'La' dans la Bible
On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
Écoutons la fin du discours: Crains Dieu et observe ses commandements. C'est là ce que doit faire tout homme.
Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur coeur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin.
Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil?
Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain.
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.
Car, s'il y a des vanités dans la multitude des songes, il y en a aussi dans beaucoup de paroles; c'est pourquoi, crains Dieu.
Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à ce que je visse ce qu'il est bon pour les fils de l'homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie.
J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.
J'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent.
Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et la violation du droit et de la justice, ne t'en étonne point; car un homme élevé est placé sous la surveillance d'un autre plus élevé, et au-dessus d'eux il en est de plus élevés encore.
Car à l'ombre de la sagesse on est abrité comme à l'ombre de l'argent; mais un avantage de la science, c'est que la sagesse fait vivre ceux qui la possèdent.
Les paroles de la bouche du sage sont pleines de grâce; mais les lèvres de l'insensé causent sa perte.
Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise.
La sagesse vaut autant qu'un héritage, et même plus pour ceux qui voient le soleil.
Alors j'ai vu des méchants recevoir la sépulture et entrer dans leur repos, et ceux qui avaient agi avec droiture s'en aller loin du lieu saint et être oubliés dans la ville. C'est encore là une vanité.
un temps pour aimer, et un temps pour haïr; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix.
J'ai donc loué la joie, parce qu'il n'y a de bonheur pour l'homme sous le soleil qu'à manger et à boire et à se réjouir; c'est là ce qui doit l'accompagner au milieu de son travail, pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil.
J'ai considéré ensuite toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil; et voici, les opprimés sont dans les larmes, et personne qui les console! ils sont en butte à la violence de leurs oppresseurs, et personne qui les console!
Il s'y trouvait un homme pauvre et sage, qui sauva la ville par sa sagesse. Et personne ne s'est souvenu de cet homme pauvre.
J'ai dit en mon coeur: Dieu jugera le juste et le méchant; car il y a là un temps pour toute chose et pour toute oeuvre.
Cependant, quoique le pécheur fasse cent fois le mal et qu'il y persévère longtemps, je sais aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu, parce qu'ils ont de la crainte devant lui.
Et j'ai haï la vie, car ce qui se fait sous le soleil m'a déplu, car tout est vanité et poursuite du vent.
Ne maudis pas le roi, même dans ta pensée, et ne maudis pas le riche dans la chambre où tu couches; car l'oiseau du ciel emporterait ta voix, l'animal ailé publierait tes paroles.
Heureux toi, pays dont le roi est de race illustre, et dont les princes mangent au temps convenable, pour soutenir leurs forces, et non pour se livrer à la boisson!
Lorsque j'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse et à considérer les choses qui se passent sur la terre, -car les yeux de l'homme ne goûtent le sommeil ni jour ni nuit,
Il est une vanité qui a lieu sur la terre: c'est qu'il y a des justes auxquels il arrive selon l'oeuvre des méchants, et des méchants auxquels il arrive selon l'oeuvre des justes. Je dis que c'est encore là une vanité.
Oui, j'ai appliqué mon coeur à tout cela, j'ai fait de tout cela l'objet de mon examen, et j'ai vu que les justes et les sages, et leurs travaux, sont dans la main de Dieu, et l'amour aussi bien que la haine; les hommes ne savent rien: tout est devant eux.
Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés; je n'ai refusé à mon coeur aucune joie; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue.
J'ai haï tout le travail que j'ai fait sous le soleil, et dont je dois laisser la jouissance à l'homme qui me succédera.
Quand les mains sont paresseuses, la charpente s'affaisse; et quand les mains sont lâches, la maison a des gouttières.
Mais le bonheur n'est pas pour le méchant, et il ne prolongera point ses jours, pas plus que l'ombre, parce qu'il n'a pas de la crainte devant Dieu.
Et j'ai dit: La sagesse vaut mieux que la force. Cependant la sagesse du pauvre est méprisée, et ses paroles ne sont pas écoutées.
