12438 occurences en traduction 1

'Le' dans la Bible

Le reste des actions d'Achazia, et ce qu'il a fait, cela n'est-il pas écrit dans le livre des Chroniques des rois d'Israël? 

Les fils des prophètes qui étaient à Béthel sortirent vers Élisée, et lui dirent: Sais-tu que l'Éternel enlève aujourd'hui ton maître au-dessus de ta tête? Et il répondit: Je le sais aussi; taisez-vous.

Les fils des prophètes qui étaient à Jéricho s'approchèrent d'Élisée, et lui dirent: Sais-tu que l'Éternel enlève aujourd'hui ton maître au-dessus de ta tête? Et il répondit: Je le sais aussi; taisez-vous.

Alors Élie prit son manteau, le roula, et en frappa les eaux, qui se partagèrent çà et là, et ils passèrent tous deux à sec.

Élisée regardait et criait: Mon père! mon père! Char d'Israël et sa cavalerie! Et il ne le vit plus. Saisissant alors ses vêtements, il les déchira en deux morceaux,

et il releva le manteau qu'Élie avait laissé tomber. Puis il retourna, et s'arrêta au bord du Jourdain;

il prit le manteau qu'Élie avait laissé tomber, et il en frappa les eaux, et dit: Où est l'Éternel, le Dieu d'Élie? Lui aussi, il frappa les eaux, qui se partagèrent çà et là, et Élisée passa.

Mais ils le pressèrent longtemps; et il dit: Envoyez-les. Ils envoyèrent les cinquante hommes, qui cherchèrent Élie pendant trois jours et ne le trouvèrent point.

Les gens de la ville dirent à Élisée: Voici, le séjour de la ville est bon, comme le voit mon seigneur; mais les eaux sont mauvaises, et le pays est stérile.

Il dit: Apportez-moi un plat neuf, et mettez-y du sel. Et ils le lui apportèrent.

A la mort d'Achab, le roi de Moab se révolta contre le roi d'Israël.

Le roi Joram sortit alors de Samarie, et passa en revue tout Israël.

Il se mit en marche, et il fit dire à Josaphat, roi de Juda: Le roi de Moab s'est révolté contre moi; veux-tu venir avec moi attaquer Moab? Josaphat répondit: J'irai, moi comme toi, mon peuple comme ton peuple, mes chevaux comme tes chevaux.

Et il dit: Par quel chemin monterons-nous? Joram dit: Par le chemin du désert d'Édom.

Le roi d'Israël, le roi de Juda et le roi d'Édom, partirent; et après une marche de sept jours, ils manquèrent d'eau pour l'armée et pour les bêtes qui la suivaient.

Alors le roi d'Israël dit: Hélas! l'Éternel a appelé ces trois rois pour les livrer entre les mains de Moab.

Et Josaphat dit: La parole de l'Éternel est avec lui. Le roi d'Israël, Josaphat et le roi d'Édom, descendirent auprès de lui.

Élisée dit au roi d'Israël: Qu'y a-t-il entre moi et toi? Va vers les prophètes de ton père et vers les prophètes de ta mère. Et le roi d'Israël lui dit: Non! car l'Éternel a appelé ces trois rois pour les livrer entre les mains de Moab.

Élisée dit: L'Éternel des armées, dont je suis le serviteur, est vivant! si je n'avais égard à Josaphat, roi de Juda, je ne ferais aucune attention à toi et je ne te regarderais pas.

Maintenant, amenez-moi un joueur de harpe. Et comme le joueur de harpe jouait, la main de l'Éternel fut sur Élisée.

Or le matin, au moment de la présentation de l'offrande, voici, l'eau arriva du chemin d'Édom, et le pays fut rempli d'eau.

Ils se levèrent de bon matin, et quand le soleil brilla sur les eaux, les Moabites virent en face d'eux les eaux rouges comme du sang.

Et ils marchèrent contre le camp d'Israël. Mais Israël se leva, et frappa Moab, qui prit la fuite devant eux. Ils pénétrèrent dans le pays, et frappèrent Moab.

Le roi de Moab, voyant qu'il avait le dessous dans le combat, prit avec lui sept cents hommes tirant l'épée pour se frayer un passage jusqu'au roi d'Édom; mais ils ne purent pas.

Alors elle le quitta. Elle ferma la porte sur elle et sur ses enfants; ils lui présentaient les vases, et elle versait.

Elle alla le rapporter à l'homme de Dieu, et il dit: Va vendre l'huile, et paie ta dette; et tu vivras, toi et tes fils, de ce qui restera.

