'Une' dans la Bible

Béni soit l'Éternel! Car il a signalé sa grâce envers moi, Comme si j'avais été dans une ville forte.

Ce n'est pas une grande armée qui sauve le roi, Ce n'est pas une grande force qui délivre le héros;

Car sans cause ils m'ont tendu leur filet sur une fosse, Sans cause ils l'ont creusée pour m'ôter la vie.

Comme pour un ami, pour un frère, je me traînais lentement; Comme pour le deuil d'une mère, je me courbais avec tristesse.

Il médite l'injustice sur sa couche, Il se tient sur une voie qui n'est pas bonne, Il ne repousse pas le mal.

Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit; Car il y a une postérité pour l'homme de paix.

Oui, l'homme se promène comme une ombre, Il s'agite vainement; Il amasse, et il ne sait qui recueillera.

Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, Une louange à notre Dieu; Beaucoup l'ont vu, et ont eu de la crainte, Et ils se sont confiés en l'Éternel.

Au chef des chantres. Cantique des fils de Koré. Comme une biche soupire après des courants d'eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu!

Je me rappelle avec effusion de coeur Quand je marchais entouré de la foule, Et que je m'avançais à sa tête vers la maison de Dieu, Au milieu des cris de joie et des actions de grâces D'une multitude en fête.

Le jour, l'Éternel m'accordait sa grâce; La nuit, je chantais ses louanges, J'adressais une prière au Dieu de ma vie.

Rends-moi justice, ô Dieu, défends ma cause contre une nation infidèle! Délivre-moi des hommes de fraude et d'iniquité!

Tu vends ton peuple pour rien, Tu ne l'estimes pas à une grande valeur.

Tu aimes la justice, et tu hais la méchanceté: C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a oint D'une huile de joie, par privilège sur tes collègues.

L'Éternel des armées est avec nous, Le Dieu de Jacob est pour nous une haute retraite. -Pause.

L'Éternel des armées est avec nous, Le Dieu de Jacob est pour nous une haute retraite. -Pause. 

Dieu, dans ses palais, est connu pour une haute retraite.

Là un tremblement les a saisis, Comme la douleur d'une femme qui accouche.

Il vient, notre Dieu, il ne reste pas en silence; Devant lui est un feu dévorant, Autour de lui une violente tempête.

Ensemble nous vivions dans une douce intimité, Nous allions avec la foule à la maison de Dieu!

Ils avaient tendu un filet sous mes pas: Mon âme se courbait; Ils avaient creusé une fosse devant moi: Ils y sont tombés. -Pause.

Qu'ils périssent en se fondant, comme un limaçon; Sans voir le soleil, comme l'avorton d'une femme!

Et les hommes diront: Oui, il est une récompense pour le juste; Oui, il est un Dieu qui juge sur la terre.

Et moi, je chanterai ta force; Dès le matin, je célébrerai ta bonté. Car tu es pour moi une haute retraite, Un refuge au jour de ma détresse.

Tu as donné à ceux qui te craignent une bannière, Pour qu'elle s'élève à cause de la vérité. -Pause.

Car tu es pour moi un refuge, Une tour forte, en face de l'ennemi.

Jusqu'à quand vous jetterez-vous sur un homme, Chercherez-vous tous à l'abattre, Comme une muraille qui penche, Comme une clôture qu'on renverse?

Oui, vanité, les fils de l'homme! Mensonge, les fils de l'homme! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu'un souffle.

Dieu a parlé une fois; Deux fois j'ai entendu ceci: C'est que la force est à Dieu.

Psaume de David. Lorsqu'il était dans le désert de Juda. O Dieu! tu es mon Dieu, je te cherche; Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans eau.

Il changea la mer en une terre sèche, On traversa le fleuve à pied: Alors nous nous réjouîmes en lui.

Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés, Il délivre les captifs et les rend heureux; Les rebelles seuls habitent des lieux arides.

Tu fis tomber une pluie bienfaisante, ô Dieu! Tu fortifias ton héritage épuisé.

Le Seigneur dit une parole, Et les messagères de bonnes nouvelles sont une grande armée: -

Il sera comme une pluie qui tombe sur un terrain fauché, Comme des ondées qui arrosent la campagne.

Il dominera d'une mer à l'autre, Et du fleuve aux extrémités de la terre.

Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!

On les a vus, pareils à celui qui lève La cognée dans une épaisse forêt;

Il y a dans la main de l'Éternel une coupe, Où fermente un vin plein de mélange, Et il en verse: Tous les méchants de la terre sucent, boivent jusqu'à la lie.

Il a établi un témoignage en Jacob, Il a mis une loi en Israël, Et il a ordonné à nos pères de l'enseigner à leurs enfants,

Afin qu'ils ne fussent pas, comme leurs pères, Une race indocile et rebelle, Une race dont le coeur n'était pas ferme, Et dont l'esprit n'était pas fidèle à Dieu.

Il fendit la mer et leur ouvrit un passage, Il fit dresser les eaux comme une muraille.

Ils parlèrent contre Dieu, Ils dirent: Dieu pourrait-il Dresser une table dans le désert?

Il consuma leurs jours par la vanité, Et leurs années par une fin soudaine.

