'Aux' dans la Bible

L'Éternel a manifesté son salut, Il a révélé sa justice aux yeux des nations.

Il a manifesté ses voies à Moïse, Ses oeuvres aux enfants d'Israël.

Les montagnes élevées sont pour les boucs sauvages, Les rochers servent de retraite aux damans.

On serra ses pieds dans des liens, On le mit aux fers,

Ils s'attachèrent à Baal Peor, Et mangèrent des victimes sacrifiées aux morts.

Ils sacrifièrent leurs fils Et leurs filles aux idoles,

Ils répandirent le sang innocent, Le sang de leurs fils et de leurs filles, Qu'ils sacrifièrent aux idoles de Canaan, Et le pays fut profané par des meurtres.

Leur âme avait en horreur toute nourriture, Et ils touchaient aux portes de la mort.

Que celui qui est sage prenne garde à ces choses, Et qu'il soit attentif aux bontés de l'Éternel.

Car ta bonté s'élève au-dessus des cieux, Et ta fidélité jusqu'aux nues.

Il fait des largesses, il donne aux indigents; Sa justice subsiste à jamais; Sa tête s'élève avec gloire,

Les cieux sont les cieux de l'Éternel, Mais il a donné la terre aux fils de l'homme.

Elle a du prix aux yeux de l'Éternel, La mort de ceux qui l'aiment.

Mieux vaut chercher un refuge en l'Éternel Que de se confier aux grands.

L'Éternel est Dieu, et il nous éclaire. Attachez la victime avec des liens, Amenez-la jusqu'aux cornes de l'autel!

La révélation de tes paroles éclaire, Elle donne de l'intelligence aux simples.

Il frappa les premiers-nés de l'Égypte, Depuis les hommes jusqu'aux animaux.

Aux saules de la contrée Nous avions suspendu nos harpes.

Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t'y voilà.

Je sais que l'Éternel fait droit au misérable, Justice aux indigents.

Toi, qui donnes le salut aux rois, Qui sauvas du glaive meurtrier David, ton serviteur,

Pour faire connaître aux fils de l'homme ta puissance Et la splendeur glorieuse de ton règne.

Ne vous confiez pas aux grands, Aux fils de l'homme, qui ne peuvent sauver.

Il fait droit aux opprimés; Il donne du pain aux affamés; L'Éternel délivre les captifs;

Il donne la nourriture au bétail, Aux petits du corbeau quand ils crient,

Pour donner aux simples du discernement, Au jeune homme de la connaissance et de la réflexion.

Elle crie à l'entrée des lieux bruyants; Aux portes, dans la ville, elle fait entendre ses paroles:

Tu acquerras ainsi de la grâce et une raison saine, Aux yeux de Dieu et des hommes.

Il se moque des moqueurs, Mais il fait grâce aux humbles;

Tantôt dans la rue, tantôt sur les places, Et près de tous les angles, elle était aux aguets.

Et maintenant, mes fils, écoutez-moi, Et soyez attentifs aux paroles de ma bouche.

Hommes, c'est à vous que je crie, Et ma voix s'adresse aux fils de l'homme.

Pour crier aux passants, Qui vont droit leur chemin:

Ce que le vinaigre est aux dents et la fumée aux yeux, Tel est le paresseux pour celui qui l'envoie.

Un désir accompli est doux à l'âme, Mais s'éloigner du mal fait horreur aux insensés.

Les mauvais s'inclinent devant les bons, Et les méchants aux portes du juste.

Ce qui plaît aux yeux réjouit le coeur; Une bonne nouvelle fortifie les membres.

L'oreille attentive aux réprimandes qui mènent à la vie Fait son séjour au milieu des sages.

Les présents sont une pierre précieuse aux yeux de qui en reçoit; De quelque côté qu'ils se tournes, ils ont du succès.

Les lèvres de l'insensé se mêlent aux querelles, Et sa bouche provoque les coups.

La pratique de la justice et de l'équité, Voilà ce que l'Éternel préfère aux sacrifices.

Ne parle pas aux oreilles de l'insensé, Car il méprise la sagesse de tes discours.

