4072 occurences en traduction 1

'Ce' dans la Bible

Les magistrats ignoraient où j'étais allé, et ce que je faisais. Jusqu'à ce moment, je n'avais rien dit aux Juifs, ni aux sacrificateurs, ni aux grands, ni aux magistrats, ni à aucun de ceux qui s'occupaient des affaires.

A côté d'eux travaillèrent Melatia, le Gabaonite, Jadon, le Méronothite, et les hommes de Gabaon et de Mitspa, ressortissant au siège du gouverneur de ce côté du fleuve;

Et nos ennemis disaient: Ils ne sauront et ne verront rien jusqu'à ce que nous arrivions au milieu d'eux; nous les tuerons, et nous ferons ainsi cesser l'ouvrage.

Depuis ce jour, la moitié de mes serviteurs travaillait, et l'autre moitié était armée de lances, de boucliers, d'arcs et de cuirasses. Les chefs étaient derrière toute la maison de Juda.

Dans ce même temps, je dis encore au peuple: Que chacun passe la nuit dans Jérusalem avec son serviteur; faisons la garde pendant la nuit, et travaillons pendant le jour.

Puis je dis: Ce que vous faites n'est pas bien. Ne devriez-vous pas marcher dans la crainte de notre Dieu, pour n'être pas insultés par les nations nos ennemies?

Moi aussi, et mes frères et mes serviteurs, nous leur avons prêté de l'argent et du blé. Abandonnons ce qu'ils nous doivent!

Ils répondirent: Nous les rendrons, et nous ne leur demanderons rien, nous ferons ce que tu dis. Alors j'appelai les sacrificateurs, devant lesquels je les fis jurer de tenir parole.

On m'apprêtait chaque jour un boeuf, six moutons choisis, et des oiseaux; et tous les dix jours on préparait en abondance tout le vin nécessaire. Malgré cela, je n'ai point réclamé les revenus du gouverneur, parce que les travaux étaient à la charge de ce peuple.

Souviens-toi favorablement de moi, ô mon Dieu, à cause de tout ce que j'ai fait pour ce peuple!

Sanballat m'envoya ce message une cinquième fois par son serviteur, qui tenait à la main une lettre ouverte.

Il y était écrit: Le bruit se répand parmi les nations et Gaschmu affirme que toi et les Juifs vous pensez à vous révolter, et que c'est dans ce but que tu rebâtis la muraille. Tu vas, dit-on, devenir leur roi,

Et je reconnus que ce n'était pas Dieu qui l'envoyait. Mais il prophétisa ainsi sur moi parce que Sanballat et Tobija lui avaient donné de l'argent.

Dans ce temps-là, il y avait aussi des grands de Juda qui adressaient fréquemment des lettres à Tobija et qui en recevaient de lui.

Mon Dieu me mit au coeur d'assembler les grands, les magistrats et le peuple, pour en faire le dénombrement. Je trouvai un registre généalogique de ceux qui étaient montés les premiers, et j'y vis écrit ce qui suit.

et le gouverneur leur dit de ne pas manger des choses très saintes jusqu'à ce qu'un sacrificateur eût consulté l'urim et le thummim.

Ils lisaient distinctement dans le livre de la loi de Dieu, et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu'ils avaient lu.

Néhémie, le gouverneur, Esdras, le sacrificateur et le scribe, et les Lévites qui enseignaient le peuple, dirent à tout le peuple: Ce jour est consacré à l'Éternel, votre Dieu; ne soyez pas dans la désolation et dans les larmes! Car tout le peuple pleurait en entendant les paroles de la loi.

Les Lévites calmaient tout le peuple, en disant: Taisez-vous, car ce jour est saint; ne vous affligez pas!

Toute l'assemblée de ceux qui étaient revenus de la captivité fit des tentes, et ils habitèrent sous ces tentes. Depuis le temps de Josué, fils de Nun, jusqu'à ce jour, les enfants d'Israël n'avaient rien fait de pareil. Et il y eut de très grandes réjouissances.

