'Un' dans la Bible
Paroles de Jérémie, fils de Hilkija, l'un des sacrificateurs d'Anathoth, dans le pays de Benjamin.
Je répondis: Ah! Seigneur Éternel! voici, je ne sais point parler, car je suis un enfant.
Et l'Éternel me dit: Ne dis pas: Je suis un enfant. Car tu iras vers tous ceux auprès de qui je t'enverrai, et tu diras tout ce que je t'ordonnerai.
Voici, je t'établis en ce jour sur tout le pays comme une ville forte, une colonne de fer et un mur d'airain, contre les rois de Juda, contre ses chefs, contre ses sacrificateurs, et contre le peuple du pays.
Je vous ai fait venir dans un pays semblable à un verger, Pour que vous en mangiez les fruits et les meilleures productions; Mais vous êtes venus, et vous avez souillé mon pays, Et vous avez fait de mon héritage une abomination.
Passez aux îles de Kittim, et regardez! Envoyez quelqu'un à Kédar, observez bien, Et regardez s'il y a rien de semblable!
Car mon peuple a commis un double péché: Ils m'ont abandonné, moi qui suis une source d'eau vive, Pour se creuser des citernes, des citernes crevassées, Qui ne retiennent pas l'eau.
Israël est-il un esclave acheté, ou né dans la maison? Pourquoi donc devient-il une proie?
Comme un voleur est confus lorsqu'il est surpris, Ainsi seront confus ceux de la maison d'Israël, Eux, leurs rois, leurs chefs, Leurs sacrificateurs et leurs prophètes.
En vain ai-je frappé vos enfants; Ils n'ont point eu égard à la correction; Votre glaive a dévoré vos prophètes, Comme un lion destructeur.
Hommes de cette génération, considérez la parole de l'Éternel! Ai-je été pour Israël un désert, Ou un pays d'épaisses ténèbres? Pourquoi mon peuple dit-il: Nous sommes libres, Nous ne voulons pas retourner à toi?
Il dit: Lorsqu'un homme répudie sa femme, Qu'elle le quitte et devient la femme d'un autre, Cet homme retourne-t-il encore vers elle? Le pays même ne serait-il pas souillé? Et toi, tu t'es prostituée à de nombreux amants, Et tu reviendrais à moi! dit l'Éternel.
Par sa criante impudicité Israël a souillé le pays, elle a commis un adultère avec la pierre et le bois.
Va, crie ces paroles vers le septentrion, et dis: Reviens, infidèle Israël! dit l'Éternel. Je ne jetterai pas sur vous un regard sévère; Car je suis miséricordieux, dit l'Éternel, Je ne garde pas ma colère à toujours.
Revenez, enfants rebelles, dit l'Éternel; Car je suis votre maître. Je vous prendrai, un d'une ville, deux d'une famille, Et je vous ramènerai dans Sion.
Je disais: Comment te mettrai-je parmi mes enfants, Et te donnerai-je un pays de délices, Un héritage, le plus bel ornement des nations? Je disais: Tu m'appelleras: Mon père! Et tu ne te détourneras pas de moi.
Car ainsi parle l'Éternel aux hommes de Juda et de Jérusalem: Défrichez-vous un champ nouveau, Et ne semez pas parmi les épines.
Circoncisez-vous pour l'Éternel, circoncisez vos coeurs, Hommes de Juda et habitants de Jérusalem, De peur que ma colère n'éclate comme un feu, Et ne s'enflamme, sans qu'on puisse l'éteindre, A cause de la méchanceté de vos actions.
Élevez une bannière vers Sion, Fuyez, ne vous arrêtez pas! Car je fais venir du septentrion le malheur Et un grand désastre.
En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant souffle des lieux élevés du désert Sur le chemin de la fille de mon peuple, Non pour vanner ni pour nettoyer le grain.
C'est un vent impétueux qui vient de là jusqu'à moi. Maintenant, je prononcerai leur sentence.
Voici, le destructeur s'avance comme les nuées; Ses chars sont comme un tourbillon, Ses chevaux sont plus légers que les aigles. -Malheur à nous, car nous sommes détruits! -
Comme ceux qui gardent un champ, ils entourent Jérusalem, Car elle s'est révoltée contre moi, dit l'Éternel.
On annonce ruine sur ruine, Car tout le pays est ravagé; Mes tentes sont ravagées tout à coup, Mes pavillons en un instant.
Je regarde, et voici, le Carmel est un désert; Et toutes ses villes sont détruites, devant l'Éternel, Devant son ardente colère.
Car j'entends des cris comme ceux d'une femme en travail, Des cris d'angoisse comme dans un premier enfantement. C'est la voix de la fille de Sion; elle soupire, elle étend les mains: Malheureuse que je suis! je succombe sous les meurtriers!
