4905 occurences en traduction 1

'Du' dans la Bible

remettre le vêtement et le cheval à l'un des principaux chefs du roi, puis revêtir l'homme que le roi veut honorer, le promener à cheval à travers la place de la ville, et crier devant lui: C'est ainsi que l'on fait à l'homme que le roi veut honorer!

Le roi dit à Haman: Prends tout de suite le vêtement et le cheval, comme tu l'as dit, et fais ainsi pour Mardochée, le Juif, qui est assis à la porte du roi; ne néglige rien de tout ce que tu as mentionné.

Comme ils lui parlaient encore, les eunuques du roi arrivèrent et conduisirent aussitôt Haman au festin qu'Esther avait préparé.

Ce second jour, le roi dit encore à Esther, pendant qu'on buvait le vin: Quelle est ta demande, reine Esther? Elle te sera accordée. Que désires-tu? Quand ce serait la moitié du royaume, tu l'obtiendras.

Esther répondit: L'oppresseur, l'ennemi, c'est Haman, ce méchant-là! Haman fut saisi de terreur en présence du roi et de la reine.

Et le roi, dans sa colère, se leva et quitta le festin, pour aller dans le jardin du palais. Haman resta pour demander grâce de la vie à la reine Esther, car il voyait bien que sa perte était arrêtée dans l'esprit du roi.

Lorsque le roi revint du jardin du palais dans la salle du festin, il vit Haman qui s'était précipité vers le lit sur lequel était Esther, et il dit: Serait-ce encore pour faire violence à la reine, chez moi, dans le palais? Dès que cette parole fut sortie de la bouche du roi, on voila le visage d'Haman.

Et Harbona, l'un des eunuques, dit en présence du roi: Voici, le bois préparé par Haman pour Mardochée, qui a parlé pour le bien du roi, est dressé dans la maison d'Haman, à une hauteur de cinquante coudées. Le roi dit: Qu'on y pende Haman!

Et l'on pendit Haman au bois qu'il avait préparé pour Mardochée. Et la colère du roi s'apaisa.

Puis Esther parla de nouveau en présence du roi. Elle se jeta à ses pieds, elle pleura, elle le supplia d'empêcher les effets de la méchanceté d'Haman, l'Agaguite, et la réussite de ses projets contre les Juifs.

Elle dit alors: Si le roi le trouve bon et si j'ai trouvé grâce devant lui, si la chose paraît convenable au roi et si je suis agréable à ses yeux, qu'on écrive pour révoquer les lettres conçues par Haman, fils d'Hammedatha, l'Agaguite, et écrites par lui dans le but de faire périr les Juifs qui sont dans toutes les provinces du roi.

Écrivez donc en faveur des Juifs comme il vous plaira, au nom du roi, et scellez avec l'anneau du roi; car une lettre écrite au nom du roi et scellée avec l'anneau du roi ne peut être révoquée.

Les secrétaires du roi furent appelés en ce temps, le vingt-troisième jour du troisième mois, qui est le mois de Sivan, et l'on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Mardochée, aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des cent vingt-sept provinces situées de l'Inde à l'Éthiopie, à chaque province selon son écriture, à chaque peuple selon sa langue, et aux Juifs selon leur écriture et selon leur langue.

On écrivit au nom du roi Assuérus, et l'on scella avec l'anneau du roi. On envoya les lettres par des courriers ayant pour montures des chevaux et des mulets nés de juments.

et cela en un seul jour, dans toutes les provinces du roi Assuérus, le treizième du douzième mois, qui est le mois d'Adar.

Les courriers, montés sur des chevaux et des mulets, partirent aussitôt et en toute hâte, d'après l'ordre du roi. L'édit fut aussi publié dans Suse, la capitale.

Dans chaque province et dans chaque ville, partout où arrivaient l'ordre du roi et son édit, il y eut parmi les Juifs de la joie et de l'allégresse, des festins et des fêtes. Et beaucoup de gens d'entre les peuples du pays se firent Juifs, car la crainte des Juifs les avait saisis.

Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, le treizième jour du mois, jour où devaient s'exécuter l'ordre et l'édit du roi, et où les ennemis des Juifs avaient espéré dominer sur eux, ce fut le contraire qui arriva, et les Juifs dominèrent sur leurs ennemis.

Les Juifs se rassemblèrent dans leurs villes, dans toutes les provinces du roi Assuérus, pour mettre la main sur ceux qui cherchaient leur perte; et personne ne put leur résister, car la crainte qu'on avait d'eux s'était emparée de tous les peuples.

Et tous les chefs des provinces, les satrapes, les gouverneurs, les fonctionnaires du roi, soutinrent les Juifs, à cause de l'effroi que leur inspirait Mardochée.

Car Mardochée était puissant dans la maison du roi, et sa renommée se répandait dans toutes les provinces, parce qu'il devenait de plus en plus puissant.

Ce jour-là, le nombre de ceux qui avaient été tués dans Suse, la capitale, parvint à la connaissance du roi.

Et le roi dit à la reine Esther: Les Juifs ont tué et fait périr dans Suse, la capitale, cinq cents hommes et les dix fils d'Haman; qu'auront-ils fait dans le reste des provinces du roi? Quelle est ta demande? Elle te sera accordée. Que désires-tu encore? Tu l'obtiendras.

et les Juifs qui se trouvaient à Suse se rassemblèrent de nouveau le quatorzième jour du mois d'Adar et tuèrent dans Suse trois cents hommes. Mais ils ne mirent pas la main au pillage.

Les autres Juifs qui étaient dans les provinces du roi se rassemblèrent et défendirent leur vie; ils se procurèrent du repos en se délivrant de leurs ennemis, et ils tuèrent soixante-quinze mille de ceux qui leur étaient hostiles. Mais ils ne mirent pas la main au pillage.

Ces choses arrivèrent le treizième jour du mois d'Adar. Les Juifs se reposèrent le quatorzième, et ils en firent un jour de festin et de joie.

C'est pourquoi les Juifs de la campagne, qui habitent des villes sans murailles, font du quatorzième jour du mois d'Adar un jour de joie, de festin et de fête, où l'on s'envoie des portions les uns aux autres.

Mardochée écrivit ces choses, et il envoya des lettres à tous les Juifs qui étaient dans toutes les provinces du roi Assuérus, auprès et au loin.

Il leur prescrivait de célébrer chaque année le quatorzième jour et le quinzième jour du mois d'Adar

comme les jours où ils avaient obtenu du repos en se délivrant de leurs ennemis, de célébrer le mois où leur tristesse avait été changée en joie et leur désolation en jour de fête, et de faire de ces jours des jours de festin et de joie où l'on s'envoie des portions les uns aux autres et où l'on distribue des dons aux indigents.

C'est pourquoi on appela ces jours Purim, du nom de pur. D'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé,

On envoya des lettres à tous les Juifs, dans les cent vingt-sept provinces du roi Assuérus. Elles contenaient des paroles de paix et de fidélité,

Il y avait dans le pays d'Uts un homme qui s'appelait Job. Et cet homme était intègre et droit; il craignait Dieu, et se détournait du mal.

L'Éternel dit à Satan: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y a personne comme lui sur la terre; c'est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal.

Un jour que les fils et les filles de Job mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère aîné,

Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Le feu de Dieu est tombé du ciel, a embrasé les brebis et les serviteurs, et les a consumés. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.

Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Tes fils et tes filles mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère aîné;

et voici, un grand vent est venu de l'autre côté du désert, et a frappé contre les quatre coins de la maison; elle s'est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.

L'Éternel dit à Satan: As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y a personne comme lui sur la terre; c'est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal. Il demeure ferme dans son intégrité, et tu m'excites à le perdre sans motif.

Du matin au soir ils sont brisés, Ils périssent pour toujours, et nul n'y prend garde;

Le malheur ne sort pas de la poussière, Et la souffrance ne germe pas du sol;

Ils rencontrent les ténèbres au milieu du jour, Ils tâtonnent en plein midi comme dans la nuit.

