est mort, Et j'ai de la joie pour l'amour de vous de ce que je n'y étais point; afin que vous croyiez; mais allons vers lui. Alors Thomas, appelé Didyme, dit à ses condisciples : allons-y aussi, afin que nous mourions avec lui. Jésus y étant donc arrivé, trouva que Lazare était déjà depuis quatre jours au sépulcre. Or Béthanie n'était éloignée de Jérusalem que d'environ quinze stades. Et plusieurs des Juifs étaient venus vers Marthe et Marie pour les consoler au sujet de leur frère. Et quand Marthe eut ouï dire que Jésus venait, elle alla au-devant de lui; mais Marie se tenait assise à la maison. Et Marthe dit à Jésus : Seigneur, si tu eusses été ici mon frère ne fût pas mort. Mais maintenant je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te le donnera. Jésus lui dit : ton frère ressuscitera. Marthe lui dit : je sais qu'il ressuscitera en la résurrection au dernier jour. Jésus lui dit : je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, encore qu'il soit mort, il vivra. Et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra jamais; crois-tu cela? Elle lui dit : oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir au monde. Et quand elle eut dit cela, elle alla appeler secrètement Marie sa sœur, en lui disant : le Maître est ici, et il t'appelle. Et aussitôt qu'elle l'eut entendu, elle se leva promptement, et s'en vint à lui. Or Jésus n'était point encore venu à la bourgade, mais il était au lieu où Marthe l'avait rencontré. Alors les Juifs qui étaient avec Marie à la maison, et qui la consolaient ayant vu qu'elle s'était levée si promptement, et qu'elle était sortie, la suivirent, en disant : elle s'en va au sépulcre, pour y pleurer. Quand donc Marie fut venue où était Jésus, l'ayant vu, elle se jeta à ses pieds, en lui disant : Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne fût pas mort. Et quand Jésus la vit pleurer, de même que les Juifs qui étaient venus là avec elle, il frémit en [son] esprit, et s'émut. Et il dit : où l'avez-vous mis? Ils lui répondirent : Seigneur, viens, et vois. [Et] Jésus pleura. Sur quoi les Juifs dirent : voyez comme il l'aimait. Et quelques-uns d'entre eux disaient : celui-ci qui a ouvert les yeux de l'aveugle, ne pouvait-il pas faire aussi que cet homme ne mourût point? Alors Jésus frémissant encore en soi même, vint au sépulcre, (or c'était une grotte, et il y avait une pierre mise dessus). Jésus dit : levez la pierre. Mais Marthe, la sœur du mort, lui dit : Seigneur, il sent déjà : car il est [là] depuis quatre jours. Jésus lui dit : ne t'ai-je pas dit que si tu crois tu verras la gloire de Dieu? Ils levèrent donc la pierre [de dessus le lieu] où le mort était couché. Et Jésus levant ses yeux au ciel, dit : Père, je te rends grâces de ce que tu m'as exaucé. Or je savais bien que tu m'exauces toujours; mais je l'ai dit à cause des troupes qui sont autour [de moi], afin qu'elles croient que tu m'as envoyé. Et ayant dit ces choses, il cria à haute voix : Lazare sors dehors. Alors le mort sortit, ayant les mains et les pieds liés de bandes; et son visage était enveloppé d'un couvre-chef. Jésus leur dit : déliez-le, et laissez-le aller.
Comme il parlait encore, il vint des gens de chez le Principal de la Synagogue, qui lui dirent : ta fille est morte, pourquoi donnes-tu encore de la peine au Maître? Mais Jésus ayant aussitôt entendu ce qu'on disait, dit au Principal de la Synagogue : ne crains point; crois seulement. Et il ne permit à personne de le suivre, sinon à Pierre, et à Jacques, et à Jean, le frère de Jacques.lire plus.
Puis il vint à la maison du Principal de la Synagogue, et il vit le tumulte, [c'est-à-dire], ceux qui pleuraient et qui jetaient de grands cris. Et étant entré, il leur dit : pourquoi faites-vous tout ce bruit, et pourquoi pleurez-vous? la petite fille n'est pas morte, mais elle dort. Et ils se riaient de lui. Mais [Jésus] les ayant tous fait sortir, prit le père et la mère de la petite fille, et ceux qui étaient avec lui, et entra là où la petite fille était couchée. Et ayant pris la main de l'enfant, il lui dit : Talitha cumi, qui étant expliqué, veut dire : petite fille (je te dis) lève-toi. Et d'abord la petite fille se leva, et marcha; car elle était âgée de douze ans; et ils en furent dans un grand étonnement. Et il leur commanda fort expressément que personne ne le sût; puis il dit qu'on lui donnât à manger.
Et le jour d'après il arriva que Jésus allait à une ville nommée Naïn, et plusieurs de ses disciples et une grosse troupe allaient avec lui. Et comme il approchait de la porte de la ville, voici, on portait dehors un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et une grande troupe de la ville était avec elle. Et quand le Seigneur l'eut vue, il fut touché de compassion envers elle; et il lui dit : ne pleure point.lire plus.
