'Souffle' dans la Bible
Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi.
L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.
Et moi, je vais faire venir le déluge d'eaux sur la terre, pour détruire toute chair ayant souffle de vie sous le ciel; tout ce qui est sur la terre périra.
Ils entrèrent dans l'arche auprès de Noé, deux à deux, de toute chair ayant souffle de vie.
Tout ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche, mourut.
Au souffle de tes narines, les eaux se sont amoncelées, Les courants se sont dressés comme une muraille, Les flots se sont durcis au milieu de la mer.
Tu as soufflé de ton haleine: La mer les a couverts; Ils se sont enfoncés comme du plomb, Dans la profondeur des eaux.
Je voudrais dire: Je les emporterai d'un souffle, Je ferai disparaître leur mémoire d'entre les hommes!
Le lit de la mer apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par la menace de l'Éternel, Par le bruit du souffle de ses narines.
Ils périssent par le souffle de Dieu, Ils sont consumés par le vent de sa colère,
Souviens-toi que ma vie est un souffle! Mes yeux ne reverront pas le bonheur.
Je les méprise!... je ne vivrai pas toujours... Laisse-moi, car ma vie n'est qu'un souffle.
Il tient dans sa main l'âme de tout ce qui vit, Le souffle de toute chair d'homme.
Il ne pourra se dérober aux ténèbres, La flamme consumera ses rejetons, Et Dieu le fera périr par le souffle de sa bouche.
Mon souffle se perd, Mes jours s'éteignent, Le sépulcre m'attend.
J'ai entendu des reproches qui m'outragent; Le souffle de mon intelligence donnera la réplique.
Son souffle donne au ciel la sérénité, Sa main transperce le serpent fuyard.
Aussi longtemps que j'aurai ma respiration, Et que le souffle de Dieu sera dans mes narines,
Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'esprit, Le souffle du Tout Puissant, qui donne l'intelligence;
L'esprit de Dieu m'a créé, Et le souffle du Tout Puissant m'anime.
S'il ne pensait qu'à lui-même, S'il retirait à lui son esprit et son souffle,
Par son souffle Dieu produit la glace, Il réduit l'espace où se répandaient les eaux.
Son souffle allume les charbons, Sa gueule lance la flamme.
Ses voies réussissent en tout temps; Tes jugements sont trop élevés pour l'atteindre, Il souffle contre tous ses adversaires.
Parce que les malheureux sont opprimés et que les pauvres gémissent, Maintenant, dit l'Éternel, je me lève, J'apporte le salut à ceux contre qui l'on souffle.
Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel! Par le bruit du souffle de tes narines.
Les cieux ont été faits par la parole de l'Éternel, Et toute leur armée par le souffle de sa bouche.
Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle. -Pause.
Tu châties l'homme en le punissant de son iniquité, Tu détruis comme la teigne ce qu'il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle. -Pause.
Oui, vanité, les fils de l'homme! Mensonge, les fils de l'homme! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu'un souffle.
Il se souvint qu'ils n'étaient que chair, Un souffle qui s'en va et ne revient pas.
Tu caches ta face: ils sont tremblants; Tu leur retires le souffle: ils expirent, Et retournent dans leur poussière.
Tu envoies ton souffle: ils sont créés, Et tu renouvelles la face de la terre.
Elles ont des oreilles et n'entendent point, Elles n'ont point de souffle dans leur bouche.
L'homme est semblable à un souffle, Ses jours sont comme l'ombre qui passe.
Leur souffle s'en va, ils rentrent dans la terre, Et ce même jour leurs desseins périssent.
Le souffle de l'homme est une lampe de l'Éternel; Il pénètre jusqu'au fond des entrailles.
Car le sort des fils de l'homme et celui de la bête sont pour eux un même sort; comme meurt l'un, ainsi meurt l'autre, ils ont tous un même souffle, et la supériorité de l'homme sur la bête est nulle; car tout est vanité.
Qui sait si le souffle des fils de l'homme monte en haut, et si le souffle de la bête descend en bas dans la terre?
L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.