Un jour Élisée passait par Sunem. Il y avait là une femme de distinction, qui le pressa d'accepter à manger. Et toutes les fois qu'il passait, il se rendait chez elle pour manger.

il dit à son père: Ma tête! ma tête! Le père dit à son serviteur: Porte-le à sa mère.

Le serviteur l'emporta et l'amena à sa mère. Et l'enfant resta sur les genoux de sa mère jusqu'à midi, puis il mourut.

Elle monta, le coucha sur le lit de l'homme de Dieu, ferma la porte sur lui, et sortit.

Puis elle fit seller l'ânesse, et dit à son serviteur: Mène et pars; ne m'arrête pas en route sans que je te le dise.

Et Élisée dit à Guéhazi: Ceins tes reins, prends mon bâton dans ta main, et pars. Si tu rencontres quelqu'un, ne le salue pas; et si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant.

Guéhazi les avait devancés, et il avait mis le bâton sur le visage de l'enfant; mais il n'y eut ni voix ni signe d'attention. Il s'en retourna à la rencontre d'Élisée, et lui rapporta la chose, en disant: L'enfant ne s'est pas réveillé.

Élisée revint à Guilgal, et il y avait une famine dans le pays. Comme les fils des prophètes étaient assis devant lui, il dit à son serviteur: Mets le grand pot, et fais cuire un potage pour les fils des prophètes.

L'un d'eux sortit dans les champs pour cueillir des herbes; il trouva de la vigne sauvage et il y cueillit des coloquintes sauvages, plein son vêtement. Quand il rentra, il les coupa en morceaux dans le pot où était le potage, car on ne les connaissait pas.

On servit à manger à ces hommes; mais dès qu'ils eurent mangé du potage, ils s'écrièrent: La mort est dans le pot, homme de Dieu! Et ils ne purent manger.

Élisée dit: Prenez de la farine. Il en jeta dans le pot, et dit: Sers à ces gens, et qu'ils mangent. Et il n'y avait plus rien de mauvais dans le pot.

Et elle dit à sa maîtresse: Oh! si mon seigneur était auprès du prophète qui est à Samarie, le prophète le guérirait de sa lèpre!

Et le roi de Syrie dit: Va, rends-toi à Samarie, et j'enverrai une lettre au roi d'Israël. Il partit, prenant avec lui dix talents d'argent, six mille sicles d'or, et dix vêtements de rechange.

Il porta au roi d'Israël la lettre, où il était dit: Maintenant, quand cette lettre te sera parvenue, tu sauras que je t'envoie Naaman, mon serviteur, afin que tu le guérisses de sa lèpre.

Après avoir lu la lettre, le roi d'Israël déchira ses vêtements, et dit: Suis-je un dieu, pour faire mourir et pour faire vivre, qu'il s'adresse à moi afin que je guérisse un homme de sa lèpre? Sachez donc et comprenez qu'il cherche une occasion de dispute avec moi.

Lorsqu'Élisée, homme de Dieu, apprit que le roi d'Israël avait déchiré ses vêtements, il envoya dire au roi: Pourquoi as-tu déchiré tes vêtements? Laisse-le venir à moi, et il saura qu'il y a un prophète en Israël.

Élisée lui fit dire par un messager: Va, et lave-toi sept fois dans le Jourdain; ta chair deviendra saine, et tu seras pur.

Naaman fut irrité, et il s'en alla, en disant: Voici, je me disais: Il sortira vers moi, il se présentera lui-même, il invoquera le nom de l'Éternel, son Dieu, il agitera sa main sur la place et guérira le lépreux.

Les fleuves de Damas, l'Abana et le Parpar, ne valent-ils pas mieux que toutes les eaux d'Israël? Ne pourrais-je pas m'y laver et devenir pur? Et il s'en retournait et partait avec fureur.

Mais ses serviteurs s'approchèrent pour lui parler, et ils dirent: Mon père, si le prophète t'eût demandé quelque chose de difficile, ne l'aurais-tu pas fait? Combien plus dois-tu faire ce qu'il t'a dit: Lave-toi, et tu seras pur!

Il descendit alors et se plongea sept fois dans le Jourdain, selon la parole de l'homme de Dieu; et sa chair redevint comme la chair d'un jeune enfant, et il fut pur.

Élisée répondit: L'Éternel, dont je suis le serviteur, est vivant! je n'accepterai pas. Naaman le pressa d'accepter, mais il refusa.