Et maintenant, ô notre Dieu, Dieu grand, puissant et redoutable, toi qui gardes ton alliance et qui exerces la miséricorde, ne regarde pas comme peu de chose toutes les souffrances que nous avons éprouvées, nous, nos rois, nos chefs, nos sacrificateurs, nos prophètes, nos pères et tout ton peuple, depuis le temps des rois d'Assyrie jusqu'à ce jour.

Tu as été juste dans tout ce qui nous est arrivé, car tu t'es montré fidèle, et nous avons fait le mal.

pour les pains de proposition, pour l'offrande perpétuelle, pour l'holocauste perpétuel des sabbats, des nouvelles lunes et des fêtes, pour les choses consacrées, pour les sacrifices d'expiation en faveur d'Israël, et pour tout ce qui se fait dans la maison de notre Dieu.

Sallu, Amok, Hilkija, Jedaeja. Ce furent là les chefs des sacrificateurs et de leurs frères, au temps de Josué. -

Derrière ce choeur marchaient Hosée et la moitié des chefs de Juda,

On offrit ce jour-là de nombreux sacrifices, et on se livra aux réjouissances, car Dieu avait donné au peuple un grand sujet de joie. Les femmes et les enfants se réjouirent aussi, et les cris de joie de Jérusalem furent entendus au loin.

En ce jour, on établit des hommes ayant la surveillance des chambres qui servaient de magasins pour les offrandes, les prémices et les dîmes, et on les chargea d'y recueillir du territoire des villes les portions assignées par la loi aux sacrificateurs et aux Lévites. Car Juda se réjouissait de ce que les sacrificateurs et les Lévites étaient à leur poste,

observant tout ce qui concernait le service de Dieu et des purifications. Les chantres et les portiers remplissaient aussi leurs fonctions, selon l'ordre de David et de Salomon, son fils;

Dans ce temps, on lut en présence du peuple dans le livre de Moïse, et l'on y trouva écrit que l'Ammonite et le Moabite ne devraient jamais entrer dans l'assemblée de Dieu,

avait disposé pour lui une grande chambre où l'on mettait auparavant les offrandes, l'encens, les ustensiles, la dîme du blé, du moût et de l'huile, ce qui était ordonné pour les Lévites, les chantres et les portiers, et ce qui était prélevé pour les sacrificateurs.

N'est-ce pas ainsi qu'ont agi vos père, et n'est-ce pas à cause de cela que notre Dieu a fait venir tous ces malheurs sur nous et sur cette ville? Et vous, vous attirez de nouveau sa colère contre Israël, en profanant le sabbat!

Je les avertis, en leur disant: Pourquoi passez-vous la nuit devant la muraille? Si vous le faites encore, je mettrai la main sur vous. Dès ce moment, ils ne vinrent plus pendant le sabbat.

N'est-ce pas en cela qu'a péché Salomon, roi d'Israël? Il n'y avait point de roi semblable à lui parmi la multitude des nations, il était aimé de son Dieu, et Dieu l'avait établi roi sur tout Israël; néanmoins, les femmes étrangères l'entraînèrent aussi dans le péché.

Je les purifiai de tout étranger, et je remis en vigueur ce que devaient observer les sacrificateurs et les Lévites, chacun dans sa fonction,

et ce qui concernait l'offrande du bois aux époques fixées, de même que les prémices. Souviens-toi favorablement de moi, ô mon Dieu! 

Quelle loi, dit-il, faut-il appliquer à la reine Vasthi, pour n'avoir point exécuté ce que le roi Assuérus lui a ordonné par les eunuques?

Memucan répondit devant le roi et les princes: Ce n'est pas seulement à l'égard du roi que la reine Vasthi a mal agi; c'est aussi envers tous les princes et tous les peuples qui sont dans toutes les provinces du roi Assuérus.

Et dès ce jour les princesses de Perse et de Médie qui auront appris l'action de la reine la rapporteront à tous les chefs du roi; de là beaucoup de mépris et de colère.

Après ces choses, lorsque la colère du roi Assuérus se fut calmée, il pensa à Vasthi, à ce qu'elle avait fait, et à la décision qui avait été prise à son sujet.

Chaque jeune fille allait à son tour vers le roi Assuérus, après avoir employé douze mois à s'acquitter de ce qui était prescrit aux femmes; pendant ce temps, elles prenaient soin de leur toilette, six mois avec de l'huile de myrrhe, et six mois avec des aromates et des parfums en usage parmi les femmes.