Parcourez les rues de Jérusalem, Regardez, informez-vous, cherchez dans les places, S'il s'y trouve un homme, s'il y en a un Qui pratique la justice, qui s'attache à la vérité, Et je pardonne à Jérusalem.
Éternel, tes yeux n'aperçoivent-ils pas la vérité? Tu les frappes, et ils ne sentent rien; Tu les consumes, et ils ne veulent pas recevoir instruction; Ils prennent un visage plus dur que le roc, Ils refusent de se convertir.
Son carquois est comme un sépulcre ouvert; Ils sont tous des héros.
Si vous dites alors: Pourquoi l'Éternel, notre Dieu, nous fait-il tout cela? Tu leur répondras: Comme vous m'avez abandonné, Et que vous avez servi des dieux étrangers dans votre pays, Ainsi vous servirez des étrangers dans un pays qui n'est pas le vôtre.
Ce peuple a un coeur indocile et rebelle; Ils se révoltent, et s'en vont.
Fuyez, enfants de Benjamin, du milieu de Jérusalem, Sonnez de la trompette à Tekoa, Élevez un signal à Beth Hakkérem! Car on voit venir du septentrion le malheur Et un grand désastre.
Comme un puits fait jaillir ses eaux, Ainsi elle fait jaillir sa méchanceté; Il n'est bruit en son sein que de violence et de ruine; Sans cesse à mes regards s'offrent la douleur et les plaies.
Reçois instruction, Jérusalem, De peur que je ne m'éloigne de toi, Que je ne fasse de toi un désert, Un pays inhabité!
A qui m'adresser, et qui prendre à témoin pour qu'on écoute? Voici, leur oreille est incirconcise, Et ils sont incapables d'être attentifs; Voici, la parole de l'Éternel est pour eux un opprobre, Ils n'y trouvent aucun plaisir.
Qu'ai-je besoin de l'encens qui vient de Séba, Du roseau aromatique d'un pays lointain? Vos holocaustes ne me plaisent point, Et vos sacrifices ne me sont point agréables.
Ainsi parle l'Éternel: Voici, un peuple vient du pays du septentrion, Une grande nation se lève des extrémités de la terre.
Ils portent l'arc et le javelot; Ils sont cruels, sans miséricorde; Leur voix mugit comme la mer; Ils sont montés sur des chevaux, Prêts à combattre comme un seul homme, Contre toi, fille de Sion!
Fille de mon peuple, couvre-toi d'un sac et roule-toi dans la cendre, Prends le deuil comme pour un fils unique, Verse des larmes, des larmes amères! Car le dévastateur vient sur nous à l'improviste.
Je ferai cesser dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem Les cris de réjouissance et les cris d'allégresse, Les chants du fiancé et les chants de la fiancée; Car le pays sera un désert.
Je suis attentif, et j'écoute: Ils ne parlent pas comme ils devraient; Aucun ne se repent de sa méchanceté, Et ne dit: Qu'ai-je fait? Tous reprennent leur course, Comme un cheval qui s'élance au combat.
Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux; Un temps de guérison, et voici la terreur! -
Ils ont la langue tendue comme un arc et lancent le mensonge; Ce n'est pas par la vérité qu'ils sont puissants dans le pays; Car ils vont de méchanceté en méchanceté, Et ils ne me connaissent pas, dit l'Éternel.
Leur langue est un trait meurtrier, Ils ne disent que des mensonges; De la bouche ils parlent de paix à leur prochain, Et au fond du coeur ils lui dressent des pièges.
Je ferai de Jérusalem un monceau de ruines, un repaire de chacals, Et je réduirai les villes de Juda en un désert sans habitants. -
Où est l'homme sage qui comprenne ces choses? Qu'il le dise, celui à qui la bouche de l'Éternel a parlé! Pourquoi le pays est-il détruit, Brûlé comme un désert où personne ne passe?
Mais l'Éternel est Dieu en vérité, Il est un Dieu vivant et un roi éternel; La terre tremble devant sa colère, Et les nations ne supportent pas sa fureur.
Voici, une rumeur se fait entendre; C'est un grand tumulte qui vient du septentrion, Pour réduire les villes de Juda en un désert, En un repaire de chacals. -
Et j'accomplirai le serment que j'ai fait à vos pères, De leur donner un pays où coulent le lait et le miel, Comme vous le voyez aujourd'hui. -Et je répondis: Amen, Éternel!
Olivier verdoyant, remarquable par la beauté de son fruit, Tel est le nom que t'avait donné l'Éternel; Au bruit d'un grand fracas, il l'embrase par le feu, Et ses rameaux sont brisés.
