Du bout de la terre je crie à toi, le coeur abattu; Conduis-moi sur le rocher que je ne puis atteindre!

Car tu es pour moi un refuge, Une tour forte, en face de l'ennemi.

La crainte et l'épouvante m'assaillent, Et le frisson m'enveloppe.

C'est alors qu'ils trembleront d'épouvante, Quand Dieu paraîtra au milieu de la race juste.

Car mes iniquités s'élèvent au-dessus de ma tête; Comme un lourd fardeau, elles sont trop pesantes pour moi.

S'il tombe, il n'est pas terrassé, Car l'Éternel lui prend la main.

Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m'ont tendu un piège.

Alors ils trembleront d'épouvante, Sans qu'il y ait sujet d'épouvante; Dieu dispersera les os de ceux qui campent contre toi; Tu les confondras, car Dieu les a rejetés.

Mon esprit est abattu au dedans de moi, Mon coeur est troublé dans mon sein.

Il les dirigea sûrement, pour qu'ils fussent sans crainte, Et la mer couvrit leurs ennemis.

Je me souviens de Dieu, et je gémis; Je médite, et mon esprit est abattu. -Pause.

Quand les pensées s'agitent en foule au dedans de moi, Tes consolations réjouissent mon âme.

Les liens de la mort m'avaient environné, Et les torrents de la destruction m'avaient épouvanté;

en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive.

Que les flots ne m'inondent plus, Que l'abîme ne m'engloutisse pas, Et que la fosse ne se ferme pas sur moi!

Alors les eaux nous auraient submergés, Les torrents auraient passé sur notre âme;

Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.

Les iniquités m'accablent: Tu pardonneras nos transgressions.

Ta fureur s'appesantit sur moi, Et tu m'accables de tous tes flots. Pause.

Alors auraient passé sur notre âme Les flots impétueux.

Mon coeur tremble au dedans de moi, Et les terreurs de la mort me surprennent;

Que sur la tête de ceux qui m'environnent Retombe l'iniquité de leurs lèvres!

Tous mes ennemis sont confondus, saisis d'épouvante; Ils reculent, soudain couverts de honte.

Car les flots de la mort m'avaient environné, Les torrents de la destruction m'avaient épouvanté;

Je me réjouirai en l'Éternel, Mon âme sera ravie d'allégresse en mon Dieu; Car il m'a revêtu des vêtements du salut, Il m'a couvert du manteau de la délivrance, Comme le fiancé s'orne d'un diadème, Comme la fiancée se pare de ses joyaux.

Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas.

Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie.

Ils étaient dans le plus grand étonnement, et disaient: Il fait tout à merveille; même il fait entendre les sourds, et parler les muets.

Ils furent saisis d'une grande frayeur, et ils se dirent les uns aux autres: Quel est donc celui-ci, à qui obéissent même le vent et la mer?

Mais avec des flots qui déborderont Il détruira la ville, Et il poursuivra ses ennemis jusque dans les ténèbres.

et que par ces choses le monde d'alors périt, submergé par l'eau,

Zacharie fut troublé en le voyant, et la frayeur s'empara de lui.

et les mets de sa table, et la demeure de ses serviteurs, et les fonctions et les vêtements de ceux qui le servaient, et ses échansons, et ses holocaustes qu'il offrait dans la maison de l'Éternel.