4905 occurences en traduction 1

'Du' dans la Bible

Ils comptaient sur moi comme sur la pluie, Ils ouvraient la bouche comme pour une pluie du printemps.

On les chasse du milieu des hommes, On crie après eux comme après des voleurs.

Etres vils et méprisés, On les repousse du pays.

Par la violence du mal mon vêtement perd sa forme, Il se colle à mon corps comme ma tunique.

Tu mu soulèves, tu mu fais voler au-dessus du vent, Et tu m'anéantis au bruit de la tempête.

Mais celui qui va périr n'étend-il pas les mains? Celui qui est dans le malheur n'implore-t-il pas du secours?

Si mon pas s'est détourné du droit chemin, Si mon coeur a suivi mes yeux, Si quelque souillure s'est attachée à mes mains,

Si j'ai été joyeux du malheur de mon ennemi, Si j'ai sauté d'allégresse quand les revers l'ont atteint,

Afin de détourner l'homme du mal Et de le préserver de l'orgueil,

Afin de garantir son âme de la fosse Et sa vie des coups du glaive.

Écoutez-moi donc, hommes de sens! Loin de Dieu l'injustice, Loin du Tout Puissant l'iniquité!

Qui nous instruit plus que les bêtes de la terre, Et nous donne l'intelligence plus qu'aux oiseaux du ciel?

Mais, parce que sa colère ne sévit point encore, Ce n'est pas à dire qu'il ait peu souci du crime.

Sais-tu pourquoi tes vêtements sont chauds Quand la terre se repose par le vent du midi?

As-tu embrassé du regard l'étendue de la terre? Parle, si tu sais toutes ces choses.

Qui a ouvert un passage à la pluie, Et tracé la route de l'éclair et du tonnerre,

Du sein de qui sort la glace, Et qui enfante le frimas du ciel,

Fais-tu paraître en leur temps les signes du zodiaque, Et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits?

J'ai fait du désert son habitation, De la terre salée sa demeure.

Il se rit du tumulte des villes, Il n'entend pas les cris d'un maître.

Quand elle se lève et prend sa course, Elle se rit du cheval et de son cavalier.

L'Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit:

Les lotus le couvrent de leur ombre, Les saules du torrent l'environnent.

Il regarde le fer comme de la paille, L'airain comme du bois pourri.

La flèche ne le met pas en fuite, Les pierres de la fronde sont pour lui du chaume.

C'est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, Ni les pécheurs dans l'assemblée des justes;

Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers.

Regarde, réponds-moi, Éternel, mon Dieu! Donne à mes yeux la clarté, Afin que je ne m'endorme pas du sommeil de la mort,

Moi, j'ai confiance en ta bonté, J'ai de l'allégresse dans le coeur, à cause de ton salut; Je chante à l'Éternel, car il m'a fait du bien.

L'Éternel, du haut des cieux, regarde les fils de l'homme, Pour voir s'il y a quelqu'un qui soit intelligent, Qui cherche Dieu.

Lève-toi, Éternel, marche à sa rencontre, renverse-le! Délivre-moi du méchant par ton glaive!

Les liens du sépulcre m'avaient entouré, Les filets de la mort m'avaient surpris.

Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel! Par le bruit du souffle de tes narines.

Tu me délivres des dissensions du peuple; Tu me mets à la tête des nations; Un peuple que je ne connaissais pas m'est asservi.

Tu feras disparaître leur postérité de la terre, Et leur race du milieu des fils de l'homme.

Car il n'a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face; Mais il l'écoute quand il crie à lui.

La postérité le servira; On parlera du Seigneur à la génération future.

La voix de l'Éternel brise les cèdres; L'Éternel brise les cèdres du Liban,

Éternel! tu as fait remonter mon âme du séjour des morts, Tu m'as fait revivre loin de ceux qui descendent dans la fosse.

Que ceux qui sont à tort mes ennemis ne se réjouissent pas à mon sujet, Que ceux qui me haïssent sans cause ne m'insultent pas du regard!

Car ils tiennent un langage qui n'est point celui de la paix, Ils méditent la tromperie contre les gens tranquilles du pays.

Au chef des chantres. Du serviteur de l'Éternel, de David. La parole impie du méchant est au fond de mon coeur; La crainte de Dieu n'est pas devant ses yeux.

Toi, Éternel, aie pitié de moi et rétablis-moi! Et je leur rendrai ce qui leur est dû.

Mon âme est abattue au dedans de moi: Aussi c'est à toi que je pense, depuis le pays du Jourdain, Depuis l'Hermon, depuis la montagne de Mitsear.

Car ce n'est point par leur épée qu'ils se sont emparés du pays, Ce n'est point leur bras qui les a sauvés; Mais c'est ta droite, c'est ton bras, c'est la lumière de ta face, Parce que tu les aimais.

A la voix de celui qui m'insulte et m'outrage, A la vue de l'ennemi et du vindicatif.

Et, avec des présents, la fille de Tyr, Les plus riches du peuple rechercheront ta faveur.

On les introduit au milieu des réjouissances et de l'allégresse, Elles entrent dans le palais du roi.

Il est un fleuve dont les courants réjouissent la cité de Dieu, Le sanctuaire des demeures du Très Haut.

Les princes des peuples se réunissent Au peuple du Dieu d'Abraham; Car à Dieu sont les boucliers de la terre: Il est souverainement élevé.

Belle est la colline, joie de toute la terre, la montagne de Sion; Le côté septentrional, c'est la ville du grand roi.

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