'Il' dans la Bible
Israël était consacré à l'Éternel, Il était les prémices de son revenu; Tous ceux qui en mangeaient se rendaient coupables, Et le malheur fondait sur eux, dit l'Éternel.
Passez aux îles de Kittim, et regardez! Envoyez quelqu'un à Kédar, observez bien, Et regardez s'il y a rien de semblable!
Y a-t-il une nation qui change ses dieux, Quoiqu'ils ne soient pas des Dieux? Et mon peuple a changé sa gloire contre ce qui n'est d'aucun secours!
Israël est-il un esclave acheté, ou né dans la maison? Pourquoi donc devient-il une proie?
Contre lui les lionceaux rugissent, poussent leurs cris, Et ils ravagent son pays; Ses villes sont brûlées, il n'y a plus d'habitants.
Cela ne t'arrive-t-il pas Parce que tu as abandonné l'Éternel, ton Dieu, Lorsqu'il te dirigeait dans la bonne voie?
Comme un voleur est confus lorsqu'il est surpris, Ainsi seront confus ceux de la maison d'Israël, Eux, leurs rois, leurs chefs, Leurs sacrificateurs et leurs prophètes.
Hommes de cette génération, considérez la parole de l'Éternel! Ai-je été pour Israël un désert, Ou un pays d'épaisses ténèbres? Pourquoi mon peuple dit-il: Nous sommes libres, Nous ne voulons pas retourner à toi?
Il dit: Lorsqu'un homme répudie sa femme, Qu'elle le quitte et devient la femme d'un autre, Cet homme retourne-t-il encore vers elle? Le pays même ne serait-il pas souillé? Et toi, tu t'es prostituée à de nombreux amants, Et tu reviendrais à moi! dit l'Éternel.
Gardera-t-il à toujours sa colère? La conservera-t-il à jamais? Et voici, tu as dit, tu as fait des choses criminelles, tu les as consommées.
Le lion s'élance de son taillis, Le destructeur des nations est en marche, il a quitté son lieu, Pour ravager ton pays; Tes villes seront ruinées, il n'y aura plus d'habitants.
En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant souffle des lieux élevés du désert Sur le chemin de la fille de mon peuple, Non pour vanner ni pour nettoyer le grain.
Certainement mon peuple est fou, il ne me connaît pas; Ce sont des enfants insensés, dépourvus d'intelligence; Ils sont habiles pour faire le mal, Mais ils ne savent pas faire le bien. -
Je regarde, et voici, il n'y a point d'homme; Et tous les oiseaux des cieux ont pris la fuite.
Au bruit des cavaliers et des archers, toutes les villes sont en fuite; On entre dans les bois, on monte sur les rochers; Toutes les villes sont abandonnées, il n'y a plus d'habitants.
Parcourez les rues de Jérusalem, Regardez, informez-vous, cherchez dans les places, S'il s'y trouve un homme, s'il y en a un Qui pratique la justice, qui s'attache à la vérité, Et je pardonne à Jérusalem.
Ils renient l'Éternel, ils disent: Il n'existe pas! Et le malheur ne viendra pas sur nous, Nous ne verrons ni l'épée ni la famine.
Les prophètes ne sont que du vent, Et personne ne parle en eux. Qu'il leur soit fait ainsi!
Si vous dites alors: Pourquoi l'Éternel, notre Dieu, nous fait-il tout cela? Tu leur répondras: Comme vous m'avez abandonné, Et que vous avez servi des dieux étrangers dans votre pays, Ainsi vous servirez des étrangers dans un pays qui n'est pas le vôtre.
Car il se trouve parmi mon peuple des méchants; Ils épient comme l'oiseleur qui dresse des pièges, Ils tendent des filets, et prennent des hommes.
Car ainsi parle l'Éternel des armées: Abattez les arbres, Élevez des terrasses contre Jérusalem! C'est la ville qui doit être châtiée; Il n'y a qu'oppression au milieu d'elle.
Comme un puits fait jaillir ses eaux, Ainsi elle fait jaillir sa méchanceté; Il n'est bruit en son sein que de violence et de ruine; Sans cesse à mes regards s'offrent la douleur et les plaies.
Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple: Paix! paix! disent-ils; Et il n'y a point de paix;
Les cadavres de ce peuple seront la pâture Des oiseaux du ciel et des bêtes de la terre; Et il n'y aura personne pour les troubler.
Pourquoi donc ce peuple de Jérusalem s'abandonne-t-il A de perpétuels égarements? Ils persistent dans la tromperie, Ils refusent de se convertir.
Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple: Paix! paix! disent-ils. Et il n'y a point de paix.
