'Douleur' dans la Bible
Il dit à la femme: J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi.
Jacob dit: Mon fils ne descendra point avec vous; car son frère est mort, et il reste seul; s'il lui arrivait un malheur dans le voyage que vous allez faire, vous feriez descendre mes cheveux blancs avec douleur dans le séjour des morts.
Si vous me prenez encore celui-ci, et qu'il lui arrive un malheur, vous ferez descendre mes cheveux blancs avec douleur dans le séjour des morts.
il mourra, en voyant que l'enfant n'y est pas; et tes serviteurs feront descendre avec douleur dans le séjour des morts les cheveux blancs de ton serviteur, notre père.
Ne prends pas ta servante pour une femme pervertie, car c'est l'excès de ma douleur et de mon chagrin qui m'a fait parler jusqu'à présent.
Je suis dans la douleur à cause de toi, Jonathan, mon frère! Tu faisais tout mon plaisir; Ton amour pour moi était admirable, Au-dessus de l'amour des femmes.
Jaebets était plus considéré que ses frères; sa mère lui donna le nom de Jaebets, en disant: C'est parce que je l'ai enfanté avec douleur.
si un homme, si tout ton peuple d'Israël fait entendre des prières et des supplications, et que chacun reconnaisse sa plaie et sa douleur et étende les mains vers cette maison,
Et ils se tinrent assis à terre auprès de lui sept jours et sept nuits, sans lui dire une parole, car ils voyaient combien sa douleur était grande.
Oh! s'il était possible de peser ma douleur, Et si toutes mes calamités étaient sur la balance,
Ainsi j'ai pour partage des mois de douleur, J'ai pour mon lot des nuits de souffrance.
C'est pour lui seul qu'il éprouve de la douleur en son corps, C'est pour lui seul qu'il ressent de la tristesse en son âme.
Mon oeil est obscurci par la douleur; Tous mes membres sont comme une ombre.
La nuit me perce et m'arrache les os, La douleur qui me ronge ne se donne aucun repos,
Par la douleur aussi l'homme est repris sur sa couche, Quand une lutte continue vient agiter ses os.
Ma vie se consume dans la douleur, Et mes années dans les soupirs; Ma force est épuisée à cause de mon iniquité, Et mes os dépérissent.
Car je suis près de tomber, Et ma douleur est toujours devant moi.
Je suis resté muet, dans le silence; Je me suis tu, quoique malheureux; Et ma douleur n'était pas moins vive.
L'Éternel le soutient sur son lit de douleur; Tu le soulages dans toutes ses maladies.
Là un tremblement les a saisis, Comme la douleur d'une femme qui accouche.
Les liens de la mort m'avaient environné, Et les angoisses du sépulcre m'avaient saisi; J'étais en proie à la détresse et à la douleur.
En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, Et mangez-vous le pain de douleur; Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil.
Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.
Tous ses jours ne sont que douleur, et son partage n'est que chagrin; même la nuit son coeur ne repose pas. C'est encore là une vanité.
Lorsque tu les plantas, tu les entouras d'une haie, Et bientôt tu les fis venir en fleurs. Mais la récolte a fui, au moment de la jouissance: Et la douleur est sans remède.
Les rachetés de l'Éternel retourneront, Ils iront à Sion avec chants de triomphe, Et une joie éternelle couronnera leur tête; L'allégresse et la joie s'approcheront, La douleur et les gémissements s'enfuiront.
Voici, vous tous qui allumez un feu, Et qui êtes armés de torches, Allez au milieu de votre feu et de vos torches enflammées! C'est par ma main que ces choses vous arriveront; Vous vous coucherez dans la douleur.
Ainsi les rachetés de l'Éternel retourneront, Ils iront à Sion avec chants de triomphe, Et une joie éternelle couronnera leur tête; L'allégresse et la joie s'approcheront, La douleur et les gémissements s'enfuiront.
Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
Voici, mes serviteurs chanteront dans la joie de leur coeur; Mais vous, vous crierez dans la douleur de votre âme, Et vous vous lamenterez dans l'abattement de votre esprit.
Comme un puits fait jaillir ses eaux, Ainsi elle fait jaillir sa méchanceté; Il n'est bruit en son sein que de violence et de ruine; Sans cesse à mes regards s'offrent la douleur et les plaies.
Au bruit de leur approche, Nos mains s'affaiblissent, L'angoisse nous saisit, Comme la douleur d'une femme qui accouche.
Je voudrais soulager ma douleur; Mon coeur souffre au dedans de moi.
Je suis brisé par la douleur de la fille de mon peuple, Je suis dans la tristesse, l'épouvante me saisit.
Pourquoi suis-je sorti du sein maternel Pour voir la souffrance et la douleur, Et pour consumer mes jours dans la honte?
Pourquoi te plaindre de ta blessure, De la douleur que cause ton mal? C'est à cause de la multitude de tes iniquités, Du grand nombre de tes péchés, Que je t'ai fait souffrir ces choses.
Tu dis: Malheur à moi! car l'Éternel ajoute le chagrin à ma douleur; je m'épuise en soupirant, et je ne trouve point de repos.
Le roi de Babylone apprend la nouvelle, Et ses mains s'affaiblissent, L'angoisse le saisit, Comme la douleur d'une femme qui accouche...
Je m'adresse à vous, à vous tous qui passez ici! Regardez et voyez s'il est une douleur pareille à ma douleur, A celle dont j'ai été frappée! L'Éternel m'a affligée au jour de son ardente colère.
L'Éternel est juste, Car j'ai été rebelle à ses ordres. Écoutez, vous tous, peuples, et voyez ma douleur! Mes vierges et mes jeunes hommes sont allés en captivité.
Il a bâti autour de moi, Il m'a environné de poison et de douleur.
Tu seras remplie d'ivresse et de douleur; C'est la coupe de désolation et de destruction, La coupe de ta soeur Samarie.
Dans leur douleur, ils diront une complainte sur toi, Ils se lamenteront sur toi: Qui était comme Tyr, Comme cette ville détruite au milieu de la mer?
Pourquoi maintenant pousses-tu des cris? N'as-tu point de roi, plus de conseiller, Pour que la douleur te saisisse comme une femme qui accouche?
Le cinquième versa sa coupe sur le trône de la bête. Et son royaume fut couvert de ténèbres; et les hommes se mordaient la langue de douleur,
Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.