24 verset biblique sur Voyages en mer
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Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites! car vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et après qu'il l'est devenu, vous le rendez fils de la géhenne, deux fois plus que vous.
Qui envoie par mer des ambassadeurs, et dans des vaisseaux de jonc sur les eaux. Allez, messagers légers, vers la nation de grand attirail et brillante, vers le peuple terrible, depuis là où il est et par delà; nation allant à la file, et qui foule [tout], dont les fleuves ravagent sa terre.
Vous qui habitez dans l'Ile, taisez-vous; toi qui étais remplie de marchands de Sidon, et de ceux qui traversaient la mer.
Et de là ils naviguèrent à Antioche, d'où ils avaient été recommandés à la grâce de Dieu, pour l'œuvre qu'ils avaient finie.
Ainsi étant partis de Troas, nous tirâmes droit à Samothrace, et le lendemain à Néapolis. Et de là à Philippes, qui est la première ville du quartier de Macédoine, et est une colonie; et nous séjournâmes quelque temps dans la ville.
Et quand Paul eut demeuré là encore assez longtemps, il prit congé des frères, et navigua en Syrie, et avec lui Priscille et Aquile, après qu'il se fut fait raser la tête à Cenchrée, parce qu'il avait fait un vœu.
Et il prit congé d'eux, en [leur] disant : il me faut absolument faire la Fête prochaine à Jérusalem, mais je reviendrai encore vers vous, s'il plaît à Dieu. Ainsi il désancra d'Ephèse.
Et nous, ayant levé l'ancre à Philippes, après les jours des pains sans levain, nous arrivâmes au bout de cinq jours auprès d'eux à Troas, et nous y séjournâmes sept jours.
Or étant entrés dans le navire nous fûmes portés à Assos, où nous devions reprendre Paul : car il l'avait ainsi ordonné, ayant résolu de faire ce chemin à pied.
Puis étant partis de là, le jour suivant nous abordâmes vis-à-vis de Chios; le lendemain nous arrivâmes à Samos; et nous étant arrêtés à Trogyle, nous vînmes le jour d'après à Milet.
Ainsi donc étant partis, et nous étant éloignés d'eux, nous tirâmes droit à Coos, et le jour suivant à Rhodes, et de là à Patara. Et ayant trouvé là un navire qui traversait en Phénicie, nous montâmes dessus, et partîmes. Puis ayant découvert Cypre, nous la laissâmes à main gauche, et tirant vers la Syrie, nous arrivâmes à Tyr : car le navire y devait laisser sa charge.
Et ainsi achevant notre navigation, nous vînmes de Tyr à Ptolémaïs; et après avoir salué les frères, nous demeurâmes un jour avec eux.
Et étant montés dans un navire d'Adramite, nous partîmes pour tirer vers les quartiers d'Asie, et Aristarque Macédonien [de la ville] de Thessalonique, était avec nous. Le jour suivant nous arrivâmes à Sidon; et Jules traitant humainement Paul, lui permit d'aller vers ses amis, afin qu'ils eussent soin de lui. Puis étant partis de là, nous tînmes notre route au-dessous de Cypre, parce que les vents étaient contraires.lire plus.
Et après avoir passé la mer qui est vis-à-vis de la Cilicie et de la Pamphylie, nous vînmes à Myra, [ville] de Lycie, Où le centenier trouva un navire d'Alexandrie qui allait en Italie, dans lequel il nous fit monter. Et comme nous naviguions pesamment durant plusieurs jours, en sorte qu'à grande peine pûmes-nous arriver jusques à la vue de Guide, parce que le vent ne nous poussait point, nous passâmes au-dessous de Crète, vers Salmone. Et la côtoyant avec peine, nous vînmes en un lieu qui est appelé Beaux-ports, près duquel était la ville de Lasée. Et parce qu'il s'était écoulé beaucoup de temps, et que la navigation était déjà périlleuse, vu que même le jeûne était déjà passé, Paul les exhortait, En leur disant : hommes, je vois que la navigation sera périlleuse et que nous serons exposés non seulement à la perte de la charge du vaisseau, mais même de nos propres vies. Mais le centenier croyait plus le Pilote, et le maître du navire, que ce que Paul disait. Et parce que le port n'était pas propre pour y passer l'hiver, la plupart furent d'avis de partir de là, pour [tâcher] d'aborder à Phénix, qui est un port de Crète, situé contre le vent d'Afrique et du couchant septentrional, afin d'y passer l'hiver. Et le vent du Midi commençant à souffler doucement, ils crurent venir à bout de leur dessein, et étant partis, ils côtoyèrent Crète de plus près. Mais un peu après un vent orageux [du nord-est], qu'on appelle Euroclydon, se leva du côté de l'île. Et le navire étant emporté par le vent, de telle sorte qu'il ne pouvait point résister, nous fûmes emportés, ayant abandonné [le navire au vent]. Et ayant passé au-dessous d'une petite île, appelée Clauda, à grande peine pûmes-nous être maîtres de l'esquif; Mais l'ayant tirée à nous, les [matelots] cherchaient tous les remèdes possibles, en liant le navire par-dessous; et comme ils craignaient de tomber sur des bancs de sable, ils abattirent les voiles, et ils étaient portés de cette manière. Or parce que nous étions agités d'une grande tempête, le jour suivant ils jetèrent les marchandises dans la mer. Puis le troisième jour nous jetâmes de nos propres mains les agrès du navire. Et comme il ne nous parut durant plusieurs jours ni soleil ni étoiles, et qu'une grande tempête nous agitait violemment, toute espérance de nous pouvoir sauver à l'avenir