13433 occurences en traduction 1

'La' dans la Bible

Écoutez donc la parole de l'Éternel, moqueurs, Vous qui dominez sur ce peuple de Jérusalem!

Vous dites: Nous avons fait une alliance avec la mort, Nous avons fait un pacte avec le séjour des morts; Quand le fléau débordé passera, il ne nous atteindra pas, Car nous avons la fausseté pour refuge et le mensonge pour abri.

Je ferai de la droiture une règle, Et de la justice un niveau; Et la grêle emportera le refuge de la fausseté, Et les eaux inonderont l'abri du mensonge.

Votre alliance avec la mort sera détruite, Votre pacte avec le séjour des morts ne subsistera pas; Quand le fléau débordé passera, Vous serez par lui foulés aux pieds.

Chaque fois qu'il passera, il vous saisira; Car il passera tous les matins, le jour et la nuit, Et son bruit seul donnera l'épouvante.

Le lit sera trop court pour s'y étendre, Et la couverture trop étroite pour s'en envelopper.

Car l'Éternel se lèvera comme à la montagne de Peratsim, Il s'irritera comme dans la vallée de Gabaon, Pour faire son oeuvre, son oeuvre étrange, Pour exécuter son travail, son travail inouï.

Maintenant, ne vous livrez point à la moquerie, De peur que vos liens ne soient resserrés; Car la destruction de tout le pays est résolue; Je l'ai appris du Seigneur, de l'Éternel des armées.

N'est-ce pas après en avoir aplani la surface Qu'il répand de la nielle et sème du cumin; Qu'il met le froment par rangées, L'orge à une place marquée, Et l'épeautre sur les bords?

On ne foule pas la nielle avec le traîneau, Et la roue du chariot ne passe pas sur le cumin; Mais on bat la nielle avec le bâton, Et le cumin avec la verge.

On bat le blé, Mais on ne le bat pas toujours; On y pousse la roue du chariot et les chevaux, Mais on ne l'écrase pas.

Puis j'assiégerai Ariel; Il y aura des plaintes et des gémissements; Et la ville sera pour moi comme un Ariel.

Tu seras abaissée, ta parole viendra de terre, Et les sons en seront étouffés par la poussière; Ta voix sortira de terre comme celle d'un spectre, Et c'est de la poussière que tu murmureras tes discours.

La multitude de tes ennemis sera comme une fine poussière, Cette multitude de guerriers sera comme la balle qui vole, Et cela tout à coup, en un instant.

C'est de l'Éternel des armées que viendra le châtiment, Avec des tonnerres, des tremblements de terre et un bruit formidable, Avec l'ouragan et la tempête, Et avec la flamme d'un feu dévorant.

Et, comme il en est d'un songe, d'une vision nocturne, Ainsi en sera-t-il de la multitude des nations qui combattront Ariel, De tous ceux qui l'attaqueront, elle et sa forteresse, Et qui la serreront de près.

Comme celui qui a faim rêve qu'il mange, Puis s'éveille, l'estomac vide, Et comme celui qui a soif rêve qu'il boit, Puis s'éveille, épuisé et languissant; Ainsi en sera-t-il de la multitude des nations Qui viendront attaquer la montagne de Sion.

Toute la révélation est pour vous comme les mots d'un livre cacheté Que l'on donne à un homme qui sait lire, en disant: Lis donc cela! Et qui répond: Je ne le puis, Car il est cacheté;

C'est pourquoi je frapperai encore ce peuple Par des prodiges et des miracles; Et la sagesse de ses sages périra, Et l'intelligence de ses hommes intelligents disparaîtra.

Quelle perversité est la vôtre! Le potier doit-il être considéré comme de l'argile, Pour que l'ouvrage dise de l'ouvrier: Il ne m'a point fait? Pour que le vase dise du potier: Il n'a point d'intelligence?

En ce jour-là, les sourds entendront les paroles du livre; Et, délivrés de l'obscurité et des ténèbres, Les yeux des aveugles verront.

Ceux qui condamnaient les autres en justice, Tendaient des pièges à qui défendait sa cause à la porte, Et violaient par la fraude les droits de l'innocent.

C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel à la maison de Jacob, Lui qui a racheté Abraham: Maintenant Jacob ne rougira plus, Maintenant son visage ne pâlira plus.

Qui descendent en Égypte sans me consulter, Pour se réfugier sous la protection de Pharaon, Et chercher un abri sous l'ombre de l'Égypte!

La protection de Pharaon sera pour vous une honte, Et l'abri sous l'ombre de l'Égypte une ignominie.

Sentence des bêtes du midi: A travers une contrée de détresse et d'angoisse, D'où viennent la lionne et le lion, La vipère et le dragon volant, Ils portent à dos d'ânes leurs richesses, Et sur la bosse des chameaux leurs trésors, A un peuple qui ne leur sera point utile.