Je me dis: Je monterai sur le palmier, J'en saisirai les rameaux! Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, Le parfum de ton souffle comme celui des pommes,
Cessez de vous confier en l'homme, Dans les narines duquel il n'y a qu'un souffle: Car de quelle valeur est-il?
Après que le Seigneur aura lavé les ordures des filles de Sion, Et purifié Jérusalem du sang qui est au milieu d'elle, Par le souffle de la justice et par le souffle de la destruction.
Mais il jugera les pauvres avec équité, Et il prononcera avec droiture sur les malheureux de la terre; Il frappera la terre de sa parole comme d'une verge, Et du souffle de ses lèvres il fera mourir le méchant.
Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.
Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur; Car le souffle des tyrans Est comme l'ouragan qui frappe une muraille.
C'est avec mesure que tu l'as châtié par l'exil, En l'emportant par le souffle impétueux du vent d'orient.
Son souffle est comme un torrent débordé qui atteint jusqu'au cou, Pour cribler les nations avec le crible de la destruction, Et comme un mors trompeur Entre les mâchoires des peuples.
Depuis longtemps un bûcher est préparé, Il est préparé pour le roi, Il est profond, il est vaste; Son bûcher, c'est du feu et du bois en abondance; Le souffle de l'Éternel l'enflamme, comme un torrent de soufre.
Vous avez conçu du foin, Vous enfanterez de la paille; Votre souffle, C'est un feu qui vous consumera.
L'herbe sèche, la fleur tombe, Quand le vent de l'Éternel souffle dessus. -Certainement le peuple est comme l'herbe:
Ils ne sont pas même plantés, pas même semés, Leur tronc n'a pas même de racine en terre: Il souffle sur eux, et ils se dessèchent, Et un tourbillon les emporte comme le chaume.
Voici, ils ne sont tous que vanité, Leurs oeuvres ne sont que néant, Leurs idoles ne sont qu'un vain souffle.
Ainsi parle Dieu, l'Éternel, Qui a créé les cieux et qui les a déployés, Qui a étendu la terre et ses productions, Qui a donné la respiration à ceux qui la peuplent, Et le souffle à ceux qui y marchent.
Voici, j'ai créé l'ouvrier qui souffle le charbon au feu, Et qui fabrique une arme par son travail; Mais j'ai créé aussi le destructeur pour la briser.
Quand tu crieras, la foule de tes idoles te délivrera-t-elle? Le vent les emportera toutes, un souffle les enlèvera. Mais celui qui se confie en moi héritera le pays, Et possédera ma montagne sainte.
En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant souffle des lieux élevés du désert Sur le chemin de la fille de mon peuple, Non pour vanner ni pour nettoyer le grain.
Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n'y a point en elles de souffle,
Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n'y a point en elles de souffle.
Comme on rassemble l'argent, l'airain, le fer, le plomb et l'étain, dans le creuset, et qu'on souffle le feu pour les fondre, ainsi je vous rassemblerai dans ma colère et dans ma fureur, et je vous mettrai au creuset pour vous fondre.
Il me dit: Prophétise, et parle à l'esprit! prophétise, fils de l'homme, et dis à l'esprit: Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Esprit, viens des quatre vents, souffle sur ces morts, et qu'ils revivent!
Tu t'es élevé contre le Seigneur des cieux; les vases de sa maison ont été apportés devant toi, et vous vous en êtes servis pour boire du vin, toi et tes grands, tes femmes et tes concubines; tu as loué les dieux d'argent, d'or, d'airain, de fer, de bois et de pierre, qui ne voient point, qui n'entendent point, et qui ne savent rien, et tu n'as pas glorifié le Dieu qui a dans sa main ton souffle et toutes tes voies.
Comment le serviteur de mon seigneur pourrait-il parler à mon seigneur? Maintenant les forces me manquent, et je n'ai plus de souffle.
Vous comptiez sur beaucoup, et voici, vous avez eu peu; Vous l'avez rentré chez vous, mais j'ai soufflé dessus. Pourquoi? dit l'Éternel des armées. A cause de ma maison, qui est détruite, Tandis que vous vous empressez chacun pour sa maison.
La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc.
La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison: elle est tombée, et sa ruine a été grande.
Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit.
Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement.
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