Il n'y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
La sagesse rend le sage plus fort que dix chefs qui sont dans une ville.
temps où les gardiens de la maison tremblent, où les hommes forts se courbent, où celles qui moulent s'arrêtent parce qu'elles sont diminuées, où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis,
Ce que les yeux voient est préférable à l'agitation des désirs: c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
où les deux battants de la porte se ferment sur la rue quand s'abaisse le bruit de la meule, où l'on se lève au chant de l'oiseau, où s'affaiblissent toutes les filles du chant,
Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une méchante folie.
Et j'ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le coeur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par elle.
Qui sait si le souffle des fils de l'homme monte en haut, et si le souffle de la bête descend en bas dans la terre?
où l'on redoute ce qui est élevé, où l'on a des terreurs en chemin, où l'amandier fleurit, où la sauterelle devient pesante, et où la câpre n'a plus d'effet, car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle, et les pleureurs parcourent les rues;
C'est encore là un mal grave. Il s'en va comme il était venu; et quel avantage lui revient-il d'avoir travaillé pour du vent?
je me créai des étangs, pour arroser la forêt où croissaient les arbres.
J'ai encore vu sous le soleil qu'au lieu établi pour juger il y a de la méchanceté, et qu'au lieu établi pour la justice il y a de la méchanceté.
J'ai dit en mon coeur: Allons! je t'éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c'est encore là une vanité.
Alors j'ai tourné mes regards vers la sagesse, et vers la sottise et la folie. -Car que fera l'homme qui succédera au roi? Ce qu'on a déjà fait.
avant que s'obscurcissent le soleil et la lumière, la lune et les étoiles, et que les nuages reviennent après la pluie,
Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras;
avant que le cordon d'argent se détache, que le vase d'or se brise, que le seau se rompe sur la source, et que la roue se casse sur la citerne;
Outre que l'Ecclésiaste fut un sage, il a encore enseigné la science au peuple, et il a examiné, sondé, mis en ordre un grand nombre de sentences.
mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c'est là un don de Dieu.
Le travail de l'insensé le fatigue, parce qu'il ne sait pas aller à la ville.
On fait des repas pour se divertir, le vin rend la vie joyeuse, et l'argent répond à tout.
Les mouches mortes infectent et font fermenter l'huile du parfumeur; un peu de folie l'emporte sur la sagesse et sur la gloire.
J'achetai des serviteurs et des servantes, et j'eus leurs enfants nés dans la maison; je possédai des troupeaux de boeufs et de brebis, plus que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem.
Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous le soleil.
Jeune homme, réjouis-toi dans ta jeunesse, livre ton coeur à la joie pendant les jours de ta jeunesse, marche dans les voies de ton coeur et selon les regards de tes yeux; mais sache que pour tout cela Dieu t'appellera en jugement.
Comme tu ne sais pas quel est le chemin du vent, ni comment se forment les os dans le ventre de la femme enceinte, tu ne connais pas non plus l'oeuvre de Dieu qui fait tout.
Il n'y a de bonheur pour l'homme qu'à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail; mais j'ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu.
Tout va dans un même lieu; tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière.
le sage a ses yeux à la tête, et l'insensé marche dans les ténèbres. Mais j'ai reconnu aussi qu'ils ont l'un et l'autre un même sort.
Car il donne à l'homme qui lui est agréable la sagesse, la science et la joie; mais il donne au pécheur le soin de recueillir et d'amasser, afin de donner à celui qui est agréable à Dieu. C'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
La lumière est douce, et il est agréable aux yeux de voir le soleil.
Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d'aller dans une maison de festin; car c'est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à coeur.
Ne te presse pas d'ouvrir la bouche, et que ton coeur ne se hâte pas d'exprimer une parole devant Dieu; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre: que tes paroles soient donc peu nombreuses.
Que revient-il, en effet, à l'homme de tout son travail et de la préoccupation de son coeur, objet de ses fatigues sous le soleil?
Voici ce que j'ai vu: c'est pour l'homme une chose bonne et belle de manger et de boire, et de jouir du bien-être au milieu de tout le travail qu'il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés; car c'est là sa part.
Et j'ai vu que la sagesse a de l'avantage sur la folie, comme la lumière a de l'avantage sur les ténèbres;
Et j'ai vu qu'il n'y a rien de mieux pour l'homme que de se réjouir de ses oeuvres: c'est là sa part. Car qui le fera jouir de ce qui sera après lui?