Je veux en finir avec eux, dit l'Éternel; Il n'y aura plus de raisins à la vigne, Plus de figues au figuier, Et les feuilles se flétriront; Ce que je leur avais donné leur échappera. -
Pourquoi restons-nous assis? Rassemblez-vous, et allons dans les villes fortes, Pour y périr! Car l'Éternel, notre Dieu, nous destine à la mort, Il nous fait boire des eaux empoisonnées, Parce que nous avons péché contre l'Éternel.
Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux; Un temps de guérison, et voici la terreur! -
Le hennissement de ses chevaux se fait entendre du côté de Dan, Et au bruit de leur hennissement toute la terre tremble; Ils viennent, ils dévorent le pays et ce qu'il renferme, La ville et ceux qui l'habitent.
Car j'envoie parmi vous des serpents, des basilics, Contre lesquels il n'y a point d'enchantement; Ils vous mordront, dit l'Éternel.
Voici les cris de la fille de mon peuple Retentissent sur la terre lointaine: L'Éternel n'est-il plus à Sion? N'a-t-elle plus son roi au milieu d'elle? -Pourquoi m'ont-ils irrité par leurs images taillées, Par des idoles étrangères? -
N'y a-t-il point de baume en Galaad? N'y a-t-il point de médecin? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s'opère-t-elle pas?
Où est l'homme sage qui comprenne ces choses? Qu'il le dise, celui à qui la bouche de l'Éternel a parlé! Pourquoi le pays est-il détruit, Brûlé comme un désert où personne ne passe?
Car des cris lamentables se font entendre de Sion: Eh quoi! nous sommes détruits! Nous sommes couverts de honte! Il nous faut abandonner le pays! On a renversé nos demeures! -
On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas.
Mais l'Éternel est Dieu en vérité, Il est un Dieu vivant et un roi éternel; La terre tremble devant sa colère, Et les nations ne supportent pas sa fureur.
Il a créé la terre par sa puissance, Il a fondé le monde par sa sagesse, Il a étendu les cieux par son intelligence.
A sa voix, les eaux mugissent dans les cieux; Il fait monter les nuages des extrémités de la terre, Il produit les éclairs et la pluie, Il tire le vent de ses trésors.
Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n'y a point en elles de souffle,
Je le sais, ô Éternel! La voie de l'homme n'est pas en son pouvoir; Ce n'est pas à l'homme, quand il marche, A diriger ses pas.
L'Éternel me dit: Il y a une conjuration entre les hommes de Juda Et les habitants de Jérusalem.
Que ferait mon bien-aimé dans ma maison? Il s'y commet une foule de crimes. La chair sacrée disparaîtra devant toi. Quand tu fais le mal, c'est alors que tu triomphes!
Olivier verdoyant, remarquable par la beauté de son fruit, Tel est le nom que t'avait donné l'Éternel; Au bruit d'un grand fracas, il l'embrase par le feu, Et ses rameaux sont brisés.
Jusques à quand le pays sera-t-il dans le deuil, Et l'herbe de tous les champs sera-t-elle desséchée? A cause de la méchanceté des habitants, Les bêtes et les oiseaux périssent. Car ils disent: Il ne verra pas notre fin. -
Mon héritage a été pour moi comme un lion dans la forêt, Il a poussé contre moi ses rugissements; C'est pourquoi je l'ai pris en haine.
Ils le réduisent en un désert; Il est en deuil, il est désolé devant moi. Tout le pays est ravagé, Car nul n'y prend garde.
Sur tous les lieux élevés du désert arrivent les dévastateurs, Car le glaive de l'Éternel dévore le pays d'un bout à l'autre; Il n'y a de paix pour aucun homme.
Ce méchant peuple, qui refuse d'écouter mes paroles, Qui suit les penchants de son coeur, Et qui va après d'autres dieux, Pour les servir et se prosterner devant eux, Qu'il devienne comme cette ceinture, Qui n'est plus bonne à rien!
Rendez gloire à l'Éternel, votre Dieu, Avant qu'il fasse venir les ténèbres, Avant que vos pieds heurtent contre les montagnes de la nuit; Vous attendrez la lumière, Et il la changera en ombre de la mort, Il la réduira en obscurité profonde.
Dis au roi et à la reine: Asseyez-vous à terre! Car il est tombé de vos têtes, Le diadème qui vous servait d'ornement.
Les villes du midi sont fermées, Il n'y a personne pour ouvrir; Tout Juda est emmené captif, Il est emmené tout entier captif.