Et Guéhazi courut après Naaman. Naaman, le voyant courir après lui, descendit de son char pour aller à sa rencontre, et dit: Tout va-t-il bien?

Naaman dit: Consens à prendre deux talents. Il le pressa, et il serra deux talents d'argent dans deux sacs, donna deux habits de rechange, et les fit porter devant Guéhazi par deux de ses serviteurs.

Mais Élisée lui dit: Mon esprit n'était pas absent, lorsque cet homme a quitté son char pour venir à ta rencontre. Est-ce le temps de prendre de l'argent et de prendre des vêtements, puis des oliviers, des vignes, des brebis, des boeufs, des serviteurs et des servantes?

Les fils des prophètes dirent à Élisée: Voici, le lieu où nous sommes assis devant toi est trop étroit pour nous.

Et comme l'un d'eux abattait une poutre, le fer tomba dans l'eau. Il s'écria: Ah! mon seigneur, il était emprunté!

L'homme de Dieu dit: Où est-il tombé? Et il lui montra la place. Alors Élisée coupa un morceau de bois, le jeta à la même place, et fit surnager le fer.

Puis il dit: Enlève-le! Et il avança la main, et le prit.

Le roi de Syrie était en guerre avec Israël, et, dans un conseil qu'il tint avec ses serviteurs, il dit: Mon camp sera dans un tel lieu.

Et le roi d'Israël envoya des gens, pour s'y tenir en observation, vers le lieu que lui avait mentionné et signalé l'homme de Dieu. Cela arriva non pas une fois ni deux fois.

Le roi de Syrie en eut le coeur agité; il appela ses serviteurs, et leur dit: Ne voulez-vous pas me déclarer lequel de nous est pour le roi d'Israël?

L'un de ses serviteurs répondit: Personne! ô roi mon seigneur; mais Élisée, le prophète, qui est en Israël, rapporte au roi d'Israël les paroles que tu prononces dans ta chambre à coucher.

Et le roi dit: Allez et voyez où il est, et je le ferai prendre. On vint lui dire: Voici, il est à Dothan.

Le serviteur de l'homme de Dieu se leva de bon matin et sortit; et voici, une troupe entourait la ville, avec des chevaux et des chars. Et le serviteur dit à l'homme de Dieu: Ah! mon seigneur, comment ferons-nous?

Élisée leur dit: Ce n'est pas ici le chemin, et ce n'est pas ici la ville; suivez-moi, et je vous conduirai vers l'homme que vous cherchez. Et il les conduisit à Samarie.

Le roi d'Israël, en les voyant, dit à Élisée: Frapperai-je, frapperai-je, mon père?

Le roi d'Israël leur fit servir un grand repas, et ils mangèrent et burent; puis il les renvoya, et ils s'en allèrent vers leur maître. Et les troupes des Syriens ne revinrent plus sur le territoire d'Israël.

Et comme le roi passait sur la muraille, une femme lui cria: Sauve-moi, ô roi, mon seigneur!

Il répondit: Si l'Éternel ne te sauve pas, avec quoi te sauverais-je? avec le produit de l'aire ou du pressoir?

Et le roi lui dit: Qu'as-tu? Elle répondit: Cette femme-là m'a dit: Donne ton fils! nous le mangerons aujourd'hui, et demain nous mangerons mon fils.

Nous avons fait cuire mon fils, et nous l'avons mangé. Et le jour suivant, je lui ai dit: Donne ton fils, et nous le mangerons. Mais elle a caché son fils.

Lorsque le roi entendit les paroles de cette femme, il déchira ses vêtements, en passant sur la muraille; et le peuple vit qu'il avait en dedans un sac sur son corps.

Le roi dit: Que Dieu me punisse dans toute sa rigueur, si la tête d'Élisée, fils de Schaphath, reste aujourd'hui sur lui!

Or Élisée était dans sa maison, et les anciens étaient assis auprès de lui. Le roi envoya quelqu'un devant lui. Mais avant que le messager soit arrivé, Élisée dit aux anciens: Voyez-vous que ce fils d'assassin envoie quelqu'un pour m'ôter la tête? Écoutez! quand le messager viendra, fermez la porte, et repoussez-le avec la porte: le bruit des pas de son maître ne se fait-il pas entendre derrière lui?

Il leur parlait encore, et déjà le messager était descendu vers lui, et disait: Voici, ce mal vient de l'Éternel; qu'ai-je à espérer encore de l'Éternel? 

L'officier sur la main duquel s'appuyait le roi répondit à l'homme de Dieu: Quand l'Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n'en mangeras point.