Puis s'étant approché, il toucha la bière; et ceux qui portaient [le corps] s'arrêtèrent, et il dit : Jeune homme, je te dis, lève-toi. Et le mort se leva en son séant, et commença à parler; et [Jésus] le rendit à sa mère. Et ils furent tous saisis de crainte, et ils glorifiaient Dieu, disant : certainement un grand Prophète s'est levé parmi nous; et certainement Dieu a visité son peuple.
Et beaucoup de prodiges et de miracles se faisaient parmi le peuple par les mains des Apôtres; et ils étaient tous d'un accord au portique de Salomon. Cependant nul des autres n'osait se joindre à eux; mais le peuple les louait hautement. Et le nombre de ceux qui croyaient au Seigneur, tant d'hommes que de femmes, se multipliait de plus en plus.lire plus.
Et on apportait les malades dans les rues, et on les mettait sur de petits lits et sur des couchettes, afin que quand Pierre viendrait, au moins son ombre passât sur quelqu'un d'eux. Le peuple aussi des villes voisines s'assemblait à Jérusalem, apportant les malades, et ceux qui étaient tourmentés des esprits immondes; et tous étaient guéris.
Et comme Pierre et Jean montaient ensemble au Temple à l'heure de la prière, qui était à neuf heures, Un homme boiteux dès sa naissance, y était porté, lequel on mettait tous les jours à la porte du Temple nommée la Belle, pour demander l'aumône à ceux qui entraient au Temple. Cet homme voyant Pierre et Jean qui allaient entrer au Temple, les pria de lui donner l'aumône.lire plus.
Mais Pierre ayant, avec Jean, arrêté sa vue sur lui, Pierre lui dit : regarde-nous. Et il les regardait attentivement, s'attendant de recevoir quelque chose d'eux. Mais Pierre lui dit : je n'ai ni argent, ni or; mais ce que j'ai, je te le donne : Au Nom de Jésus-Christ le Nazarien, lève-toi et marche. Et l'ayant pris par la main droite, il le leva; et aussitôt les plantes et les chevilles de ses pieds devinrent fermes. Et faisant un saut, il se tint debout, et marcha; et il entra avec eux au Temple, marchant, sautant, et louant Dieu. Et tout le peuple le vit marchant et louant Dieu. Et reconnaissant que c'était celui-là même qui était assis à la Belle porte du Temple, pour avoir l'aumône, ils furent remplis d'admiration et d'étonnement de ce qui lui était arrivé.
Et Dieu faisait des prodiges extraordinaires par les mains de Paul : De sorte que même on portait de dessus son corps des mouchoirs et des linges sur les malades, et ils étaient guéris de leurs maladies, et les esprits malins sortaient des [possédés].
Car aussi il désirait ardemment de vous voir tous, et il était fort affligé de ce que vous aviez appris qu'il avait été malade. En effet il a été malade, et fort proche de la mort; mais Dieu a eu pitié de lui, et non seulement de lui, mais aussi de moi, afin que je n'eusse pas tristesse sur tristesse.
Et la prière faite avec foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s'il a commis des péchés, ils lui seront pardonnés. Confessez vos fautes l'un à l'autre, et priez l'un pour l'autre; afin que vous soyez guéris; car la prière du juste faite avec véhémence est de grande efficace.
Mais Jésus leur dit : ne l'en empêchez point; parce qu'il n'y a personne qui fasse un miracle en mon Nom, qui aussitôt puisse mal parler de moi.
Mais Pierre lui dit : je n'ai ni argent, ni or; mais ce que j'ai, je te le donne : Au Nom de Jésus-Christ le Nazarien, lève-toi et marche.
Sachez vous tous et tout le peuple d'Israël, que ç'a été au Nom de Jésus-Christ le Nazarien, que vous avez crucifié, [et] que Dieu a ressuscité des morts; c'est, [dis-je], en son Nom, que cet homme qui parait ici devant vous, a été guéri.
Etant justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est en Jésus-Christ;
Or il était navré pour nos forfaits, [et] froissé pour nos iniquités, l'amende qui nous apporte la paix a été sur lui, et par sa meurtrissure nous avons la guérison.
Mais Jésus l'ayant entendu, leur dit : ceux qui sont en santé n'ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal. Mais allez, et apprenez ce que veulent dire ces paroles : je veux miséricorde, et non pas sacrifice; car je ne suis pas venu pour appeler à la repentance les justes, mais les pécheurs.
Et Jésus ayant entendu cela, leur dit : ceux qui sont en santé n'ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal; je ne suis point venu appeler à la repentance les justes, mais les pécheurs.
Mais Jésus prenant la parole, leur dit : ceux qui sont en santé n'ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal.
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Psaumes 42:5Mon âme, pourquoi t'abats-tu, et frémis-tu au-dedans de moi? Attends-toi à Dieu; car je le célébrerai encore; son regard est la délivrance même.