Tu jouiras du bonheur sous ta tente, Tu retrouveras tes troupeaux au complet,

Car les flèches du Tout Puissant m'ont percé, Et mon âme en suce le venin; Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.

Il me restera du moins une consolation, Une joie dans les maux dont il m'accable: Jamais je n'ai transgressé les ordres du Saint.

Celui qui souffre a droit à la compassion de son ami, Même quand il abandonnerait la crainte du Tout Puissant.

Viennent les chaleurs, et ils tarissent, Les feux du soleil, et leur lit demeure à sec.

Voulez-vous donc blâmer ce que j'ai dit, Et ne voir que du vent dans les discours d'un désespéré?

Je me couche, et je dis: Quand me lèverai-je? quand finira la nuit? Et je suis rassasié d'agitations jusqu'au point du jour.

L'arrache-t-on du lieu qu'il occupe, Ce lieu le renie: Je ne t'ai point connu!

Si du moins le fléau donnait soudain la mort!... Mais il se rit des épreuves de l'innocent.

Ne m'as-tu pas coulé comme du lait? Ne m'as-tu pas caillé comme du fromage?

Je serais comme si je n'eusse pas existé, Et j'aurais passé du ventre de ma mère au sépulcre.

Tes jours auront plus d'éclat que le soleil à son midi, Tes ténèbres seront comme la lumière du matin,

Détourne de lui les regards, et donne-lui du relâche, Pour qu'il ait au moins la joie du mercenaire à la fin de sa journée.

Le sage répond-il par un vain savoir? Se gonfle-t-il la poitrine du vent d'orient?

On invite ses amis au partage du butin, Et l'on a des enfants dont les yeux se consument.

Elle descendra vers les portes du séjour des morts, Quand nous irons ensemble reposer dans la poussière.

La lumière du méchant s'éteindra, Et la flamme qui en jaillit cessera de briller.

Je voudrais qu'avec un burin de fer et avec du plomb Elles fussent pour toujours gravées dans le roc...

Il a sucé du venin d'aspic, La langue de la vipère le tuera.

Ils chantent au son du tambourin et de la harpe, Ils se réjouissent au son du chalumeau.

Quoi donc! ne sont-ils pas en possession du bonheur? -Loin de moi le conseil des méchants!

Est-ce pour les fils que Dieu réserve le châtiment du père? Mais c'est lui que Dieu devrait punir, pour qu'il le sente;

C'est lui qui devrait contempler sa propre ruine, C'est lui qui devrait boire la colère du Tout Puissant.

L'un meurt au sein du bien-être, De la paix et du bonheur,

Au jour du malheur, le méchant est épargné; Au jour de la colère, il échappe.

Si tu es juste, est-ce à l'avantage du Tout Puissant? Si tu es intègre dans tes voies, qu'y gagne-t-il?

Tu ne donnais point d'eau à l'homme altéré, Tu refusais du pain à l'homme affamé.

Alors tu feras du Tout Puissant tes délices, Tu élèveras vers Dieu ta face;

Et voici, comme les ânes sauvages du désert, Ils sortent le matin pour chercher de la nourriture, Ils n'ont que le désert pour trouver le pain de leurs enfants;

L'assassin se lève au point du jour, Tue le pauvre et l'indigent, Et il dérobe pendant la nuit.

Fait-il du Tout Puissant ses délices? Adresse-t-il en tout temps ses prières à Dieu?

Je vous enseignerai les voies de Dieu, Je ne vous cacherai pas les desseins du Tout Puissant.

Ses pierres contiennent du saphir, Et l'on y trouve de la poudre d'or.

L'oiseau de proie n'en connaît pas le sentier, L'oeil du vautour ne l'a point aperçu;

Elle est cachée aux yeux de tout vivant, Elle est cachée aux oiseaux du ciel.

Quand il donna des lois à la pluie, Et qu'il traça la route de l'éclair et du tonnerre,

Oh! que ne puis-je être comme aux mois du passé, Comme aux jours où Dieu me gardait,

La bénédiction du malheureux venait sur moi; Je remplissais de joie le coeur de la veuve.

J'étais l'oeil de l'aveugle Et le pied du boiteux.

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