Il lança contre eux son ardente colère, La fureur, la rage et la détresse, Une troupe de messagers de malheur.

Tu avais arraché de l'Égypte une vigne; Tu as chassé des nations, et tu l'as plantée.

Car c'est une loi pour Israël, Une ordonnance du Dieu de Jacob.

Il en fit un statut pour Joseph, Quand il marcha contre le pays d'Égypte... J'entends une voix qui m'est inconnue:

Ils se concertent tous d'un même coeur, Ils font une alliance contre toi;

Le passereau même trouve une maison, Et l'hirondelle un nid où elle dépose ses petits... Tes autels, Éternel des armées! Mon roi et mon Dieu!

O Dieu! des orgueilleux se sont levés contre moi, Une troupe d'hommes violents en veulent à ma vie; Ils ne portent pas leurs pensées sur toi.

Tu m'as jeté dans une fosse profonde, Dans les ténèbres, dans les abîmes.

Alors tu parlas dans une vision à ton bien-aimé, Et tu dis: J'ai prêté mon secours à un héros, J'ai élevé du milieu du peuple un jeune homme;

J'ai juré une fois par ma sainteté: Mentirai-je à David?

Comme la lune il aura une éternelle durée. Le témoin qui est dans le ciel est fidèle. Pause.

Car mille ans sont, à tes yeux, Comme le jour d'hier, quand il n'est plus, Et comme une veille de la nuit.

Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse.

Ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre.

Et tu me donnes la force du buffle; Je suis arrosé avec une huile fraîche.

J'aurai les yeux sur les fidèles du pays, Pour qu'ils demeurent auprès de moi; Celui qui marche dans une voie intègre sera mon serviteur.

Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir, Afin qu'elles ne reviennent plus couvrir la terre.

Et ils allaient d'une nation à l'autre Et d'un royaume vers un autre peuple;

Ils firent un veau en Horeb, Ils se prosternèrent devant une image de fonte,

Ils irritèrent l'Éternel par leurs actions, Et une plaie fit irruption parmi eux.

Ils erraient dans le désert, ils marchaient dans la solitude, Sans trouver une ville où ils pussent habiter.

Il les conduisit par le droit chemin, Pour qu'ils arrivassent dans une ville habitable.

Et il y établit ceux qui sont affamés. Ils fondent une ville pour l'habiter;

Car ils ouvrent contre moi une bouche méchante et trompeuse, Ils me parlent avec une langue mensongère,

Ton peuple est plein d'ardeur, quand tu rassembles ton armée; Avec des ornements sacrés, du sein de l'aurore Ta jeunesse vient à toi comme une rosée.

La crainte de l'Éternel est le commencement de la sagesse; Tous ceux qui l'observent ont une raison saine. Sa gloire subsiste à jamais.

Il donne une maison à celle qui était stérile, Il en fait une mère joyeuse au milieu de ses enfants. Louez l'Éternel!

Elles ont une bouche et ne parlent point, Elles ont des yeux et ne voient point,

Une colère ardente me saisit à la vue des méchants Qui abandonnent ta loi.

Car je suis comme une outre dans la fumée; Je n'oublie point tes statuts.

Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.

Ta justice est une justice éternelle, Et ta loi est la vérité.

Je suis errant comme une brebis perdue; cherche ton serviteur, Car je n'oublie point tes commandements.

Que te donne, que te rapporte Une langue trompeuse?

Jérusalem, tu es bâtie Comme une ville dont les parties sont liées ensemble.

Voici, des fils sont un héritage de l'Éternel, Le fruit des entrailles est une récompense.

Ta femme est comme une vigne féconde Dans l'intérieur de ta maison; Tes fils sont comme des plants d'olivier, Autour de ta table.

Jusqu'à ce que j'aie trouvé un lieu pour l'Éternel, Une demeure pour le puissant de Jacob.

Là j'élèverai la puissance de David, Je préparerai une lampe à mon oint,

Elles ont une bouche et ne parlent point, Elles ont des yeux et ne voient point,

Comment chanterions-nous les cantiques de l'Éternel Sur une terre étrangère?

Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m'étaient destinés, Avant qu'aucun d'eux existât.

Ils parlent de toi d'une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

Je les hais d'une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l'éternité!

Éternel, mets une garde à ma bouche, Veille sur la porte de mes lèvres!

Que le juste me frappe, c'est une faveur; Qu'il me châtie, c'est de l'huile sur ma tête: Ma tête ne se détournera pas; Mais de nouveau ma prière s'élèvera contre leur méchanceté.

J'étends mes mains vers toi; Mon âme soupire après toi, comme une terre desséchée. Pause.

Dont la bouche profère la fausseté, Et dont la droite est une droite mensongère.

Délivre-moi et sauve-moi de la main des fils de l'étranger, Dont la bouche profère la fausseté, Et dont la droite est une droite mensongère!...

Pour exécuter contre eux le jugement qui est écrit! C'est une gloire pour tous ses fidèles. Louez l'Éternel!

Pour saisir le sens d'un proverbe ou d'une énigme, Des paroles des sages et de leurs sentences.

Car c'est une couronne de grâce pour ta tête, Et une parure pour ton cou.

Tu auras ta part avec nous, Il n'y aura qu'une bourse pour nous tous!