Si nous songeons à entrer dans la ville, la famine est dans la ville, et nous y mourrons; et si nous restons ici, nous mourrons également. Allons nous jeter dans le camp des Syriens; s'ils nous laissent vivre, nous vivrons et s'ils nous font mourir, nous mourrons.

Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens pour venir nous attaquer.

Et ils se levèrent et prirent la fuite au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes, le camp tel qu'il était, et ils s'enfuirent pour sauver leur vie.

Puis ils se dirent l'un à l'autre: Nous n'agissons pas bien! Cette journée est une journée de bonne nouvelle; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu'à la lumière du matin, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, et allons informer la maison du roi.

Ils partirent, et ils appelèrent les gardes de la porte de la ville, auxquels ils firent ce rapport: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici, il n'y a personne, on n'y entend aucune voix d'homme; il n'y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient.

Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs: Je veux vous communiquer ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit: Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville.

On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des messagers sur les traces de l'armée des Syriens, en disant: Allez et voyez.

Ils allèrent après eux jusqu'au Jourdain; et voici, toute la route était pleine de vêtements et d'objets que les Syriens avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent, et le rapportèrent au roi.

Le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens. Et l'on eut une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d'orge pour un sicle, selon la parole de l'Éternel.

Le roi avait remis la garde de la porte à l'officier sur la main duquel il s'appuyait; mais cet officier fut écrasé à la porte par le peuple et il mourut, selon la parole qu'avait prononcée l'homme de Dieu quand le roi était descendu vers lui.

Et l'officier avait répondu à l'homme de Dieu: Quand l'Éternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Élisée avait dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n'en mangeras point.

C'est en effet ce qui lui arriva: il fut écrasé à la porte par le peuple, et il mourut.

Élisée dit à la femme dont il avait fait revivre le fils: Lève-toi, va t'en, toi et ta maison, et séjourne où tu pourras; car l'Éternel appelle la famine, et même elle vient sur le pays pour sept années.

Au bout des sept ans, la femme revint du pays des Philistins, et elle alla implorer le roi au sujet de sa maison et de son champ.

Le roi s'entretenait avec Guéhazi, serviteur de l'homme de Dieu, et il disait: Raconte-moi, je te prie, toutes les grandes choses qu'Élisée a faites.

Et pendant qu'il racontait au roi comment Élisée avait rendu la vie à un mort, la femme dont Élisée avait fait revivre le fils vint implorer le roi au sujet de sa maison et de son champ. Guéhazi dit: O roi, mon seigneur, voici la femme, et voici son fils qu'Élisée a fait revivre.

Le roi interrogea la femme, et elle lui fit le récit. Puis le roi lui donna un eunuque, auquel il dit: Fais restituer tout ce qui appartient à cette femme, avec tous les revenus du champ, depuis le jour où elle a quitté le pays jusqu'à maintenant.

Le roi dit à Hazaël: Prends avec toi un présent, et va au-devant de l'homme de Dieu; consulte par lui l'Éternel, en disant: Guérirai-je de cette maladie?

L'homme de Dieu arrêta son regard sur Hazaël, et le fixa longtemps, puis il pleura.

Hazaël dit: Pourquoi mon seigneur pleure-t-il? Et Élisée répondit: Parce que je sais le mal que tu feras aux enfants d'Israël; tu mettras le feu à leurs villes fortes, tu tueras avec l'épée leurs jeunes gens, tu écraseras leurs petits enfants, et tu fendras le ventre de leurs femmes enceintes.

Le lendemain, Hazaël prit une couverture, qu'il plongea dans l'eau, et il l'étendit sur le visage du roi, qui mourut. Et Hazaël régna à sa place.

Joram passa à Tsaïr, avec tous ses chars; s'étant levé de nuit, il battit les Édomites, qui l'entouraient et les chefs des chars, et le peuple s'enfuit dans ses tentes.

La rébellion d'Édom contre l'autorité de Juda a duré jusqu'à ce jour. Libna se révolta aussi dans le même temps.

Le reste des actions de Joram, et tout ce qu'il a fait, cela n'est-il pas écrit dans le livre des Chroniques des rois de Juda?

Le roi Joram s'en retourna pour se faire guérir à Jizreel des blessures que les Syriens lui avaient faites à Rama, lorsqu'il se battait contre Hazaël, roi de Syrie. Achazia, fils de Joram, roi de Juda, descendit pour voir Joram, fils d'Achab, à Jizreel, parce qu'il était malade.

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