C'est ainsi que chaque jeune fille allait vers le roi; et, quand elle passait de la maison des femmes dans la maison du roi, on lui laissait prendre avec elle tout ce qu'elle voulait.

Lorsque son tour d'aller vers le roi fut arrivé, Esther, fille d'Abichaïl, oncle de Mardochée qui l'avait adoptée pour fille, ne demanda que ce qui fut désigné par Hégaï, eunuque du roi et gardien des femmes. Esther trouvait grâce aux yeux de tous ceux qui la voyaient.

Dans ce même temps, comme Mardochée était assis à la porte du roi, Bigthan et Théresch, deux eunuques du roi, gardes du seuil, cédèrent à un mouvement d'irritation et voulurent porter la main sur le roi Assuérus.

Et le roi dit à Haman: L'argent t'est donné, et ce peuple aussi; fais-en ce que tu voudras.

Les secrétaires du roi furent appelés le treizième jour du premier mois, et l'on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Haman, aux satrapes du roi, aux gouverneurs de chaque province et aux chefs de chaque peuple, à chaque province selon son écriture et à chaque peuple selon sa langue. Ce fut au nom du roi Assuérus que l'on écrivit, et on scella avec l'anneau du roi.

Ces lettres renfermaient une copie de l'édit qui devait être publié dans chaque province, et invitaient tous les peuples à se tenir prêts pour ce jour-là.

Mardochée, ayant appris tout ce qui se passait, déchira ses vêtements, s'enveloppa d'un sac et se couvrit de cendre. Puis il alla au milieu de la ville en poussant avec force des cris amers,

Alors Esther appela Hathac, l'un des eunuques que le roi avait placés auprès d'elle, et elle le chargea d'aller demander à Mardochée ce que c'était et d'où cela venait.

Et Mardochée lui raconta tout ce qui lui était arrivé, et lui indiqua la somme d'argent qu'Haman avait promis de livrer au trésor du roi en retour du massacre des Juifs.

car, si tu te tais maintenant, le secours et la délivrance surgiront d'autre part pour les Juifs, et toi et la maison de ton père vous périrez. Et qui sait si ce n'est pas pour un temps comme celui-ci que tu es parvenue à la royauté?

Mardochée s'en alla, et fit tout ce qu'Esther lui avait ordonné.

Le roi lui dit: Qu'as-tu, reine Esther, et que demandes-tu? Quand ce serait la moitié du royaume, elle te serait donnée.

Et pendant qu'on buvait le vin, le roi dit à Esther: Quelle est ta demande? Elle te sera accordée. Que désires-tu? Quand ce serait la moitié du royaume, tu l'obtiendras.

Esther répondit: Voici ce que je demande et ce que je désire.

Haman sortit ce jour-là, joyeux et le coeur content. Mais lorsqu'il vit, à la porte du roi, Mardochée qui ne se levait ni ne se remuait devant lui, il fut rempli de colère contre Mardochée.

Haman leur parla de la magnificence de ses richesses, du nombre de ses fils, de tout ce qu'avait fait le roi pour l'élever en dignité, et du rang qu'il lui avait donné au-dessus des chefs et des serviteurs du roi.

et l'on trouva écrit ce que Mardochée avait révélé au sujet de Bigthan et de Théresch, les deux eunuques du roi, gardes du seuil, qui avaient voulu porter la main sur le roi Assuérus.

Le roi dit à Haman: Prends tout de suite le vêtement et le cheval, comme tu l'as dit, et fais ainsi pour Mardochée, le Juif, qui est assis à la porte du roi; ne néglige rien de tout ce que tu as mentionné.

Haman raconta à Zéresch, sa femme, et à tous ses amis, tout ce qui lui était arrivé. Et ses sages, et Zéresch, sa femme, lui dirent: Si Mardochée, devant lequel tu as commencé de tomber, est de la race des Juifs, tu ne pourras rien contre lui, mais tu tomberas devant lui.

Ce second jour, le roi dit encore à Esther, pendant qu'on buvait le vin: Quelle est ta demande, reine Esther? Elle te sera accordée. Que désires-tu? Quand ce serait la moitié du royaume, tu l'obtiendras.

