'Abîme' dans la Bible
La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
L'an six cent de la vie de Noé, le second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là toutes les sources du grand abîme jaillirent, et les écluses des cieux s'ouvrirent.
Les sources de l'abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie ne tomba plus du ciel.
Tu fendis la mer devant eux, et ils passèrent à sec au milieu de la mer; mais tu précipitas dans l'abîme, comme une pierre au fond des eaux, ceux qui marchaient à leur poursuite.
Devant lui le séjour des morts est nu, L'abîme n'a point de voile.
L'abîme dit: Elle n'est point en moi; Et la mer dit: Elle n'est point avec moi.
As-tu pénétré jusqu'aux sources de la mer? T'es-tu promené dans les profondeurs de l'abîme?
Pour que les eaux se cachent comme une pierre, Et que la surface de l'abîme soit enchaînée?
Il laisse après lui un sentier lumineux; L'abîme prend la chevelure d'un vieillard.
Ta justice est comme les montagnes de Dieu, Tes jugements sont comme le grand abîme. Éternel! tu soutiens les hommes et les bêtes.
Ils méditent des crimes: Nous voici prêts, le plan est conçu! La pensée intime, le coeur de chacun est un abîme.
Que les flots ne m'inondent plus, Que l'abîme ne m'engloutisse pas, Et que la fosse ne se ferme pas sur moi!
Parle-t-on de ta bonté dans le sépulcre, De ta fidélité dans l'abîme?
Tu l'avais couverte de l'abîme comme d'un vêtement, Les eaux s'arrêtaient sur les montagnes;
Ceux-là virent les oeuvres de l'Éternel Et ses merveilles au milieu de l'abîme.
Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l'abîme; Leur âme était éperdue en face du danger;
Cantique des degrés. Du fond de l'abîme je t'invoque, ô Éternel!
Lorsqu'il disposa les cieux, j'étais là; Lorsqu'il traça un cercle à la surface de l'abîme,
Lorsqu'il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l'abîme jaillirent avec force,
Le séjour des morts et l'abîme sont devant l'Éternel; Combien plus les coeurs des fils de l'homme!
Le séjour des morts et l'abîme sont insatiables; De même les yeux de l'homme sont insatiables.
Je dis à l'abîme: Dessèche-toi, Je tarirai tes fleuves.
N'est-ce pas toi qui mis à sec la mer, Les eaux du grand abîme, Qui frayas dans les profondeurs de la mer Un chemin pour le passage des rachetés?
Car ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Quand je ferai de toi une ville déserte, Comme les villes qui n'ont point d'habitants, Quand je ferai monter contre toi l'abîme, Et que les grandes eaux te couvriront,
Les eaux l'avaient fait croître, L'abîme l'avait fait pousser en hauteur; Des fleuves coulaient autour du lieu où il était planté, Et envoyaient leurs canaux à tous les arbres des champs.
Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Le jour où il est descendu dans le séjour des morts, J'ai répandu le deuil, j'ai couvert l'abîme à cause de lui, Et j'en ai retenu les fleuves; Les grandes eaux ont été arrêtées; J'ai rendu le Liban triste à cause de lui, Et tous les arbres des champs ont été desséchés.
Le Seigneur, l'Éternel, m'envoya cette vision. Voici, le Seigneur, l'Éternel, proclamait le châtiment par le feu; Et le feu dévorait le grand abîme Et dévorait le champ.
Tu m'as jeté dans l'abîme, dans le coeur de la mer, Et les courants d'eau m'ont environné; Toutes tes vagues et tous tes flots ont passé sur moi.
Les eaux m'ont couvert jusqu'à m'ôter la vie, L'abîme m'a enveloppé, Les roseaux ont entouré ma tête.
A ton aspect, les montagnes tremblent; Des torrents d'eau se précipitent; L'abîme fait entendre sa voix, Il lève ses mains en haut.