Bannis de ton coeur le chagrin, et éloigne le mal de ton corps; car la jeunesse et l'aurore sont vanité.
donnes-en une part à sept et même à huit, car tu ne sais pas quel malheur peut arriver sur la terre.
Car la mémoire du sage n'est pas plus éternelle que celle de l'insensé, puisque déjà les jours qui suivent, tout est oublié. Eh quoi! le sage meurt aussi bien que l'insensé!
Qui est comme le sage, et qui connaît l'explication des choses? La sagesse d'un homme fait briller son visage, et la sévérité de sa face est changée.
Quand les nuages sont pleins de pluie, ils la répandent sur la terre; et si un arbre tombe, au midi ou au nord, il reste à la place où il est tombé.
Et j'ai dit en mon coeur: J'aurai le même sort que l'insensé; pourquoi donc ai-je été plus sage? Et j'ai dit en mon coeur que c'est encore là une vanité.
J'ai dit du rire: Insensé! et de la joie: A quoi sert-elle?
Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s'il l'a rendu maître d'en manger, d'en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu.
Car, si les songes naissent de la multitude des occupations, la voix de l'insensé se fait entendre dans la multitude des paroles.
J'ai vu que tout travail et toute habileté dans le travail n'est que jalousie de l'homme à l'égard de son prochain. C'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
S'il a émoussé le fer, et s'il n'en a pas aiguisé le tranchant, il devra redoubler de force; mais la sagesse a l'avantage du succès.
L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.
Car tel homme a travaillé avec sagesse et science et avec succès, et il laisse le produit de son travail à un homme qui ne s'en est point occupé. C'est encore là une vanité et un grand mal.
Je me suis appliqué dans mon coeur à connaître, à sonder, et à chercher la sagesse et la raison des choses, et à connaître la folie de la méchanceté et la stupidité de la sottise.
la folie occupe des postes très élevés, et des riches sont assis dans l'abaissement.
Jouis de la vie avec la femme que tu aimes, pendant tous les jours de ta vie de vanité, que Dieu t'a donnés sous le soleil, pendant tous les jours de ta vanité; car c'est ta part dans la vie, au milieu de ton travail que tu fais sous le soleil.
J'ai éprouvé tout cela par la sagesse. J'ai dit: Je serai sage. Et la sagesse est restée loin de moi.
Tous ses jours ne sont que douleur, et son partage n'est que chagrin; même la nuit son coeur ne repose pas. C'est encore là une vanité.
Mieux vaut entendre la réprimande du sage que d'entendre le chant des insensés.
Car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie, parce que Dieu répand la joie dans son coeur.
Et qui sait s'il sera sage ou insensé? Cependant il sera maître de tout mon travail, de tout le fruit de ma sagesse sous le soleil. C'est encore là une vanité.
La sagesse vaut mieux que les instruments de guerre; mais un seul pécheur détruit beaucoup de bien.
Car qui sait ce qui est bon pour l'homme dans la vie, pendant le nombre des jours de sa vie de vanité, qu'il passe comme une ombre? Et qui peut dire à l'homme ce qui sera après lui sous le soleil?
Voici ce que j'ai trouvé, dit l'Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison;
Le coeur des sages est dans la maison de deuil, et le coeur des insensés dans la maison de joie.
Ceci est un mal parmi tout ce qui se fait sous le soleil, c'est qu'il y a pour tous un même sort; aussi le coeur des fils de l'homme est-il plein de méchanceté, et la folie est dans leur coeur pendant leur vie; après quoi, ils vont chez les morts. Car, qui est excepté?
avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l'esprit retourne à Dieu qui l'a donné.
Car comme le bruit des épines sous la chaudière, ainsi est le rire des insensés. C'est encore là une vanité.
parce que la parole du roi est puissante; et qui lui dira: Que fais-tu?
Il y a tel homme à qui Dieu a donné des richesses, des biens, et de la gloire, et qui ne manque pour son âme de rien de ce qu'il désire, mais que Dieu ne laisse pas maître d'en jouir, car c'est un étranger qui en jouira. C'est là une vanité et un mal grave.
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