12438 occurences en traduction 1

'Le' dans la Bible

Élam porte le carquois; Des chars de combattants, des cavaliers, s'avancent; Kir met à nu le bouclier.

Le Seigneur, l'Éternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac.

L'Éternel des armées me l'a révélé: Non, ce crime ne vous sera point pardonné que vous ne soyez morts, Dit le Seigneur, l'Éternel des armées.

Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel des armées: Va vers ce courtisan, Vers Schebna, gouverneur du palais:

Qu'y a-t-il à toi ici, et qui as-tu ici, Que tu creuses ici un sépulcre? Il se creuse un sépulcre sur la hauteur, Il se taille une demeure dans le roc!

Je le revêtirai de ta tunique, je le ceindrai de ta ceinture, Et je remettrai ton pouvoir entre ses mains; Il sera un père pour les habitants de Jérusalem Et pour la maison de Juda.

Il sera le soutien de toute la gloire de la maison de son père, Des rejetons nobles et ignobles, De tous les petits ustensiles, Des bassins comme des vases.

En ce jour, dit l'Éternel des armées, Le clou enfoncé dans un lieu sûr sera enlevé, Il sera abattu et tombera, Et le fardeau qui était sur lui sera détruit, Car l'Éternel a parlé.

A travers les vastes eaux, le blé du Nil, La moisson du fleuve, était pour elle un revenu; Elle était le marché des nations.

Voici, l'Éternel dévaste le pays et le rend désert, Il en bouleverse la face et en disperse les habitants.

Le pays est dévasté, livré au pillage; Car l'Éternel l'a décrété.

Le pays est triste, épuisé; Les habitants sont abattus, languissants; Les chefs du peuple sont sans force.

C'est pourquoi la malédiction dévore le pays, Et ses habitants portent la peine de leurs crimes; C'est pourquoi les habitants du pays sont consumés, Et il n'en reste qu'un petit nombre.

Le moût est triste, la vigne est flétrie; Tous ceux qui avaient le coeur joyeux soupirent.

On crie dans les rues, parce que le vin manque; Toute réjouissance a disparu, L'allégresse est bannie du pays.

Car il en est dans le pays, au milieu des peuples, Comme quand on secoue l'olivier, Comme quand on grappille après la vendange.

Glorifiez donc l'Éternel dans les lieux où brille la lumière, Le nom de l'Éternel, Dieu d'Israël, dans les îles de la mer! -

En ce temps-là, l'Éternel châtiera dans le ciel l'armée d'en haut, Et sur la terre les rois de la terre.

Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur; Car le souffle des tyrans Est comme l'ouragan qui frappe une muraille.

Comme tu domptes la chaleur dans une terre brûlante, Tu as dompté le tumulte des barbares; Comme la chaleur est étouffée par l'ombre d'un nuage, Ainsi ont été étouffés les chants de triomphe des tyrans.

Et, sur cette montagne, il anéantit le voile qui voile tous les peuples, La couverture qui couvre toutes les nations;

Au milieu de cette mare, il étend ses mains, Comme le nageur les étend pour nager; Mais l'Éternel abat son orgueil, Et déjoue l'artifice de ses mains.

En ce jour, on chantera ce cantique dans le pays de Juda: Nous avons une ville forte; Il nous donne le salut pour murailles et pour rempart.

Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice, Il se livre au mal dans le pays de la droiture, Et il n'a point égard à la majesté de Dieu.

Éternel, ta main est puissante: Ils ne l'aperçoivent pas. Ils verront ton zèle pour le peuple, et ils en seront confus; Le feu consumera tes ennemis.

Multiplie le peuple, ô Éternel! Multiplie le peuple, manifeste ta gloire; Recule toutes les limites du pays.

Comme une femme enceinte, sur le point d'accoucher, Se tord et crie au milieu de ses douleurs, Ainsi avons-nous été, loin de ta face, ô Éternel!

Nous avons conçu, nous avons éprouvé des douleurs, Et, quand nous enfantons, ce n'est que du vent: Le pays n'est pas sauvé, Et ses habitants ne sont pas nés.

Car voici, l'Éternel sort de sa demeure, Pour punir les crimes des habitants de la terre; Et la terre mettra le sang à nu, Elle ne couvrira plus les meurtres.

En ce jour, l'Éternel frappera de sa dure, grande et forte épée Le léviathan, serpent fuyard, Le léviathan, serpent tortueux; Et il tuera le monstre qui est dans la mer.

