50 verset biblique sur La Dette

Et, faisant venir chacun des débiteurs de son maître, il dit au premier: Combien dois-tu à mon maître?

Ému de compassion, le maître de ce serviteur le laissa aller, et lui remit la dette.

Simon répondit: Celui, je pense, auquel il a le plus remis. Jésus lui dit: Tu as bien jugé.

Tous les sept ans, tu feras relâche.

Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres; car celui qui aime les autres a accompli la loi.

Tu pourras presser l'étranger; mais tu te relâcheras de ton droit pour ce qui t'appartiendra chez ton frère.

Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair.

Une femme d'entre les femmes des fils des prophètes cria à Élisée, en disant: Ton serviteur mon mari est mort, et tu sais que ton serviteur craignait l'Éternel; or le créancier est venu pour prendre mes deux enfants et en faire ses esclaves.

Comme il n'avait pas de quoi payer, son maître ordonna qu'il fût vendu, lui, sa femme, ses enfants, et tout ce qu'il avait, et que la dette fût acquittée.

Le riche domine sur les pauvres, Et celui qui emprunte est l'esclave de celui qui prête.

il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix;

Quand il se mit à compter, on lui en amena un qui devait dix mille talents.

Celui qui méprise la parole se perd, Mais celui qui craint le précepte est récompensé.

Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari.

Mais l'autre ne voulut pas, et il alla le jeter en prison, jusqu'à ce qu'il eût payé ce qu'il devait.

Or, à celui qui fait une oeuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due;

Celui qui cautionne autrui s'en trouve mal, Mais celui qui craint de s'engager est en sécurité.

Un créancier avait deux débiteurs: l'un devait cinq cents deniers, et l'autre cinquante.

Après qu'il fut sorti, ce serviteur rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers. Il le saisit et l'étranglait, en disant: Paie ce que tu me dois.

de ne rien acheter, le jour du sabbat et les jours de fête, des peuples du pays qui apporteraient à vendre, le jour du sabbat, des marchandises ou denrées quelconques; et de faire relâche la septième année, en n'exigeant le paiement d'aucune dette.

Je me dois aux Grecs et aux barbares, aux savants et aux ignorants.

Il dit ensuite à un autre: Et toi, combien dois-tu? Cent mesures de blé, répondit-il. Et il lui dit: Prends ton billet, et écris quatre-vingts.

Dégage-toi comme la gazelle de la main du chasseur, Comme l'oiseau de la main de l'oiseleur.

Comme ils n'avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel l'aimera le plus?

Moïse leur donna cet ordre: Tous les sept ans, à l'époque de l'année du relâche, à la fête des tabernacles,

Elle alla le rapporter à l'homme de Dieu, et il dit: Va vendre l'huile, et paie ta dette; et tu vivras, toi et tes fils, de ce qui restera.

Et son maître, irrité, le livra aux bourreaux, jusqu'à ce qu'il eût payé tout ce qu'il devait.

Ne sois pas parmi ceux qui prennent des engagements, Parmi ceux qui cautionnent pour des dettes;

Le méchant emprunte, et il ne rend pas; Le juste est compatissant, et il donne.

Tous ceux qui se trouvaient dans la détresse, qui avaient des créanciers, ou qui étaient mécontents, se rassemblèrent auprès de lui, et il devint leur chef. Ainsi se joignirent à lui environ quatre cents hommes.

Et s'il t'a fait quelque tort, ou s'il te doit quelque chose, mets-le sur mon compte.

Et il dit: Va demander au dehors des vases chez tous tes voisins, des vases vides, et n'en demande pas un petit nombre.

pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés;

Et voici comment s'observera le relâche. Quand on aura publié le relâche en l'honneur de l'Éternel, tout créancier qui aura fait un prêt à son prochain se relâchera de son droit, il ne pressera pas son prochain et son frère pour le paiement de sa dette.

Alors le maître fit appeler ce serviteur, et lui dit: Méchant serviteur, je t'avais remis en entier ta dette, parce que tu m'en avais supplié;

Celui qui a pitié du pauvre prête à l'Éternel, Qui lui rendra selon son oeuvre.

Elles l'ont bien voulu, et elles le leur devaient; car si les païens ont eu part à leurs avantages spirituels, ils doivent aussi les assister dans les choses temporelles.

Fais donc ceci, mon fils, dégage-toi, Puisque tu es tombé au pouvoir de ton prochain; Va, prosterne-toi, et fais des instances auprès de lui;

Mon fils, si tu as cautionné ton prochain, Si tu t'es engagé pour autrui,

Or, si c'est par grâce, ce n'est plus par les oeuvres; autrement la grâce n'est plus une grâce. Et si c'est par les oeuvres, ce n'est plus une grâce; autrement l'oeuvre n'est plus une oeuvre.

Lorsque les vases furent pleins, elle dit à son fils: Présente-moi encore un vase. Mais il lui répondit: Il n'y a plus de vase. Et l'huile s'arrêta.

Ne donne ni sommeil à tes yeux, Ni assoupissement à tes paupières;

Tu lui donneras le salaire de sa journée avant le coucher du soleil; car il est pauvre, et il lui tarde de le recevoir. Sans cela, il crierait à l'Éternel contre toi, et tu te chargerais d'un péché.

Ils ne peuvent se racheter l'un l'autre, Ni donner à Dieu le prix du rachat.

s'il rend le gage, s'il restitue ce qu'il a ravi, s'il suit les préceptes qui donnent la vie, sans commettre l'iniquité, il vivra, il ne mourra pas.

L'homme dépourvu de sens prend des engagements, Il cautionne son prochain.

lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.

Élisée lui dit: Que puis-je faire pour toi? Dis-moi, qu'as-tu à la maison? Elle répondit: Ta servante n'a rien du tout à la maison qu'un vase d'huile.