J'étais comme un agneau familier qu'on mène à la boucherie, Et j'ignorais les mauvais desseins qu'ils méditaient contre moi: Détruisons l'arbre avec son fruit! Retranchons-le de la terre des vivants, Et qu'on ne se souvienne plus de son nom! -
Mais l'Éternel des armées est un juste juge, Qui sonde les reins et les coeurs. Je verrai ta vengeance s'exercer contre eux, Car c'est à toi que je confie ma cause.
Mon héritage a été pour moi comme un lion dans la forêt, Il a poussé contre moi ses rugissements; C'est pourquoi je l'ai pris en haine.
Mon héritage a été pour moi un oiseau de proie, une hyène; Aussi les oiseaux de proie viendront de tous côtés contre lui. Allez, rassemblez tous les animaux des champs, Faites-les venir pour qu'ils le dévorent!
Des bergers nombreux ravagent ma vigne, Ils foulent mon champ; Ils réduisent le champ de mes délices En un désert, en une solitude.
Ils le réduisent en un désert; Il est en deuil, il est désolé devant moi. Tout le pays est ravagé, Car nul n'y prend garde.
Sur tous les lieux élevés du désert arrivent les dévastateurs, Car le glaive de l'Éternel dévore le pays d'un bout à l'autre; Il n'y a de paix pour aucun homme.
Prends la ceinture que tu as achetée, et qui est sur tes reins; lève-toi, va vers l'Euphrate, et là, cache-la dans la fente d'un rocher.
Car comme on attache la ceinture aux reins d'un homme, Ainsi je m'étais attaché toute la maison d'Israël Et toute la maison de Juda, dit l'Éternel, Afin qu'elles fussent mon peuple, Mon nom, ma louange, et ma gloire. Mais ils ne m'ont point écouté.
Un Éthiopien peut-il changer sa peau, Et un léopard ses taches? De même, pourriez-vous faire le bien, Vous qui êtes accoutumés à faire le mal?
Toi qui es l'espérance d'Israël, Son sauveur au temps de la détresse, Pourquoi serais-tu comme un étranger dans le pays, Comme un voyageur qui y entre pour passer la nuit?
Pourquoi serais-tu comme un homme stupéfait, Comme un héros incapable de nous secourir? Tu es pourtant au milieu de nous, ô Éternel, Et ton nom est invoqué sur nous: Ne nous abandonne pas!
Dis-leur cette parole: Les larmes coulent de mes yeux nuit et jour, Et elles ne s'arrêtent pas; Car la vierge, fille de mon peuple, a été frappée d'un grand coup, D'une plaie très douloureuse.
As-tu donc rejeté Juda, Et ton âme a-t-elle pris Sion en horreur? Pourquoi nous frappes-tu Sans qu'il y ait pour nous de guérison? Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux, Un temps de guérison, et voici la terreur!
Je les rendrai un objet d'effroi pour tous les royaumes de la terre, A cause de Manassé, fils d'Ézéchias, roi de Juda, Et de tout ce qu'il a fait dans Jérusalem.
L'Éternel dit: Certes, tu auras un avenir heureux; Certes, je forcerai l'ennemi à t'adresser ses supplications, Au temps du malheur et au temps de la détresse.
Je te fais passer avec ton ennemi dans un pays que tu ne connais pas, Car le feu de ma colère s'est allumé, Il brûle sur vous.
On ne rompra pas le pain dans le deuil Pour consoler quelqu'un au sujet d'un mort, Et l'on n'offrira pas la coupe de consolation Pour un père ou pour une mère.
Je vous transporterai de ce pays Dans un pays que vous n'avez point connu, Ni vous, ni vos pères; Et là, vous servirez les autres dieux jour et nuit, Car je ne vous accorderai point de grâce.
Le péché de Juda est écrit avec un burin de fer, Avec une pointe de diamant; Il est gravé sur la table de leur coeur, Et sur les cornes de vos autels.
Tu perdras par ta faute l'héritage que je t'avais donné; Je t'asservirai à ton ennemi dans un pays que tu ne connais pas; Car vous avez allumé le feu de ma colère, Et il brûlera toujours.
Il est comme un misérable dans le désert, Et il ne voit point arriver le bonheur; Il habite les lieux brûlés du désert, Une terre salée et sans habitants.
Il est comme un arbre planté près des eaux, Et qui étend ses racines vers le courant; Il n'aperçoit point la chaleur quand elle vient, Et son feuillage reste vert; Dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, Et il ne cesse de porter du fruit.
Comme une perdrix qui couve des oeufs qu'elle n'a point pondus, Tel est celui qui acquiert des richesses injustement; Au milieu de ses jours il doit les quitter, Et à la fin il n'est qu'un insensé.
Il est un trône de gloire, élevé dès le commencement, C'est le lieu de notre sanctuaire.