nous fut ôtée. Mais après qu'ils eurent été longtemps sans manger, Paul se tenant alors debout au milieu d'eux, leur dit : ô hommes! certes il fallait me croire, et ne point partir de Crète, afin d'éviter cette tempête et cette perte. Mais maintenant je vous exhorte d'avoir bon courage : car nul de vous ne perdra la vie, et le navire seul périra. Car en cette propre nuit un Ange du Dieu à qui je suis, et lequel je sers, s'est présenté à moi, [Me] disant : Paul, ne crains point, il faut que tu sois présenté à César; et voici, Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi. C'est pourquoi, ô hommes! ayez bon courage, car j'ai cette confiance en Dieu que la chose arrivera comme elle m'a été dite. Mais il faut que nous soyons jetés contre quelque île. Quand donc la quatorzième nuit fut venue, comme nous étions portés çà et là sur la mer Adriatique, les matelots eurent opinion environ sur le minuit qu'ils approchaient de quelque contrée. Et ayant jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses; puis étant passés un peu plus loin, et ayant encore jeté la sonde, ils trouvèrent quinze brasses. Mais craignant de donner contre quelque écueil, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, désirant que le jour vînt. Et comme les matelots cherchaient à s'enfuir du navire, ayant descendu l'esquif en mer, sous prétexte d'aller porter loin les ancres du côté de la proue, Paul dit au centenier et aux soldats : si ceux-ci ne demeurent dans le navire, vous ne pouvez point vous sauver. Alors les soldats coupèrent les cordes de l'esquif, et le laissèrent tomber. Et jusqu'à ce que le jour vînt, Paul les exhorta tous de prendre quelque nourriture, en leur disant : c'est aujourd'hui le quatorzième jour qu'en attendant, vous êtes demeurés à jeun, et n'avez rien pris; Je vous exhorte donc à prendre quelque nourriture, vu que cela est nécessaire pour votre conservation : car il ne tombera pas un cheveu de la tête d'aucun de vous. Et quand il eut dit ces choses, il prit du pain, et rendit grâces à Dieu en présence de tous, et l'ayant rompu il commença a manger. Alors ayant tous pris courage, ils commencèrent aussi à manger. Or nous étions en tout dans le navire deux cent soixante-seize personnes. Et quand ils eurent mangé jusqu'à être rassasiés, ils allégèrent le navire, en jetant le blé dans la mer. Et le jour étant venu ils ne reconnaissaient point le pays; mais ils aperçurent un golfe ayant rivage, et ils résolurent d'y faire échouer le navire, s'il leur était possible. C'est pourquoi ayant retiré les ancres, ils abandonnèrent le navire à la mer, lâchant en même temps les attaches des gouvernails; et ayant tendu la voile de l'artimon, ils tirèrent vers le rivage. Mais étant tombés en un lieu où deux courants se rencontraient, ils y heurtèrent le navire, et la proue s'y étant enfoncée demeurait ferme, mais la poupe se rompait par la violence des vagues. Alors le conseil des soldats fut de tuer les prisonniers, de peur que quelqu'un s'étant sauvé à la nage, ne s'enfuît. Mais le centenier voulant sauver Paul, les empêcha [d'exécuter] ce conseil, et il commanda que ceux qui pourraient nager se jetassent dehors les premiers, et se sauvassent à terre; Et le reste, les uns sur des planches, et les autres sur quelques [pièces] du navire; et ainsi il arriva que tous se sauvèrent à terre.
Trois mois après nous partîmes sur un navire d'Alexandrie qui avait hiverné dans l'île, et qui avait pour enseigne Castor et Pollux. Et étant arrivés à Syracuse, nous y demeurâmes trois jours. De là en côtoyant, nous arrivâmes à Rhège; et un jour après, le vent du Midi s'étant levé, nous vînmes le deuxième jour à Pouzzoles;
Ceux qui descendent sur la mer dans des navires, faisant commerce parmi les grandes eaux,
Et l'Eternel te fera retourner en Egypte sur des navires, pour faire le chemin duquel je t'ai dit : Il ne t'arrivera plus de le voir; et vous vous vendrez là à vos ennemis pour [être] esclaves et servantes, et il n'y aura personne qui vous achète.
Car les Iles s'attendront à moi, et les navires de Tarsis les premiers, afin d'amener tes fils de loin, avec leur argent et leur or, pour l'amour du Nom de l'Eternel ton Dieu, et du Saint d'Israël, parce qu'il t'aura glorifiée.
Mais Jonas se leva pour s'enfuir en Tarsis, de devant la face de l'Eternel, et descendit à Japho, où il trouva un navire qui allait en Tarsis; et ayant payé le port, il y entra, pour aller avec eux en Tarsis, de devant la face de l'Eternel.
En ce jour-là des messagers sortiront de ma part dans des navires pour effrayer Cus l'assurée, et il y aura entre eux un tourment tel qu'à la journée d'Egypte; car voici, il vient.
Et ayant trouvé là un navire qui traversait en Phénicie, nous montâmes dessus, et partîmes.
Et après nous être embrassés les uns les autres, nous montâmes sur le navire, et les autres retournèrent chez eux.
Et étant montés dans un navire d'Adramite, nous partîmes pour tirer vers les quartiers d'Asie, et Aristarque Macédonien [de la ville] de Thessalonique, était avec nous.
Où le centenier trouva un navire d'Alexandrie qui allait en Italie, dans lequel il nous fit monter.
Trois mois après nous partîmes sur un navire d'Alexandrie qui avait hiverné dans l'île, et qui avait pour enseigne Castor et Pollux.