Car c'est un peuple rebelle, Ce sont des enfants menteurs, Des enfants qui ne veulent point écouter la loi de l'Éternel,

C'est pourquoi ainsi parle le Saint d'Israël: Puisque vous rejetez cette parole, Que vous vous confiez dans la violence et dans les détours Et que vous les prenez pour appuis,

Il se brise comme se brise un vase de terre, Que l'on casse sans ménagement, Et dont les débris ne laissent pas un morceau Pour prendre du feu au foyer, Ou pour puiser de l'eau à la citerne.

Vous avez dit: Non! nous prendrons la course à cheval! -C'est pourquoi vous fuirez à la course. -Nous monterons des coursiers légers! -C'est pourquoi ceux qui vous poursuivront seront légers.

Mille fuiront à la menace d'un seul, Et, à la menace de cinq, vous fuirez, Jusqu'à ce que vous restiez Comme un signal au sommet de la montagne, Comme un étendard sur la colline.

Alors il répandra la pluie sur la semence que tu auras mise en terre, Et le pain que produira la terre sera savoureux et nourrissant; En ce même temps, tes troupeaux paîtront dans de vastes pâturages.

Les boeufs et les ânes, qui labourent la terre, Mangeront un fourrage salé, Qu'on aura vanné avec la pelle et le van.

Sur toute haute montagne et sur toute colline élevée, Il y aura des ruisseaux, des courants d'eau, Au jour du grand carnage, A la chute des tours.

La lumière de la lune sera comme la lumière du soleil, Et la lumière du soleil sera sept fois plus grande (Comme la lumière de sept jours), Lorsque l'Éternel bandera la blessure de son peuple, Et qu'il guérira la plaie de ses coups.

Son souffle est comme un torrent débordé qui atteint jusqu'au cou, Pour cribler les nations avec le crible de la destruction, Et comme un mors trompeur Entre les mâchoires des peuples.

Vous chanterez comme la nuit où l'on célèbre la fête, Vous aurez le coeur joyeux comme celui qui marche au son de la flûte, Pour aller à la montagne de l'Éternel, vers le rocher d'Israël.

Et l'Éternel fera retentir sa voix majestueuse, Il montrera son bras prêt à frapper, Dans l'ardeur de sa colère, Au milieu de la flamme d'un feu dévorant, De l'inondation, de la tempête et des pierres de grêle.

A la voix de l'Éternel, l'Assyrien tremblera; L'Éternel le frappera de sa verge.

A chaque coup de la verge qui lui est destinée, Et que l'Éternel fera tomber sur lui, On entendra les tambourins et les harpes; L'Éternel combattra contre lui à main levée.

Lui aussi, cependant, il est sage, il fait venir le malheur, Et ne retire point ses paroles; Il s'élève contre la maison des méchants, Et contre le secours de ceux qui commettent l'iniquité.

Car ainsi m'a parlé l'Éternel: Comme le lion, comme le lionceau rugit sur sa proie, Et, malgré tous les bergers rassemblés contre lui, Ne se laisse ni effrayer par leur voix, Ni intimider par leur nombre; De même l'Éternel des armées descendra Pour combattre sur la montagne de Sion et sur sa colline.

Son rocher s'enfuira d'épouvante, Et ses chefs trembleront devant la bannière, Dit l'Éternel, qui a son feu dans Sion Et sa fournaise dans Jérusalem.

Alors le roi régnera selon la justice, Et les princes gouverneront avec droiture.

Chacun sera comme un abri contre le vent, Et un refuge contre la tempête, Comme des courants d'eau dans un lieu desséché, Comme l'ombre d'un grand rocher dans une terre altérée.

Le coeur des hommes légers sera intelligent pour comprendre, Et la langue de ceux qui balbutient parlera vite et nettement.

Les armes du fourbe sont pernicieuses; Il forme de coupables desseins, Pour perdre les malheureux par des paroles mensongères, Même quand la cause du pauvre est juste.

Dans un an et quelques jours, Vous tremblerez, indolentes; Car c'en est fait de la vendange, La récolte n'arrivera pas.

On se frappe le sein, Au souvenir de la beauté des champs Et de la fécondité des vignes.

Sur la terre de mon peuple Croissent les épines et les ronces, Même dans toutes les maisons de plaisance De la cité joyeuse.

Le palais est abandonné, La ville bruyante est délaissée; La colline et la tour serviront à jamais de cavernes; Les ânes sauvages y joueront, les troupeaux y paîtront,

Alors la droiture habitera dans le désert, Et la justice aura sa demeure dans le verger.

Mais la forêt sera précipitée sous la grêle, Et la ville profondément abaissée.

On moissonne votre butin, Comme moissonne la sauterelle; On se précipite dessus, Comme se précipitent les sauterelles.

Le pays est dans le deuil, dans la tristesse; Le Liban est confus, languissant; Le Saron est comme un désert; Le Basan et le Carmel secouent leur feuillage.

Vous avez conçu du foin, Vous enfanterez de la paille; Votre souffle, C'est un feu qui vous consumera.