Que diras-tu de ce qu'il te châtie? C'est toi-même qui leur as appris à te traiter en maîtres. Les douleurs ne te saisiront-elles pas, Comme elles saisissent une femme en travail?
Si tu dis en ton coeur: Pourquoi cela m'arrive-t-il? C'est à cause de la multitude de tes iniquités Que les pans de tes habits sont relevés, Et que tes talons sont violemment mis à nu.
Un Éthiopien peut-il changer sa peau, Et un léopard ses taches? De même, pourriez-vous faire le bien, Vous qui êtes accoutumés à faire le mal?
La terre est saisie d'épouvante, Parce qu'il ne tombe point de pluie dans le pays, Et les laboureurs confus se couvrent la tête.
Même la biche dans la campagne Met bas et abandonne sa portée, Parce qu'il n'y a point de verdure.
Les ânes sauvages se tiennent sur les lieux élevés, Aspirant l'air comme des serpents; Leurs yeux languissent, parce qu'il n'y a point d'herbe.
Voici ce que l'Éternel dit de ce peuple: Ils aiment à courir çà et là, Ils ne savent retenir leurs pieds; L'Éternel n'a point d'attachement pour eux, Il se souvient maintenant de leurs crimes, Et il châtie leurs péchés.
C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel Sur les prophètes qui prophétisent en mon nom, Sans que je les aie envoyés, Et qui disent: Il n'y aura dans ce pays ni épée ni famine: Ces prophètes périront par l'épée et par la famine.
Et ceux à qui ils prophétisent Seront étendus dans les rues de Jérusalem, Par la famine et par l'épée; Il n'y aura personne pour leur donner la sépulture, Ni à eux, ni à leurs femmes, ni à leurs fils, ni à leurs filles; Je répandrai sur eux leur méchanceté.
As-tu donc rejeté Juda, Et ton âme a-t-elle pris Sion en horreur? Pourquoi nous frappes-tu Sans qu'il y ait pour nous de guérison? Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux, Un temps de guérison, et voici la terreur!
Parmi les idoles des nations, en est-il qui fassent pleuvoir? Ou est-ce le ciel qui donne la pluie? N'est-ce pas toi, Éternel, notre Dieu? Nous espérons en toi, Car c'est toi qui as fait toutes ces choses.
L'Éternel me dit: Quand Moïse et Samuel se présenteraient devant moi, Je ne serais pas favorable à ce peuple. Chasse-le loin de ma face, qu'il s'en aille!
Je les rendrai un objet d'effroi pour tous les royaumes de la terre, A cause de Manassé, fils d'Ézéchias, roi de Juda, Et de tout ce qu'il a fait dans Jérusalem.
Celle qui avait enfanté sept fils est désolée, Elle rend l'âme; Son soleil se couche quand il est encore jour; Elle est confuse, couverte de honte. Ceux qui restent, je les livre à l'épée devant leurs ennemis, Dit l'Éternel.
Le fer brisera-t-il le fer du septentrion et l'airain?
Je te fais passer avec ton ennemi dans un pays que tu ne connais pas, Car le feu de ma colère s'est allumé, Il brûle sur vous.
Lorsque tu annonceras à ce peuple toutes ces choses, Ils te diront: Pourquoi l'Éternel nous menace-t-il de tous ces grands malheurs? Quelle est notre iniquité? Quel péché avons-nous commis contre l'Éternel, notre Dieu?
Mais on dira: L'Éternel est vivant, Lui qui a fait monter les enfants d'Israël du pays du septentrion Et de tous les pays où il les avait chassés! Je les ramènerai dans leur pays, Que j'avais donné à leurs pères.
L'homme peut-il se faire des dieux, Qui ne sont pas des dieux? -
Le péché de Juda est écrit avec un burin de fer, Avec une pointe de diamant; Il est gravé sur la table de leur coeur, Et sur les cornes de vos autels.
Tu perdras par ta faute l'héritage que je t'avais donné; Je t'asservirai à ton ennemi dans un pays que tu ne connais pas; Car vous avez allumé le feu de ma colère, Et il brûlera toujours.
Il est comme un misérable dans le désert, Et il ne voit point arriver le bonheur; Il habite les lieux brûlés du désert, Une terre salée et sans habitants.
Il est comme un arbre planté près des eaux, Et qui étend ses racines vers le courant; Il n'aperçoit point la chaleur quand elle vient, Et son feuillage reste vert; Dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, Et il ne cesse de porter du fruit.
Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant: Qui peut le connaître?
Comme une perdrix qui couve des oeufs qu'elle n'a point pondus, Tel est celui qui acquiert des richesses injustement; Au milieu de ses jours il doit les quitter, Et à la fin il n'est qu'un insensé.