Ouvre ton coeur à l'instruction, Et tes oreilles aux paroles de la science.

Ne porte pas envie aux hommes méchants, Et ne désire pas être avec eux;

Ne t'irrite pas à cause de ceux qui font le mal, Ne porte pas envie aux méchants;

Voici encore ce qui vient des sages: Il n'est pas bon, dans les jugements, d'avoir égard aux personnes.

Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel, Mais celui qui a faim trouve doux tout ce qui est amer.

Il n'est pas bon d'avoir égard aux personnes, Et pour un morceau de pain un homme se livre au péché.

Quand celui qui domine a égard aux paroles mensongères, Tous ses serviteurs sont des méchants.

L'homme inique est en abomination aux justes, Et celui dont la voie est droite est en abomination aux méchants.

Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?

Ne livre pas ta vigueur aux femmes, Et tes voies à celles qui perdent les rois.

Ce n'est point aux rois, Lemuel, Ce n'est point aux rois de boire du vin, Ni aux princes de rechercher des liqueurs fortes,

Son mari est considéré aux portes, Lorsqu'il siège avec les anciens du pays.

Récompensez-la du fruit de son travail, Et qu'aux portes ses oeuvres la louent.

J'ai encore vu sous le soleil que la course n'est point aux agiles ni la guerre aux vaillants, ni le pain aux sages, ni la richesse aux intelligents, ni la faveur aux savants; car tout dépend pour eux du temps et des circonstances.

L'homme ne connaît pas non plus son heure, pareil aux poissons qui sont pris au filet fatal, et aux oiseaux qui sont pris au piège; comme eux, les fils de l'homme sont enlacés au temps du malheur, lorsqu'il tombe sur eux tout à coup.

La lumière est douce, et il est agréable aux yeux de voir le soleil.

Si donc un homme vit beaucoup d'années, qu'il se réjouisse pendant toutes ces années, et qu'il pense aux jours de ténèbres qui seront nombreux; tout ce qui arrivera est vanité.

A ma jument qu'on attelle aux chars de Pharaon Je te compare, ô mon amie.

Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes, Derrière ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de la montagne de Galaad.

Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad.

Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. -

Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour.

Malheur à la nation pécheresse, au peuple chargé d'iniquités, A la race des méchants, aux enfants corrompus! Ils ont abandonné l'Éternel, ils ont méprisé le Saint d'Israël. Ils se sont retirés en arrière...

Cessez d'apporter de vaines offrandes: J'ai en horreur l'encens, Les nouvelles lunes, les sabbats et les assemblées; Je ne puis voir le crime s'associer aux solennités.

Car tu as abandonné ton peuple, la maison de Jacob, Parce qu'ils sont pleins de l'Orient, Et adonnés à la magie comme les Philistins, Et parce qu'ils s'allient aux fils des étrangers. Le pays est rempli d'argent et d'or,

En ce jour, les hommes jetteront Leurs idoles d'argent et leurs idoles d'or, Qu'ils s'étaient faites pour les adorer, Aux rats et aux chauves-souris;

Je vous dirai maintenant Ce que je vais faire à ma vigne. J'en arracherai la haie, pour qu'elle soit broutée; J'en abattrai la clôture, pour qu'elle soit foulée aux pieds.

Je la réduirai en ruine; elle ne sera plus taillée, ni cultivée; Les ronces et les épines y croîtront; Et je donnerai mes ordres aux nuées, Afin qu'elles ne laissent plus tomber la pluie sur elle.

Qui justifient le coupable pour un présent, Et enlèvent aux innocents leurs droits!

En ce jour-là, Tout lieu qui contiendra mille ceps de vigne, Valant mille sicles d'argent, Sera livré aux ronces et aux épines:

Si l'on vous dit: Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, Qui poussent des sifflements et des soupirs, Répondez: Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants?

Car toute chaussure qu'on porte dans la mêlée, Et tout vêtement guerrier roulé dans le sang, Seront livrés aux flammes, Pour être dévorés par le feu.

Pour refuser justice aux pauvres, Et ravir leur droit aux malheureux de mon peuple, Pour faire des veuves leur proie, Et des orphelins leur butin!

