'Mon' dans la Bible
- 1.Genèse 4:9-Genèse 31:6
- 2.Genèse 31:7-Exode 9:16
- 3.Exode 9:17-Juges 9:15
- 4.Juges 9:17-2 Samuel 7:7
- 5.2 Samuel 7:8-1 Rois 5:3
- 6.1 Rois 5:4-1 Chroniques 17:9
- 7.1 Chroniques 17:10-Job 9:21
- 8.Job 10:1-Psaumes 16:7
- 9.Psaumes 16:9-Psaumes 42:11
- 10.Psaumes 43:2-Psaumes 91:14
- 11.Psaumes 91:16-Proverbes 1:8
- 12.Proverbes 1:10-Ésaïe 3:15
- 13.Ésaïe 5:1-Ésaïe 66:5
- 14.Jérémie 2:7-Jérémie 37:20
- 15.Jérémie 38:9-Ézéchiel 37:25
- 16.Ézéchiel 37:26-Jonas 2:7
- 17.Jonas 4:2-Matthieu 26:18
- 18.Matthieu 26:26-Jean 8:19
- 19.Jean 8:38-1 Corinthiens 16:24
- 20.2 Corinthiens 1:23-Apocalypse 22:16
Mon fils, si des pécheurs veulent te séduire, Ne te laisse pas gagner.
Mon fils, ne te mets pas en chemin avec eux, Détourne ton pied de leur sentier;
Tournez-vous pour écouter mes réprimandes! Voici, je répandrai sur vous mon esprit, Je vous ferez connaître mes paroles...
Mon fils, si tu reçois mes paroles, Et si tu gardes avec toi mes préceptes,
Mon fils, n'oublie pas mes enseignements, Et que ton coeur garde mes préceptes;
Mon fils, ne méprise pas la correction de l'Éternel, Et ne t'effraie point de ses châtiments;
Mon fils, que ces enseignements ne s'éloignent pas de tes yeux, Garde la sagesse et la réflexion:
Car je vous donne de bons conseils: Ne rejetez pas mon enseignement.
J'étais un fils pour mon père, Un fils tendre et unique auprès de ma mère.
Écoute, mon fils, et reçois mes paroles; Et les années de ta vie se multiplieront.
Mon fils, sois attentif à mes paroles, Prête l'oreille à mes discours.
Mon fils, sois attentif à ma sagesse, Prête l'oreille à mon intelligence,
Et que tu ne dises: Comment donc ai-je pu haïr la correction, Et comment mon coeur a-t-il dédaigné la réprimande?
Et pourquoi, mon fils, serais-tu épris d'une étrangère, Et embrasserais-tu le sein d'une inconnue?
Mon fils, si tu as cautionné ton prochain, Si tu t'es engagé pour autrui,
Fais donc ceci, mon fils, dégage-toi, Puisque tu es tombé au pouvoir de ton prochain; Va, prosterne-toi, et fais des instances auprès de lui;
Mon fils, garde les préceptes de ton père, Et ne rejette pas l'enseignement de ta mère.
Mon fils, retiens mes paroles, Et garde avec toi mes préceptes.
J'étais à la fenêtre de ma maison, Et je regardais à travers mon treillis.
J'ai orné mon lit de couvertures, De tapis de fil d'Égypte;
Car mon mari n'est pas à la maison, Il est parti pour un voyage lointain;
Mon fruit est meilleur que l'or, que l'or pur, Et mon produit est préférable à l'argent.
Jouant sur le globe de sa terre, Et trouvant mon bonheur parmi les fils de l'homme.
Venez, mangez de mon pain, Et buvez du vin que j'ai mêlé;
Cesse, mon fils, d'écouter l'instruction, Si c'est pour t'éloigner des paroles de la science.
Qui dira: J'ai purifié mon coeur, Je suis net de mon péché?
Mon fils, si ton coeur est sage, Mon coeur à moi sera dans la joie;
Écoute, mon fils, et sois sage; Dirige ton coeur dans la voie droite.