Dans les temps à venir, Jacob prendra racine, Israël poussera des fleurs et des rejetons, Et il remplira le monde de ses fruits.

L'Éternel l'a-t-il frappé comme il a frappé ceux qui le frappaient? L'a-t-il tué comme il a tué ceux qui le tuaient?

C'est avec mesure que tu l'as châtié par l'exil, En l'emportant par le souffle impétueux du vent d'orient.

Ainsi le crime de Jacob a été expié, Et voici le fruit du pardon de son péché: L'Éternel a rendu toutes les pierres des autels Pareilles à des pierres de chaux réduites en poussière; Les idoles d'Astarté et les statues du soleil ne se relèveront plus.

Car la ville forte est solitaire, C'est une demeure délaissée et abandonnée comme le désert; Là pâture le veau, il s'y couche, et broute les branches.

En ce temps-là, L'Éternel secouera des fruits, Depuis le cours du fleuve jusqu'au torrent d'Égypte; Et vous serez ramassés un à un, enfants d'Israël!

Mais eux aussi, ils chancellent dans le vin, Et les boissons fortes leur donnent des vertiges; Sacrificateurs et prophètes chancellent dans les boissons fortes, Ils sont absorbés par le vin, Ils ont des vertiges à cause des boissons fortes; Ils chancellent en prophétisant, Ils vacillent en rendant la justice.

Il lui disait: Voici le repos, Laissez reposer celui qui est fatigué; Voici le lieu du repos! Mais ils n'ont point voulu écouter.

Vous dites: Nous avons fait une alliance avec la mort, Nous avons fait un pacte avec le séjour des morts; Quand le fléau débordé passera, il ne nous atteindra pas, Car nous avons la fausseté pour refuge et le mensonge pour abri.

Je ferai de la droiture une règle, Et de la justice un niveau; Et la grêle emportera le refuge de la fausseté, Et les eaux inonderont l'abri du mensonge.

Votre alliance avec la mort sera détruite, Votre pacte avec le séjour des morts ne subsistera pas; Quand le fléau débordé passera, Vous serez par lui foulés aux pieds.

Chaque fois qu'il passera, il vous saisira; Car il passera tous les matins, le jour et la nuit, Et son bruit seul donnera l'épouvante.

Le lit sera trop court pour s'y étendre, Et la couverture trop étroite pour s'en envelopper.

Maintenant, ne vous livrez point à la moquerie, De peur que vos liens ne soient resserrés; Car la destruction de tout le pays est résolue; Je l'ai appris du Seigneur, de l'Éternel des armées.

N'est-ce pas après en avoir aplani la surface Qu'il répand de la nielle et sème du cumin; Qu'il met le froment par rangées, L'orge à une place marquée, Et l'épeautre sur les bords?

On ne foule pas la nielle avec le traîneau, Et la roue du chariot ne passe pas sur le cumin; Mais on bat la nielle avec le bâton, Et le cumin avec la verge.

On bat le blé, Mais on ne le bat pas toujours; On y pousse la roue du chariot et les chevaux, Mais on ne l'écrase pas.

C'est de l'Éternel des armées que viendra le châtiment, Avec des tonnerres, des tremblements de terre et un bruit formidable, Avec l'ouragan et la tempête, Et avec la flamme d'un feu dévorant.

Toute la révélation est pour vous comme les mots d'un livre cacheté Que l'on donne à un homme qui sait lire, en disant: Lis donc cela! Et qui répond: Je ne le puis, Car il est cacheté;

Quelle perversité est la vôtre! Le potier doit-il être considéré comme de l'argile, Pour que l'ouvrage dise de l'ouvrier: Il ne m'a point fait? Pour que le vase dise du potier: Il n'a point d'intelligence?

Encore un peu de temps, Et le Liban se changera en verger, Et le verger sera considéré comme une forêt.

Les malheureux se réjouiront de plus en plus en l'Éternel, Et les pauvres feront du Saint d'Israël le sujet de leur allégresse.

Car, lorsque ses enfants verront au milieu d'eux l'oeuvre de mes mains, Ils sanctifieront mon nom; Ils sanctifieront le Saint de Jacob, Et ils craindront le Dieu d'Israël;

Sentence des bêtes du midi: A travers une contrée de détresse et d'angoisse, D'où viennent la lionne et le lion, La vipère et le dragon volant, Ils portent à dos d'ânes leurs richesses, Et sur la bosse des chameaux leurs trésors, A un peuple qui ne leur sera point utile.

