4905 occurences en traduction 1

'Du' dans la Bible

Jochanan, fils de Karéach, et tous les chefs des troupes qui étaient avec lui, prirent tout le reste du peuple, et le délivrèrent des mains d'Ismaël, fils de Nethania, lorsqu'il l'emmenait de Mitspa, après avoir tué Guedalia, fils d'Achikam. Hommes de guerre, femmes, enfants, eunuques, Jochanan les ramena depuis Gabaon.

loin des Chaldéens dont ils avaient peur, parce qu'Ismaël, fils de Nethania, avait tué Guedalia, fils d'Achikam, que le roi de Babylone avait établi gouverneur du pays

Que ce soit du bien ou du mal, nous obéirons à la voix de l'Éternel, notre Dieu, vers qui nous t'envoyons, afin que nous soyons heureux, si nous obéissons à la voix de l'Éternel, notre Dieu.

Si vous restez dans ce pays, je vous y établirai et je ne vous détruirai pas, je vous planterai et je ne vous arracherai pas; car je me repens du mal que je vous ai fait.

les hommes, les femmes, les enfants, les filles du roi, et toutes les personnes que Nebuzaradan, chef des gardes, avait laissées avec Guedalia, fils d'Achikam, fils de Schaphan, et aussi Jérémie, le prophète, et Baruc, fils de Nérija.

Prends dans ta main de grandes pierres, et cache-les, en présence des Juifs, dans l'argile du four à briques qui est à l'entrée de la maison de Pharaon à Tachpanès.

Je mettrai le feu aux maisons des dieux de l'Égypte; Nebucadnetsar les brûlera, il emmènera captives les idoles, il s'enveloppera du pays d'Égypte comme le berger s'enveloppe de son vêtement, et il sortira de là en paix.

Maintenant ainsi parle l'Éternel, le Dieu des armées, le Dieu d'Israël: Pourquoi vous faites-vous à vous-mêmes un si grand mal, que de faire exterminer du milieu de Juda hommes, femmes, enfants et nourrissons, en sorte qu'il n'y ait plus de vous aucun reste?

Pourquoi m'irritez-vous par les oeuvres de vos mains, en offrant de l'encens aux autres dieux du pays d'Égypte, où vous êtes venus pour y demeurer, afin de vous faire exterminer et d'être un objet de malédiction et d'opprobre parmi toutes les nations de la terre?

C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël: Voici, je tourne ma face contre vous pour faire du mal, et pour exterminer tout Juda.

Mais nous voulons agir comme l'a déclaré notre bouche, offrir de l'encens à la reine du ciel, et lui faire des libations, comme nous l'avons fait, nous et nos pères, nos rois et nos chefs, dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem. Alors nous avions du pain pour nous rassasier, nous étions heureux, et nous n'éprouvions point de malheur.

Et depuis que nous avons cessé d'offrir de l'encens à la reine du ciel et de lui faire des libations, nous avons manqué de tout, et nous avons été consumés par l'épée et par la famine...

D'ailleurs, lorsque nous offrons de l'encens à la reine du ciel et que nous lui faisons des libations, est-ce sans la volonté de nos maris que nous lui préparons des gâteaux pour l'honorer et que nous lui faisons des libations?

L'Éternel ne s'est-il pas rappelé, n'a-t-il pas eu à la pensée l'encens que vous avez brûlé dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem, vous et vos pères, vos rois et vos chefs, et le peuple du pays?

Ainsi parle l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël: Vous et vos femmes, vous avez déclaré de vos bouches et exécuté de vos mains ce que vous dites: Nous voulons accomplir les voeux que nous avons faits, offrir de l'encens à la reine du ciel, et lui faire des libations. Maintenant que vous avez accompli vos voeux, exécuté vos promesses,

Voici, je veillerai sur eux pour faire du mal et non du bien; et tous les hommes de Juda qui sont dans le pays d'Égypte seront consumés par l'épée et par la famine, jusqu'à ce qu'ils soient anéantis.

Ceux, en petit nombre, qui échapperont à l'épée, retourneront du pays d'Égypte au pays de Juda. Mais tout le reste de Juda, tous ceux qui sont venus au pays d'Égypte pour y demeurer, sauront si ce sera ma parole ou la leur qui s'accomplira.

Sur l'Égypte. Sur l'armée de Pharaon Neco, roi d'Égypte, qui était près du fleuve de l'Euphrate, à Carkemisch, et qui fut battue par Nebucadnetsar, roi de Babylone, la quatrième année de Jojakim, fils de Josias, roi de Juda.