Ne sois pas pour moi un sujet d'effroi, Toi, mon refuge au jour du malheur!
Mais si vous n'écoutez pas quand je vous ordonne De sanctifier le jour du sabbat, De ne porter aucun fardeau, De ne point en introduire par les portes de Jérusalem le jour du sabbat, Alors j'allumerai un feu aux portes de la ville, Et il dévorera les palais de Jérusalem et ne s'éteindra point.
Je descendis dans la maison du potier, Et voici, il travaillait sur un tour.
Le vase qu'il faisait ne réussit pas, Comme il arrive à l'argile dans la main du potier; Il en refit un autre vase, Tel qu'il trouva bon de le faire.
Soudain je parle, sur une nation, sur un royaume, D'arracher, d'abattre et de détruire;
Et soudain je parle, sur une nation, sur un royaume, De bâtir et de planter;
Parle maintenant aux hommes de Juda et aux habitants de Jérusalem, et dis: Ainsi parle l'Éternel: Voici, je prépare contre vous un malheur, Je médite un projet contre vous. Revenez chacun de votre mauvaise voie, Réformez vos voies et vos oeuvres!
Ils ont fait de leur pays, un objet de désolation, d'éternelle moquerie; Tous ceux qui y passent sont stupéfaits et secouent la tête.
Ainsi a parlé l'Éternel: Va, achète d'un potier un vase de terre, et prends avec toi des anciens du peuple et des anciens des sacrificateurs.
Tu diras: Écoutez la parole de l'Éternel, rois de Juda, et vous, habitants de Jérusalem! Ainsi parle l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël: Voici, je vais faire venir sur ce lieu un malheur Qui étourdira les oreilles de quiconque en entendra parler.
Je ferai de cette ville un objet de désolation et de moquerie; Tous ceux qui passeront près d'elle Seront dans l'étonnement et siffleront sur toutes ses plaies.
Et tu leur diras: Ainsi parle l'Éternel des armées: C'est ainsi que je briserai ce peuple et cette ville, Comme on brise un vase de potier, Sans qu'il puisse être rétabli. Et l'on enterrera les morts à Topheth par défaut de place pour enterrer.
Tu m'as persuadé, Éternel, et je me suis laissé persuader; Tu m'as saisi, tu m'as vaincu. Et je suis chaque jour un objet de raillerie, Tout le monde se moque de moi.
Car toutes les fois que je parle, il faut que je crie, Que je crie à la violence et à l'oppression! Et la parole de l'Éternel est pour moi Un sujet d'opprobre et de risée chaque jour.
Si je dis: Je ne ferai plus mention de lui, Je ne parlerai plus en son nom, Il y a dans mon coeur comme un feu dévorant Qui est renfermé dans mes os. Je m'efforce de le contenir, et je ne le puis.
Mais l'Éternel est avec moi comme un héros puissant; C'est pourquoi mes persécuteurs chancellent et n'auront pas le dessus; Ils seront remplis de confusion pour n'avoir pas réussi: Ce sera une honte éternelle qui ne s'oubliera pas.
Maudit soit l'homme qui porta cette nouvelle à mon père: Il t'est né un enfant mâle, Et qui le combla de joie!
Consulte pour nous l'Éternel; car Nebucadnetsar, roi de Babylone, nous fait la guerre; peut-être l'Éternel fera-t-il en notre faveur quelqu'un de ses miracles, afin qu'il s'éloigne de nous.
Maison de David! Ainsi parle l'Éternel: Rendez la justice dès le matin, Et délivrez l'opprimé des mains de l'oppresseur, De peur que ma colère n'éclate comme un feu, Et ne s'enflamme, sans qu'on puisse l'éteindre, A cause de la méchanceté de vos actions.
Car ainsi parle l'Éternel sur la maison du roi de Juda: Tu es pour moi comme Galaad, comme le sommet du Liban; Mais certes, je ferai de toi un désert, Une ville sans habitants.
Mais tu n'as des yeux et un coeur Que pour te livrer à la cupidité, Pour répandre le sang innocent, Et pour exercer l'oppression et la violence.
Il aura la sépulture d'un âne, Il sera traîné et jeté hors des portes de Jérusalem.
Je suis vivant! dit l'Éternel, Quand Jeconia, fils de Jojakim, roi de Juda, serait Un anneau à ma main droite, Je t'arracherais de là.
Je te jetterai, toi et ta mère qui t'a enfanté, Dans un autre pays où vous n'êtes pas nés, Et là vous mourrez;
Est-il donc un vase méprisé, brisé, ce Jeconia? Est-il un objet auquel on n'attache aucun prix? Pourquoi sont-ils jetés, lui et sa postérité, Lancés dans un pays qu'ils ne connaissent pas? -
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