Il est un trône de gloire, élevé dès le commencement, C'est le lieu de notre sanctuaire.
Mais si vous n'écoutez pas quand je vous ordonne De sanctifier le jour du sabbat, De ne porter aucun fardeau, De ne point en introduire par les portes de Jérusalem le jour du sabbat, Alors j'allumerai un feu aux portes de la ville, Et il dévorera les palais de Jérusalem et ne s'éteindra point.
Je descendis dans la maison du potier, Et voici, il travaillait sur un tour.
Le vase qu'il faisait ne réussit pas, Comme il arrive à l'argile dans la main du potier; Il en refit un autre vase, Tel qu'il trouva bon de le faire.
Cependant mon peuple m'a oublié, il offre de l'encens à des idoles; Il a été conduit à chanceler dans ses voies, à quitter les anciens sentiers, Pour suivre des sentiers, des chemins non frayés.
Le mal sera-t-il rendu pour le bien? Car ils ont creusé une fosse pour m'ôter la vie. Souviens-t'en, je me suis tenu devant toi, Afin de parler en leur faveur, Et de détourner d'eux ta colère.
Et tu leur diras: Ainsi parle l'Éternel des armées: C'est ainsi que je briserai ce peuple et cette ville, Comme on brise un vase de potier, Sans qu'il puisse être rétabli. Et l'on enterrera les morts à Topheth par défaut de place pour enterrer.
Jérémie revint de Topheth, où l'Éternel l'avait envoyé prophétiser. Puis il se tint dans le parvis de la maison de l'Éternel, et il dit à tout le peuple:
Car toutes les fois que je parle, il faut que je crie, Que je crie à la violence et à l'oppression! Et la parole de l'Éternel est pour moi Un sujet d'opprobre et de risée chaque jour.
Si je dis: Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m'efforce de le contenir, et je ne le puis.
Car j'apprends les mauvais propos de plusieurs, L'épouvante qui règne à l'entour: Accusez-le, et nous l'accuserons! Tous ceux qui étaient en paix avec moi Observent si je chancelle: Peut-être se laissera-t-il surprendre, Et nous serons maîtres de lui, Nous tirerons vengeance de lui!
L'Éternel des armées éprouve le juste, Il pénètre les reins et les coeurs. Je verrai ta vengeance s'exercer contre eux, Car c'est à toi que je confie ma cause.
Chantez à l'Éternel, louez l'Éternel! Car il délivre l'âme du malheureux de la main des méchants.
Maudit soit l'homme qui porta cette nouvelle à mon père: Il t'est né un enfant mâle, Et qui le combla de joie!
Que cet homme soit comme les villes Que l'Éternel a détruites sans miséricorde! Qu'il entende des gémissements le matin, Et des cris de guerre à midi!
Consulte pour nous l'Éternel; car Nebucadnetsar, roi de Babylone, nous fait la guerre; peut-être l'Éternel fera-t-il en notre faveur quelqu'un de ses miracles, afin qu'il s'éloigne de nous.
Après cela, dit l'Éternel, je livrerai Sédécias, roi de Juda, ses serviteurs, le peuple, et ceux qui dans cette ville échapperont à la peste, à l'épée et à la famine, je les livrerai entre les mains de Nebucadnetsar, roi de Babylone, entre les mains de leurs ennemis, entre les mains de ceux qui en veulent à leur vie; et Nebucadnetsar les frappera du tranchant de l'épée, il ne les épargnera pas, il n'aura point de pitié, point de compassion.
Je vous châtierai selon le fruit de vos oeuvres, dit l'Éternel; Je mettrai le feu à votre forêt, Et il en dévorera tous les alentours.
Des nations nombreuses passeront près de cette ville, Et elles se diront l'une à l'autre: Pourquoi l'Éternel a-t-il ainsi traité cette grande ville?
Ne pleurez point celui qui est mort, Et ne vous lamentez pas sur lui; Pleurez, pleurez celui qui s'en va, Car il ne reviendra plus, Il ne reverra plus le pays de sa naissance.
Car ainsi parle l'Éternel sur Schallum, fils de Josias, roi de Juda, Qui régnait à la place de Josias, son père, Et qui est sorti de ce lieu: Il n'y reviendra plus;
Mais il mourra dans le lieu où on l'emmène captif, Et il ne verra plus ce pays.
Est-ce que tu règnes, parce que tu as de la passion pour le cèdre? Ton père ne mangeait-il pas, ne buvait-il pas? Mais il pratiquait la justice et l'équité, Et il fut heureux;
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