'Ou' dans la Bible

Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

Cantique des degrés. Je lève mes yeux vers les montagnes... D'où me viendra le secours?

Éternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur! Mon Dieu, mon rocher, où je trouve un abri! Mon bouclier, la force qui me sauve, ma haute retraite!

Aie pitié de moi, Éternel! Vois la misère où me réduisent mes ennemis, Enlève-moi des portes de la mort,

Louez l'Éternel! Louez Dieu dans son sanctuaire! Louez-le dans l'étendue, où éclate sa puissance!

Leur retentissement parcourt toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde, Où il a dressé une tente pour le soleil.

Fais-moi dès le matin entendre ta bonté! Car je me confie en toi. Fais-moi connaître le chemin où je dois marcher! Car j'élève à toi mon âme.

Encore un peu de temps, et le méchant n'est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.

Le jour où je t'ai invoqué, tu m'as exaucé, Tu m'as rassuré, tu as fortifié mon âme.

Incline vers moi ton oreille, hâte-toi de me secourir! Sois pour moi un rocher protecteur, une forteresse, Où je trouve mon salut!

Sois pour moi un rocher qui me serve d'asile, Où je puisse toujours me retirer! Tu as résolu de me sauver, Car tu es mon rocher et ma forteresse.

Le passereau même trouve une maison, Et l'hirondelle un nid où elle dépose ses petits... Tes autels, Éternel des armées! Mon roi et mon Dieu!

Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, Pendant qu'on me dit sans cesse: Où est ton Dieu?

Éternel! j'aime le séjour de ta maison, Le lieu où ta gloire habite.

Il y a dans la main de l'Éternel une coupe, Où fermente un vin plein de mélange, Et il en verse: Tous les méchants de la terre sucent, boivent jusqu'à la lie.

Mes ennemis reculent, au jour où je crie; Je sais que Dieu est pour moi.

Ne soyez pas comme un cheval ou un mulet sans intelligence; On les bride avec un frein et un mors, dont on les pare, Afin qu'ils ne s'approchent point de toi.

Où sont, Seigneur! tes bontés premières, Que tu juras à David dans ta fidélité?

Tu les rendras tels qu'une fournaise ardente, Le jour où tu te montreras; L'Éternel les anéantira dans sa colère, Et le feu les dévorera.

Tes statuts sont le sujet de mes cantiques, Dans la maison où je suis étranger.

Souviens-toi de ton peuple que tu as acquis autrefois, Que tu as racheté comme la tribu de ton héritage! Souviens-toi de la montagne de Sion, où tu faisais ta résidence;

Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Édom; Pays des Philistins, pousse à mon sujet des cris de joie! -

Ils erraient dans le désert, ils marchaient dans la solitude, Sans trouver une ville où ils pussent habiter.

Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m'ont tendu un piège.

Pourquoi les nations diraient-elles: Où est leur Dieu? Qu'on sache, en notre présence, parmi les nations, Que tu venges le sang de tes serviteurs, le sang répandu!

Mes os se brisent quand mes persécuteurs m'outragent, En me disant sans cesse: Où est ton Dieu?

Avant que vos chaudières sentent l'épine, Verte ou enflammée, le tourbillon l'emportera.

Il abandonna la demeure de Silo, La tente où il habitait parmi les hommes;

Jusqu'au temps où arriva ce qu'il avait annoncé, Et où la parole de l'Éternel l'éprouva.

Pourquoi les nations diraient-elles: Où donc est leur Dieu?

Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Édom; Je pousse des cris de joie sur le pays des Philistins!

Que des charbons ardents soient jetés sur eux! Qu'il les précipite dans le feu, Dans des abîmes, d'où ils ne se relèvent plus!

Où vos pères me tentèrent, M'éprouvèrent, quoiqu'ils vissent mes oeuvres.

Ils ne se souvinrent pas de sa puissance, Du jour où il les délivra de l'ennemi,

Voici, il a frappé le rocher, et des eaux ont coulé, Et des torrents se sont répandus; Pourra-t-il aussi donner du pain, Ou fournir de la viande à son peuple?

Je n'entrerai pas dans la tente où j'habite, Je ne monterai pas sur le lit où je repose,