'Tous' dans la Bible

Il possédait sept mille brebis, trois mille chameaux, cinq cents paires de boeufs, cinq cents ânesses, et un très grand nombre de serviteurs. Et cet homme était le plus considérable de tous les fils de l'Orient.

Trois amis de Job, Éliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler!

Les captifs sont tous en paix, Ils n'entendent pas la voix de l'oppresseur;

Je fus saisi de frayeur et d'épouvante, Et tous mes os tremblèrent.

Un esprit passa près de moi... Tous mes cheveux se hérissèrent...

Pour que tu le visites tous les matins, Pour que tu l'éprouves à tous les instants?

Ainsi arrive-t-il à tous ceux qui oublient Dieu, Et l'espérance de l'impie périra.

Car vous, vous n'imaginez que des faussetés, Vous êtes tous des médecins de néant.

Pourquoi mettre mes pieds dans les ceps, Surveiller tous mes mouvements, Tracer une limite à mes pas,

Le méchant passe dans l'angoisse tous les jours de sa vie, Toutes les années qui sont le partage de l'impie.

J'ai souvent entendu pareilles choses; Vous êtes tous des consolateurs fâcheux.

Ils ouvrent la bouche pour me dévorer, Ils m'insultent et me frappent les joues, Ils s'acharnent tous après moi.

Mon oeil est obscurci par la douleur; Tous mes membres sont comme une ombre.

Mais vous tous, revenez à vos mêmes discours, Et je ne trouverai pas un sage parmi vous.

Au milieu de l'abondance il sera dans la détresse; La main de tous les misérables se lèvera sur lui.

Et tous deux se couchent dans la poussière, Tous deux deviennent la pâture des vers.

Les mottes de la vallée lui sont légères; Et tous après lui suivront la même voie, Comme une multitude l'a déjà suivie.

On repousse du chemin les indigents, On force tous les malheureux du pays à se cacher.

Ils se sont élevés; et en un instant ils ne sont plus, Ils tombent, ils meurent comme tous les hommes, Ils sont coupés comme la tête des épis.

Après mes discours, nul ne répliquait, Et ma parole était pour tous une bienfaisante rosée;

Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au rendez-vous de tous les vivants.

Dieu n'a-t-il pas connu mes voies? N'a-t-il pas compté tous mes pas?

Je lui rendrai compte de tous mes pas, Je m'approcherai de lui comme un prince.

Il met mes pieds dans les ceps, Il surveille tous mes mouvements.

Qui n'a point égard à l'apparence des grands Et ne distingue pas le riche du pauvre, Parce que tous sont l'ouvrage de ses mains?

Car Dieu voit la conduite de tous, Il a les regards sur les pas de chacun.

Il les frappe comme des impies, A la face de tous les regards.

Souviens-toi d'exalter ses oeuvres, Que célèbrent tous les hommes.

Il met un sceau sur la main de tous les hommes, Afin que tous se reconnaissent comme ses créatures.

Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d'allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie?

Cache-les tous ensemble dans la poussière, Enferme leur front dans les ténèbres!

Les frères, les soeurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l'Éternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d'or.