Je l'ai lâché contre une nation impie, Je l'ai fait marcher contre le peuple de mon courroux, Pour qu'il se livre au pillage et fasse du butin, Pour qu'il le foule aux pieds comme la boue des rues.

Vous puiserez de l'eau avec joie Aux sources du salut,

Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, Comme un rameau qu'on dédaigne, Comme une dépouille de gens tués à coups d'épée, Et précipités sur les pierres d'une fosse, Comme un cadavre foulé aux pieds.

Je briserai l'Assyrien dans mon pays, Je le foulerai aux pieds sur mes montagnes; Et son joug leur sera ôté, Et son fardeau sera ôté de leurs épaules.

Et que répondra-t-on aux envoyés du peuple? -Que l'Éternel a fondé Sion, Et que les malheureux de son peuple y trouvent un refuge.

Les villes d'Aroër sont abandonnées, Elles sont livrées aux troupeaux; Ils s'y couchent, et personne ne les effraie.

Ils seront tous abandonnés aux oiseaux de proie des montagnes Et aux bêtes de la terre; Les oiseaux de proie passeront l'été sur leurs cadavres, Et les bêtes de la terre y passeront l'hiver.

Portez de l'eau à ceux qui ont soif; Les habitants du pays de Théma Portent du pain aux fugitifs.

Elle est foulée aux pieds, Aux pieds des pauvres, sous les pas des misérables.

Que tes morts revivent! Que mes cadavres se relèvent! -Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière! Car ta rosée est une rosée vivifiante, Et la terre redonnera le jour aux ombres.

Elle sera foulée aux pieds, La couronne superbe des ivrognes d'Éphraïm;

Hé bien! c'est par des hommes aux lèvres balbutiantes Et au langage barbare Que l'Éternel parlera à ce peuple.

Votre alliance avec la mort sera détruite, Votre pacte avec le séjour des morts ne subsistera pas; Quand le fléau débordé passera, Vous serez par lui foulés aux pieds.

Malheur, dit l'Éternel, aux enfants rebelles, Qui prennent des résolutions sans moi, Et qui font des alliances sans ma volonté, Pour accumuler péché sur péché!

Qui disent aux voyants: Ne voyez pas! Et aux prophètes: Ne nous prophétisez pas des vérités, Dites-nous des choses flatteuses, Prophétisez des chimères!

Le mirage se changera en étang Et la terre desséchée en sources d'eaux; Dans le repaire qui servait de gîte aux chacals, Croîtront des roseaux et des joncs.

Éliakim, Schebna et Joach dirent à Rabschaké: Parle à tes serviteurs en araméen, car nous le comprenons; et ne nous parle pas en langue judaïque aux oreilles du peuple qui est sur la muraille.

Je disais: Quand mes jours sont en repos, je dois m'en aller Aux portes du séjour des morts. Je suis privé du reste de mes années!

Ézéchias en eut de la joie, et il montra aux envoyés le lieu où étaient ses choses de prix, l'argent et l'or, les aromates et l'huile précieuse, tout son arsenal, et tout ce qui se trouvait dans ses trésors: il n'y eut rien qu'Ézéchias ne leur fît voir dans sa maison et dans tous ses domaines.

Monte sur une haute montagne, Sion, pour publier la bonne nouvelle; Élève avec force ta voix, Jérusalem, pour publier la bonne nouvelle; Élève ta voix, ne crains point, Dis aux villes de Juda: Voici votre Dieu!

Qui a fait et exécuté ces choses? C'est celui qui a appelé les générations dès le commencement, Moi, l'Éternel, le premier Et le même jusqu'aux derniers âges.

Toi, que j'ai pris aux extrémités de la terre, Et que j'ai appelé d'une contrée lointaine, A qui j'ai dit: Tu es mon serviteur, Je te choisis, et ne te rejette point!

Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J'ai mis mon esprit sur lui; Il annoncera la justice aux nations.

Je suis l'Éternel, c'est là mon nom; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles.

Chantez à l'Éternel un cantique nouveau, Chantez ses louanges aux extrémités de la terre, Vous qui voguez sur la mer et vous qui la peuplez, Iles et habitants des îles!