Mon fils, donne-moi ton coeur, Et que tes yeux se plaisent dans mes voies.
Mon fils, mange du miel, car il est bon; Un rayon de miel sera doux à ton palais.
Mon fils, crains l'Éternel et le roi; Ne te mêle pas avec les hommes remuants;
Mon fils, sois sage, et réjouis mon coeur, Et je pourrai répondre à celui qui m'outrage.
De peur que, dans l'abondance, je ne te renie Et ne dise: Qui est l'Éternel? Ou que, dans la pauvreté, je ne dérobe, Et ne m'attaque au nom de mon Dieu.
Que te dirai-je, mon fils? que te dirai-je, fils de mes entrailles? Que te dirai-je, mon fils, objet de mes voeux?
J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.
J'ai dit en mon coeur: Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science.
J'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent.
J'ai dit en mon coeur: Allons! je t'éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c'est encore là une vanité.
Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à ce que je visse ce qu'il est bon pour les fils de l'homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie.
Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés; je n'ai refusé à mon coeur aucune joie; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue.
Et j'ai dit en mon coeur: J'aurai le même sort que l'insensé; pourquoi donc ai-je été plus sage? Et j'ai dit en mon coeur que c'est encore là une vanité.
Et qui sait s'il sera sage ou insensé? Cependant il sera maître de tout mon travail, de tout le fruit de ma sagesse sous le soleil. C'est encore là une vanité.
Et j'en suis venu à livrer mon coeur au désespoir, à cause de tout le travail que j'ai fait sous le soleil.
J'ai dit en mon coeur: Dieu jugera le juste et le méchant; car il y a là un temps pour toute chose et pour toute oeuvre.
J'ai dit en mon coeur, au sujet des fils de l'homme, que Dieu les éprouverait, et qu'eux-mêmes verraient qu'ils ne sont que des bêtes.
Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise.
Je me suis appliqué dans mon coeur à connaître, à sonder, et à chercher la sagesse et la raison des choses, et à connaître la folie de la méchanceté et la stupidité de la sottise.
voici ce que mon âme cherche encore, et que je n'ai point trouvé. J'ai trouvé un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles toutes.
J'ai vu tout cela, et j'ai appliqué mon coeur à tout ce qui se fait sous le soleil. Il y a un temps où l'homme domine sur l'homme pour le rendre malheureux.
Lorsque j'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse et à considérer les choses qui se passent sur la terre, -car les yeux de l'homme ne goûtent le sommeil ni jour ni nuit,
Oui, j'ai appliqué mon coeur à tout cela, j'ai fait de tout cela l'objet de mon examen, et j'ai vu que les justes et les sages, et leurs travaux, sont dans la main de Dieu, et l'amour aussi bien que la haine; les hommes ne savent rien: tout est devant eux.
Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses; on ne finirait pas, si l'on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d'étude est une fatigue pour le corps.
Ne prenez pas garde à mon teint noir: C'est le soleil qui m'a brûlée. Les fils de ma mère se sont irrités contre moi, Ils m'ont faite gardienne des vignes. Ma vigne, à moi, je ne l'ai pas gardée.
Dis-moi, ô toi que mon coeur aime, Où tu fais paître tes brebis, Où tu les fais reposer à midi; Car pourquoi serais-je comme une égarée Près des troupeaux de tes compagnons? -
A ma jument qu'on attelle aux chars de Pharaon Je te compare, ô mon amie.
Tandis que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son parfum.
Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe, Qui repose entre mes seins.
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne Des vignes d'En Guédi. -
Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes. -
Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable! Notre lit, c'est la verdure. -
Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. -
Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J'ai désiré m'asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.
C'est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.
Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.
Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.
Sur ma couche, pendant les nuits, J'ai cherché celui que mon coeur aime; Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé...
Je me lèverai, et je ferai le tour de la ville, Dans les rues et sur les places; Je chercherai celui que mon coeur aime... Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé.
Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée: Avez-vous vu celui que mon coeur aime?
A peine les avais-je passés, Que j'ai trouvé celui que mon coeur aime; Je l'ai saisi, et je ne l'ai point lâché Jusqu'à ce que je l'aie amené dans la maison de ma mère, Dans la chambre de celle qui m'a conçue. -
Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes, Derrière ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de la montagne de Galaad.
Tu es toute belle, mon amie, Et il n'y a point en toi de défaut.
Lève-toi, aquilon! viens, autan! Soufflez sur mon jardin, et que les parfums s'en exhalent! -Que mon bien-aimé entre dans son jardin, Et qu'il mange de ses fruits excellents! -
J'entre dans mon jardin, ma soeur, ma fiancée; Je cueille ma myrrhe avec mes aromates, Je mange mon rayon de miel avec mon miel, Je bois mon vin avec mon lait... -Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour! -
J'étais endormie, mais mon coeur veillait... C'est la voix de mon bien-aimé, qui frappe: -Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite! Car ma tête est couverte de rosée, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. -
Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui.
Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé; Et de mes mains a dégoutté la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou.
J'ai ouvert à mon bien-aimé; Mais mon bien-aimé s'en était allé, il avait disparu. J'étais hors de moi, quand il me parlait. Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé; Je l'ai appelé, et il ne m'a point répondu.
Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée; Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée; Ils m'ont enlevé mon voile, les gardes des murs.
Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Si vous trouvez mon bien-aimé, Que lui direz-vous?... Que je suis malade d'amour. -
Mon bien-aimé est blanc et vermeil; Il se distingue entre dix mille.
Son palais n'est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, Filles de Jérusalem! -
Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d'aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis.
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. -
Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières.
Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. -
Que tu es belle, que tu es agréable, O mon amour, au milieu des délices!
Et ta bouche comme un vin excellent,... -Qui coule aisément pour mon bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment!
Je suis à mon bien-aimé, Et ses désirs se portent vers moi.
Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages!
Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour.
Les mandragores répandent leur parfum, Et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens: Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.
Oh! Que n'es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mépriserait pas.
Fuis, mon bien-aimé! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates!
Le boeuf connaît son possesseur, Et l'âne la crèche de son maître: Israël ne connaît rien, Mon peuple n'a point d'intelligence.
Mon âme hait vos nouvelles lunes et vos fêtes; Elles me sont à charge; Je suis las de les supporter.
Mon peuple a pour oppresseurs des enfants, Et des femmes dominent sur lui; Mon peuple, ceux qui te conduisent t'égarent, Et ils corrompent la voie dans laquelle tu marches.
De quel droit foulez-vous mon peuple, Et écrasez-vous la face des pauvres? Dit le Seigneur, l'Éternel des armées.
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- 1.Genèse 4:9-Genèse 31:6
- 2.Genèse 31:7-Exode 9:16
- 3.Exode 9:17-Juges 9:15
- 4.Juges 9:17-2 Samuel 7:7
- 5.2 Samuel 7:8-1 Rois 5:3
- 6.1 Rois 5:4-1 Chroniques 17:9
- 7.1 Chroniques 17:10-Job 9:21
- 8.Job 10:1-Psaumes 16:7
- 9.Psaumes 16:9-Psaumes 42:11
- 10.Psaumes 43:2-Psaumes 91:14
- 11.Psaumes 91:16-Proverbes 1:8
- 12.Proverbes 1:10-Ésaïe 3:15
- 13.Ésaïe 5:1-Ésaïe 66:5
- 14.Jérémie 2:7-Jérémie 37:20
- 15.Jérémie 38:9-Ézéchiel 37:25
- 16.Ézéchiel 37:26-Jonas 2:7
- 17.Jonas 4:2-Matthieu 26:18
- 18.Matthieu 26:26-Jean 8:19
- 19.Jean 8:38-1 Corinthiens 16:24
- 20.2 Corinthiens 1:23-Apocalypse 22:16