Ce jour est au Seigneur, à l'Éternel des armées; C'est un jour de vengeance, où il se venge de ses ennemis. L'épée dévore, elle se rassasie, Elle s'enivre de leur sang. Car il y a des victimes du Seigneur, de l'Éternel des armées, Au pays du septentrion, sur les rives de l'Euphrate.

Monte en Galaad, prends du baume, Vierge, fille de l'Égypte! En vain tu multiplies les remèdes, Il n'y a point de guérison pour toi.

Il en fait chanceler un grand nombre; Ils tombent l'un sur l'autre, et ils disent: Allons, retournons vers notre peuple, Dans notre pays natal, Loin du glaive destructeur!

L'Égypte est une très belle génisse... Le destructeur vient du septentrion, il arrive...

Sa voix se fait entendre comme celle du serpent; Car ils s'avancent avec une armée, Ils marchent contre elle avec des haches, Pareils à des bûcherons.

La fille de l'Égypte est confuse, Elle est livrée entre les mains du peuple du septentrion.

Et toi, mon serviteur Jacob, ne crains pas; Ne t'effraie pas, Israël! Car je te délivrerai de la terre lointaine, Je délivrerai ta postérité du pays où elle est captive; Jacob reviendra, il jouira du repos et de la tranquillité, Et il n'y aura personne pour le troubler.

Ainsi parle l'Éternel: Voici, des eaux s'élèvent du septentrion, Elles sont comme un torrent qui déborde; Elles inondent le pays et ce qu'il contient, Les villes et leurs habitants. Les hommes poussent des cris, Tous les habitants du pays se lamentent,

A cause du retentissement des sabots de ses puissants chevaux, Du bruit de ses chars et du fracas des roues; Les pères ne se tournent pas vers leurs enfants, Tant les mains sont affaiblies,

Elle n'est plus, la gloire de Moab; A Hesbon, on médite sa perte: Allons, exterminons-le du milieu des nations! Toi aussi, Madmen, tu seras détruite; L'épée marche derrière toi.

Descends du séjour de la gloire, assieds-toi sur la terre desséchée, Habitante, fille de Dibon! Car le dévastateur de Moab monte contre toi, Il détruit tes forteresses.

Sur Kerijoth, sur Botsra, Sur toutes les villes du pays de Moab, Éloignées et proches.

Nous connaissons l'orgueil du superbe Moab, Sa hauteur, sa fierté, son arrogance, et son coeur altier.

La joie et l'allégresse ont disparu des campagnes Et du pays de Moab; J'ai fait tarir le vin dans les cuves; On ne foule plus gaîment au pressoir; Il y a des cris de guerre, et non des cris de joie.

A l'ombre de Hesbon les fuyards s'arrêtent épuisés; Mais il sort un feu de Hesbon, Une flamme du milieu de Sihon; Elle dévore les flancs de Moab, Et le sommet de la tête des fils du tumulte.

Voici, tel qu'un lion, il monte des rives orgueilleuses du Jourdain Contre la demeure forte; Soudain j'en ferai fuir Édom, Et j'établirai sur elle celui que j'ai choisi. Car qui est semblable à moi? qui me donnera des ordres? Et quel est le chef qui me résistera?

La parole de l'Éternel qui fut adressée à Jérémie, le prophète, sur Élam, au commencement du règne de Sédécias, roi de Juda, en ces mots:

Je ferai venir sur Élam quatre vents des quatre extrémités du ciel, Je les disperserai par tous ces vents, Et il n'y aura pas une nation Où n'arrivent des fugitifs d'Élam.

Car une nation monte contre elle du septentrion, Elle réduira son pays en désert, Il n'y aura plus d'habitants; Hommes et bêtes fuient, s'en vont.

Ils s'informeront du chemin de Sion, Ils tourneront vers elle leurs regards: Venez, attachez-vous à l'Éternel, Par une alliance éternelle qui ne soit jamais oubliée!

Fuyez de Babylone, sortez du pays des Chaldéens, Et soyez comme des boucs à la tête du troupeau!

Car voici, je vais susciter et faire monter contre Babylone Une multitude de grandes nations du pays du septentrion; Elles se rangeront en bataille contre elle, et s'en empareront; Leurs flèches sont comme un habile guerrier, Qui ne revient pas à vide.

Je ramènerai Israël dans sa demeure; Il aura ses pâturages du Carmel et du Basan, Et son âme se rassasiera sur la montagne d'Éphraïm et dans Galaad.