Celui qui marche dans la justice, Et qui parle selon la droiture, Qui méprise un gain acquis par extorsion, Qui secoue les mains pour ne pas accepter un présent, Qui ferme l'oreille pour ne pas entendre des propos sanguinaires, Et qui se bande les yeux pour ne pas voir le mal,

Celui-là habitera dans des lieux élevés; Des rochers fortifiés seront sa retraite; Du pain lui sera donné, De l'eau lui sera assurée.

Ton coeur se souviendra de la terreur: Où est le secrétaire, où est le trésorier? Où est celui qui inspectait les tours?

Tu ne verras plus le peuple audacieux, Le peuple au langage obscur qu'on n'entend pas, A la langue barbare qu'on ne comprend pas.

Regarde Sion, la cité de nos fêtes! Tes yeux verront Jérusalem, séjour tranquille, Tente qui ne sera plus transportée, Dont les pieux ne seront jamais enlevés, Et dont les cordages ne seront point détachés.

C'est là vraiment que l'Éternel est magnifique pour nous: Il nous tient lieu de fleuves, de vastes rivières, Où ne pénètrent point de navires à rames, Et que ne traverse aucun grand vaisseau.

Tes cordages sont relâchés; Ils ne serrent plus le pied du mât et ne tendent plus les voiles. Alors on partage la dépouille d'un immense butin; Les boiteux même prennent part au pillage:

Approchez, nations, pour entendre! Peuples, soyez attentifs! Que la terre écoute, elle et ce qui la remplit, Le monde et tout ce qu'il produit!

Car la colère de l'Éternel va fondre sur toutes les nations, Et sa fureur sur toute leur armée: Il les voue à l'extermination, Il les livre au carnage.

Leurs morts sont jetés, Leurs cadavres exhalent la puanteur, Et les montagnes se fondent dans leur sang.

Toute l'armée des cieux se dissout; Les cieux sont roulés comme un livre, Et toute leur armée tombe, Comme tombe la feuille de la vigne, Comme tombe celle du figuier.

L'épée de l'Éternel est pleine de sang, couverte de graisse, Du sang des agneaux et des boucs, De la graisse des reins des béliers; Car il y a des victimes de l'Éternel à Botsra, Et un grand carnage dans le pays d'Édom,

Les buffles tombent avec eux, Et les boeufs avec les taureaux; La terre s'abreuve de sang, Et le sol est imprégné de graisse.

Car c'est un jour de vengeance pour l'Éternel, Une année de représailles pour la cause de Sion.

Les torrents d'Édom seront changés en poix, Et sa poussière en soufre; Et sa terre sera comme de la poix qui brûle.

Elle ne s'éteindra ni jour ni nuit, La fumée s'en élèvera éternellement; D'âge en âge elle sera désolée, A tout jamais personne n'y passera.

Le pélican et le hérisson la posséderont, La chouette et le corbeau l'habiteront. On y étendra le cordeau de la désolation, Et le niveau de la destruction.

Les épines croîtront dans ses palais, Les ronces et les chardons dans ses forteresses. Ce sera la demeure des chacals, Le repaire des autruches;

Les animaux du désert y rencontreront les chiens sauvages, Et les boucs s'y appelleront les uns les autres; Là le spectre de la nuit aura sa demeure, Et trouvera son lieu de repos;

Là le serpent fera son nid, déposera ses oeufs, Les couvera, et recueillera ses petits à son ombre; Là se rassembleront tous les vautours.

Il a jeté pour eux le sort, Et sa main leur a partagé cette terre au cordeau, Ils la posséderont toujours, Ils l'habiteront d'âge en âge. 

Elle se couvrira de fleurs, et tressaillira de joie, Avec chants d'allégresse et cris de triomphe; La gloire du Liban lui sera donnée, La magnificence du Carmel et de Saron. Ils verront la gloire de l'Éternel, la magnificence de notre Dieu.

Alors le boiteux sautera comme un cerf, Et la langue du muet éclatera de joie. Car des eaux jailliront dans le désert, Et des ruisseaux dans la solitude;

Le mirage se changera en étang Et la terre desséchée en sources d'eaux; Dans le repaire qui servait de gîte aux chacals, Croîtront des roseaux et des joncs.

Sur cette route, point de lion; Nulle bête féroce ne la prendra, Nulle ne s'y rencontrera; Les délivrés y marcheront.

La quatorzième année du roi Ézéchias, Sanchérib, roi d'Assyrie, monta contre toutes les villes fortes de Juda et s'en empara.

Alors Éliakim, fils de Hilkija, chef de la maison du roi, se rendit auprès de lui, avec Schebna, le secrétaire, et Joach, fils d'Asaph, l'archiviste.

Je te le dis, ce ne sont que des paroles en l'air: il faut pour la guerre de la prudence et de la force. En qui donc as-tu placé ta confiance, pour t'être révolté contre moi?

Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque s'appuie dessus: tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui.

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