Esther répondit: L'oppresseur, l'ennemi, c'est Haman, ce méchant-là! Haman fut saisi de terreur en présence du roi et de la reine.

Lorsque le roi revint du jardin du palais dans la salle du festin, il vit Haman qui s'était précipité vers le lit sur lequel était Esther, et il dit: Serait-ce encore pour faire violence à la reine, chez moi, dans le palais? Dès que cette parole fut sortie de la bouche du roi, on voila le visage d'Haman.

En ce même jour, le roi Assuérus donna à la reine Esther la maison d'Haman, l'ennemi des Juifs; et Mardochée parut devant le roi, car Esther avait fait connaître la parenté qui l'unissait à elle.

Les secrétaires du roi furent appelés en ce temps, le vingt-troisième jour du troisième mois, qui est le mois de Sivan, et l'on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Mardochée, aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des cent vingt-sept provinces situées de l'Inde à l'Éthiopie, à chaque province selon son écriture, à chaque peuple selon sa langue, et aux Juifs selon leur écriture et selon leur langue.

Ces lettres renfermaient une copie de l'édit qui devait être publié dans chaque province, et informaient tous les peuples que les Juifs se tiendraient prêts pour ce jour-là à se venger de leurs ennemis.

Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, le treizième jour du mois, jour où devaient s'exécuter l'ordre et l'édit du roi, et où les ennemis des Juifs avaient espéré dominer sur eux, ce fut le contraire qui arriva, et les Juifs dominèrent sur leurs ennemis.

Ce jour-là, le nombre de ceux qui avaient été tués dans Suse, la capitale, parvint à la connaissance du roi.

Les Juifs s'engagèrent à faire ce qu'ils avaient déjà commencé et ce que Mardochée leur écrivit.

C'est pourquoi on appela ces jours Purim, du nom de pur. D'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé,

Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui? Tu as béni l'oeuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays.

Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu'il te maudit en face.

L'Éternel dit à Satan: Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre; seulement, ne porte pas la main sur lui. Et Satan se retira de devant la face de l'Éternel.

Et Satan répondit à l'Éternel: Peau pour peau! tout ce que possède un homme, il le donne pour sa vie.

Ce jour! qu'il se change en ténèbres, Que Dieu n'en ait point souci dans le ciel, Et que la lumière ne rayonne plus sur lui!

Ce que je crains, c'est ce qui m'arrive; Ce que je redoute, c'est ce qui m'atteint.

Ta crainte de Dieu n'est-elle pas ton soutien? Ton espérance, n'est-ce pas ton intégrité?

Voilà ce que nous avons reconnu, voilà ce qui est; A toi d'entendre et de mettre à profit.

Peut-on manger ce qui est fade et sans sel? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un oeuf?

Ce que je voudrais ne pas toucher, C'est là ma nourriture, si dégoûtante soit-elle!

Voulez-vous donc blâmer ce que j'ai dit, Et ne voir que du vent dans les discours d'un désespéré?

L'arrache-t-on du lieu qu'il occupe, Ce lieu le renie: Je ne t'ai point connu!

La terre est livrée aux mains de l'impie; Il voile la face des juges. Si ce n'est pas lui, qui est-ce donc?

Voici néanmoins ce que tu cachais dans ton coeur, Voici, je le sais, ce que tu as résolu en toi-même.

Ce qu'il renverse ne sera point rebâti, Celui qu'il enferme ne sera point délivré.

Il met à découvert ce qui est caché dans les ténèbres, Il produit à la lumière l'ombre de la mort.

Direz-vous en faveur de Dieu ce qui est injuste, Et pour le soutenir alléguerez-vous des faussetés?

Taisez-vous, laissez-moi, je veux parler! Il m'en arrivera ce qu'il pourra.

Écoutez, écoutez mes paroles, Prêtez l'oreille à ce que je vais dire.

Oh! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi!

Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer.

Est-ce par d'inutiles propos qu'il se défend? Est-ce par des discours qui ne servent à rien?

Ce n'est pas moi, c'est ta bouche qui te condamne. Ce sont tes lèvres qui déposent contre toi.

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