L'Éternel a ouvert son arsenal, Et il en a tiré les armes de sa colère; Car c'est là une oeuvre du Seigneur, de l'Éternel des armées, Dans le pays des Chaldéens.

Écoutez les cris des fuyards, de ceux qui se sauvent du pays de Babylone Pour annoncer dans Sion la vengeance de l'Éternel, notre Dieu, La vengeance de son temple!

C'est pourquoi les animaux du désert s'y établiront avec les chacals, Et les autruches y feront leur demeure; Elle ne sera plus jamais habitée, Elle ne sera plus jamais peuplée.

Voici, un peuple vient du septentrion, Une grande nation et des rois puissants Se lèvent des extrémités de la terre.

Voici, tel qu'un lion, il monte des rives orgueilleuses du Jourdain Contre la demeure forte; Soudain je les en chasserai, Et j'établirai sur elle celui que j'ai choisi. Car qui est semblable à moi? qui me donnera des ordres? Et quel est le chef qui me résistera?

J'envoie contre Babylone des vanneurs qui la vanneront, Qui videront son pays; Ils fondront de toutes parts sur elle, Au jour du malheur.

Soudain Babylone tombe, elle est brisée! Gémissez sur elle, prenez du baume pour sa plaie: Peut-être guérira-t-elle. -

Voici, j'en veux à toi, montagne de destruction, dit l'Éternel, A toi qui détruisais toute la terre! J'étendrai ma main sur toi, Je te roulerai du haut des rochers, Et je ferai de toi une montagne embrasée.

La terre s'ébranle, elle tremble; Car le dessein de l'Éternel contre Babylone s'accomplit; Il va faire du pays de Babylone un désert sans habitants.

Sortez du milieu d'elle, mon peuple, Et que chacun sauve sa vie, En échappant à la colère ardente de l'Éternel!

Sur Babylone retentiront les cris de joie des cieux et de la terre, Et de tout ce qu'ils renferment; Car du septentrion les dévastateurs fondront sur elle, Dit l'Éternel.

Ordre donné par Jérémie, le prophète, à Seraja, fils de Nérija, fils de Machséja, lorsqu'il se rendit à Babylone avec Sédécias, roi de Juda, la quatrième année du règne de Sédécias. Or, Seraja était premier chambellan.

La neuvième année du règne de Sédécias, le dixième jour du dixième mois, Nebucadnetsar, roi de Babylone, vint avec toute son armée contre Jérusalem; ils campèrent devant elle, et élevèrent des retranchements tout autour.

La ville fut assiégée jusqu'à la onzième année du roi Sédécias.

Le neuvième jour du quatrième mois, la famine était forte dans la ville, et il n'y avait pas de pain pour le peuple du pays.

Alors la brèche fut faite à la ville; et tous les gens de guerre s'enfuirent, et sortirent de la ville pendant la nuit par le chemin de la porte entre les deux murs près du jardin du roi, tandis que les Chaldéens environnaient la ville. Les fuyards prirent le chemin de la plaine.

Le dixième jour du cinquième mois, -c'était la dix-neuvième année du règne de Nebucadnetsar, roi de Babylone, -Nebuzaradan, chef des gardes, au service du roi de Babylone, vint à Jérusalem.

Il brûla la maison de l'Éternel, la maison du roi, et toutes les maisons de Jérusalem; il livra au feu toutes les maisons de quelque importance.

Nebuzaradan, chef des gardes, emmena captifs une partie des plus pauvres du peuple, ceux du peuple qui étaient demeurés dans la ville, ceux qui s'étaient rendus au roi de Babylone, et le reste de la multitude.

Cependant Nebuzaradan, chef des gardes, laissa comme vignerons et comme laboureurs quelques-uns des plus pauvres du pays.

il y avait au-dessus un chapiteau d'airain, et la hauteur d'un chapiteau était de cinq coudées; autour du chapiteau il y avait un treillis et des grenades, le tout d'airain; il en était de même pour la seconde colonne avec des grenades.

Il y avait quatre-vingt-seize grenades de chaque côté, et toutes les grenades autour du treillis étaient au nombre de cent.

Le chef des gardes prit Seraja, le souverain sacrificateur, Sophonie, le second sacrificateur, et les trois gardiens du seuil.

Et dans la ville il prit un eunuque qui avait sous son commandement les gens de guerre, sept hommes qui faisaient partie des conseillers du roi et qui furent trouvés dans la ville, le secrétaire du chef de l'armée qui était chargé d'enrôler le peuple du pays, et soixante hommes du peuple du pays qui se trouvèrent dans la ville.