Car le secours de l'Égypte n'est que vanité et néant; C'est pourquoi j'appelle cela du bruit qui n'aboutit à rien.

Détournez-vous du chemin, Écartez-vous du sentier, Éloignez de notre présence le Saint d'Israël!

C'est pourquoi ainsi parle le Saint d'Israël: Puisque vous rejetez cette parole, Que vous vous confiez dans la violence et dans les détours Et que vous les prenez pour appuis,

Alors il répandra la pluie sur la semence que tu auras mise en terre, Et le pain que produira la terre sera savoureux et nourrissant; En ce même temps, tes troupeaux paîtront dans de vastes pâturages.

Les boeufs et les ânes, qui labourent la terre, Mangeront un fourrage salé, Qu'on aura vanné avec la pelle et le van.

Voici, le nom de l'Éternel vient de loin; Sa colère est ardente, c'est un violent incendie; Ses lèvres sont pleines de fureur, Et sa langue est comme un feu dévorant;

Son souffle est comme un torrent débordé qui atteint jusqu'au cou, Pour cribler les nations avec le crible de la destruction, Et comme un mors trompeur Entre les mâchoires des peuples.

Vous chanterez comme la nuit où l'on célèbre la fête, Vous aurez le coeur joyeux comme celui qui marche au son de la flûte, Pour aller à la montagne de l'Éternel, vers le rocher d'Israël.

A la voix de l'Éternel, l'Assyrien tremblera; L'Éternel le frappera de sa verge.

Depuis longtemps un bûcher est préparé, Il est préparé pour le roi, Il est profond, il est vaste; Son bûcher, c'est du feu et du bois en abondance; Le souffle de l'Éternel l'enflamme, comme un torrent de soufre.

Lui aussi, cependant, il est sage, il fait venir le malheur, Et ne retire point ses paroles; Il s'élève contre la maison des méchants, Et contre le secours de ceux qui commettent l'iniquité.

L'Égyptien est homme et non dieu; Ses chevaux sont chair et non esprit. Quand l'Éternel étendra sa main, Le protecteur chancellera, le protégé tombera, Et tous ensemble ils périront.

Car ainsi m'a parlé l'Éternel: Comme le lion, comme le lionceau rugit sur sa proie, Et, malgré tous les bergers rassemblés contre lui, Ne se laisse ni effrayer par leur voix, Ni intimider par leur nombre; De même l'Éternel des armées descendra Pour combattre sur la montagne de Sion et sur sa colline.

Et l'Assyrien tombera sous un glaive qui n'est pas celui d'un homme, Et un glaive qui n'est pas celui d'un homme le dévorera; Il s'enfuira devant le glaive, Et ses jeunes guerriers seront asservis.

Alors le roi régnera selon la justice, Et les princes gouverneront avec droiture.

Chacun sera comme un abri contre le vent, Et un refuge contre la tempête, Comme des courants d'eau dans un lieu desséché, Comme l'ombre d'un grand rocher dans une terre altérée.

Le coeur des hommes légers sera intelligent pour comprendre, Et la langue de ceux qui balbutient parlera vite et nettement.

On ne donnera plus à l'insensé le nom de noble, Ni au fourbe celui de magnanime.

Car l'insensé profère des folies, Et son coeur s'adonne au mal, Pour commettre l'impiété, Et dire des faussetés contre l'Éternel, Pour laisser à vide l'âme de celui qui a faim, Et enlever le breuvage de celui qui a soif.

On se frappe le sein, Au souvenir de la beauté des champs Et de la fécondité des vignes.

Le palais est abandonné, La ville bruyante est délaissée; La colline et la tour serviront à jamais de cavernes; Les ânes sauvages y joueront, les troupeaux y paîtront,

Alors la droiture habitera dans le désert, Et la justice aura sa demeure dans le verger.

Heureux vous qui partout semez le long des eaux, Et qui laissez sans entraves le pied du boeuf et de l'âne!

Le pays est dans le deuil, dans la tristesse; Le Liban est confus, languissant; Le Saron est comme un désert; Le Basan et le Carmel secouent leur feuillage.

Les peuples seront Des fournaises de chaux, Des épines coupées Qui brûlent dans le feu.

Celui qui marche dans la justice, Et qui parle selon la droiture, Qui méprise un gain acquis par extorsion, Qui secoue les mains pour ne pas accepter un présent, Qui ferme l'oreille pour ne pas entendre des propos sanguinaires, Et qui se bande les yeux pour ne pas voir le mal,

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