La trente-septième année de la captivité de Jojakin, roi de Juda, le vingt-cinquième jour du douzième mois, Évil Merodac, roi de Babylone, dans la première année de son règne, releva la tête de Jojakin, roi de Juda, et le fit sortir de prison.

Il lui parla avec bonté, et il mit son trône au-dessus du trône des rois qui étaient avec lui à Babylone.

Tout son peuple soupire, il cherche du pain; Ils ont donné leurs choses précieuses pour de la nourriture, Afin de ranimer leur vie. -Vois, Éternel, regarde comme je suis avilie!

Eh quoi! le Seigneur, dans sa colère, a couvert de nuages la fille de Sion! Il a précipité du ciel sur la terre la magnificence d'Israël! Il ne s'est pas souvenu de son marchepied, Au jour de sa colère!

Mes yeux se consument dans les larmes, mes entrailles bouillonnent, Ma bile se répand sur la terre, A cause du désastre de la file de mon peuple, Des enfants et des nourrissons en défaillance dans les rues de la ville.

Ils disaient à leurs mères: Où y a-t-il du blé et du vin? Et ils tombaient comme des blessés dans les rues de la ville, Ils rendaient l'âme sur le sein de leurs mères.

Lève-toi, pousse des gémissements à l'entrée des veilles de la nuit! Répands ton coeur comme de l'eau, en présence du Seigneur! Lève tes mains vers lui pour la vie de tes enfants Qui meurent de faim aux coins de toutes les rues!

Vois, Éternel, regarde qui tu as ainsi traité! Fallait-il que des femmes dévorassent le fruit de leurs entrailles, Les petits enfants objets de leur tendresse? Que sacrificateurs et prophètes fussent massacrés dans le sanctuaire du Seigneur?

J'ai beau crier et implorer du secours, Il ne laisse pas accès à ma prière.

Eh quoi! l'or a perdu son éclat! L'or pur est altéré! Les pierres du sanctuaire sont dispersées Aux coins de toutes les rues!

Les nobles fils de Sion, Estimés à l'égal de l'or pur, Sont regardés, hélas! comme des vases de terre, Ouvrage des mains du potier!

Les chacals mêmes présentent la mamelle, Et allaitent leurs petits; Mais la fille de mon peuple est devenue cruelle Comme les autruches du désert.

La langue du nourrisson s'attache à son palais, Desséchée par la soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne.

Leur aspect est plus sombre que le noir; On ne les reconnaît pas dans les rues; Ils ont la peau collée sur les os, Sèche comme du bois.

Ceux qui périssent par l'épée sont plus heureux Que ceux qui périssent par la faim, Qui tombent exténués, Privés du fruit des champs.

Les femmes, malgré leur tendresse, Font cuire leurs enfants; Ils leur servent de nourriture, Au milieu du désastre de la fille de mon peuple.

Les rois de la terre n'auraient pas cru, Aucun des habitants du monde n'aurait cru Que l'adversaire, que l'ennemi entrerait Dans les portes de Jérusalem.

Nos yeux se consumaient encore, Et nous attendions vainement du secours; Nos regards se portaient avec espérance Vers une nation qui ne nous a pas délivrés.

Nos persécuteurs étaient plus légers Que les aigles du ciel; Ils nous ont poursuivis sur les montagnes, Ils nous ont dressé des embûches dans le désert.

Réjouis-toi, tressaille d'allégresse, fille d'Édom, Habitante du pays d'Uts! Vers toi aussi passera la coupe; Tu t'enivreras, et tu seras mise à nu.

Nous cherchons notre pain au péril de notre vie, Devant l'épée du désert.

La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, comme j'étais parmi les captifs du fleuve du Kebar, les cieux s'ouvrirent, et j'eus des visions divines.

Le cinquième jour du mois, c'était la cinquième année de la captivité du roi Jojakin, -

la parole de l'Éternel fut adressée à Ézéchiel, fils de Buzi, le sacrificateur, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve du Kebar; et c'est là que la main de l'Éternel fut sur lui.

Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu.

Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d'un veau, ils étincelaient comme de l'airain poli.

J'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout Puissant; c'était un bruit tumultueux, comme celui d'une armée; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes.

Et il se faisait un bruit qui partait du ciel étendu sur leurs têtes, lorsqu'ils s'arrêtaient et laissaient tomber leurs ailes.

Au-dessus du ciel qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de semblable à une pierre de saphir, en forme de trône; et sur cette forme de trône apparaissait comme une figure d'homme placé dessus en haut.

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